Il y a des chapeaux (texte en gras au début de l,article), des exergues (citations), des intertitres, des surtitres, des encadrés bien placés, un article par page...
Bref tout ce qui est nécessaire à un journal pour qu'il soit facilement lisible est présent et c'est la chose la plus importante. Les belles polices après, c'est de la fioriture (et même, celles qui sont là sont très lisibles et appropriées).
Pour vrai, allez regarder les autres journaux militants au lieu de comparer à l'année passée... Tsé, le journal de la CLAC, ca vole pas haut niveau graphisme.
Y'a assurément des trucs à améliorer, mais pas tant que ca. Anyways, je suis toujours disponibles pour des conseils si des gens en ont besoin.
Alexandre Antaki
(je me demande quel sorte de matériel d'info ils font à édouard-monpetit pour cracher sur l'ultimatum aussi facilement et pour des raisons esthétiques. De ce que j'en connais 90% du matériel d'info d'assos locales n'accote pas la qualité de ces ultimatums...)
Le 7 décembre 2012 16:23, Antoine Bouchard
<toine.bouchard@gmail.com> a écrit :
Bien que je ne sois pas membre de l'ASSÉ mais sympathisant, je dois vous dire que bien que la question de l'esthétisme devrait être secondaire comme enjeu, elle a quand même impact. Il faut se questionner à savoir quelle est l'objetif du journal? que les militant-es et les initié-es le lise ou que les étudiant-es moyen-nes (je n'aime pas cette expression mais je n'en vois pas d'autre pour imager) le lise. Or, c'est sûre que les militant-es et les initié-es peu importe l'apparence visuelle va lire l'Ultimatum. C'est pas la même histoire pour le reste de la population étudiante. Si c'est pas attrayant, ça va être l'objet de commentaires négatifs. Et en région, ça peut jouer encore plus fortement si l'aspect visuel sonne broche à foin dans l'esprit des gens, sonne mal fait par une bande de gau-gauche hippies Montréalais.
Je n'aime pas plus que vous le débat sur l'image, l'esthétisme mais ça influence une grande majorité de gens qui ne sont pas dans les cercles restreints du militantisme. Je ne veux pas non plus déprécier le travail du comité journal mais le rendu actuel du journal est difficile à lire à cause de la police et de sa présentation, en format pdf dont difficilement partage sur Facebook/twitter pour en faire un élément viral si ce n'est pas attrayant. Et le format papier ne fait pas très sérieux visuellement. Tant le format papier que le format numérique assure une large diffusion du journal et c'est ce qui a beaucoup été fait le printemps dernier. Et c'est d'ailleurs un aspect qui a permis à la CLASSE de «manger» les fédérations solidement sur les réseaux sociaux et pour le matériel d'information, de par sa belle présentation, avec un rendu «sérieux», un contenu riche et diversifié et une grande abondance.
Et pour ce qui est de l'accès au logiciel In-design, c'est un faux débat. Ce logiciel peut être trouvé en version piraté parfaitement fonctionnelle en quelques heures sur n'importe quel torrent. Je vous suggérais fortement de revenir à l'ancienne présentation au niveau du rendu et de la police de caractère, si possible sur logiciel libre sinon de tout simplement retourner à In Design qui est pas plus compliqué à apprendre qu'un logiciel libre. Et vous avez la chance d'avoir beaucoup de gens qui savent l'utiliser et qui pourront transmettre et aider à former les nouveaux et nouvelles miitant-es sur son utilisation.
Ceci étant dit, je partage l'avis du Camarade Desrochers, le journal est un outils d'information important et il ne remplacera jamais la mobilisation en personne physique sur le terrain. Sauf que le journal a un potentiel de diffusion beaucoup plus grand et de rejoindre des étudiant-es qui ne le serait peut-être pas par la mobilisation (via les réseaux sociaux, parce qu'il traine quelques part, etc). Bref, les deux sont complémentaires au travail d'une multitude de moyens d'information et de mobilisation.
Antoine
Le 7 décembre 2012 00:51, Lau Ju
<leau_lau@hotmail.com> a écrit :
Bonsoir!
Je n'ai pas
l'habitude d'intervenir sur Assé-Support, mais le débat actuel sur l'esthétique
de l'Ultimatum me sidère un peu…
Je suis plutôt
désolée de voir que l'on accorde une telle prépondérance à l'esthétique du
journal. Oui, c'est important d'avoir une unité esthétique parmi notre matériel
d'information et oui, il y a toujours place à l'amélioration... mais de là à
dire que ce qui est produit actuellement est laid au point tel que certaines
personnes refusent de le diffuser, ça va trop loin, à mon sens... Ces
personnes, prétendument horripilées par la hideur (oui oui, ça se dit) de l’Ultimatum,
se sont-elles attardées un seul instant au contenu de celui-ci et à sa
pertinence politique en vue de la continuité de la lutte?? L'Ultimatum que
vient de nous offrir le comité journal a été produit dans un très court laps de
temps et avec peu de moyens (un très petit nombre de personnes s'implique
activement au comité journal). Le RNÉ, c'était cette fin de semaine. Et déjà,
en contexte de fin de session, nous avons droit à un Ultimatum Express qui en
résume les grandes lignes. Je ne dis pas qu’il est absolument parfait, mais il
n'en reste pas moins qu'il constitue un outil de premier choix pour la
mobilisation. Il est bien construit et, en plus, il contient peu ou pas de
fautes d'orthographe. Il me semble que le premier critère selon lequel on
devrait juger un journal, c'est selon sa capacité à mobiliser… Souvent, dans un
contexte de mobilisation, passer un journal sert de prétexte pour ouvrir une
discussion politique… La personne abordée peut ensuite poursuivre la réflexion
en lisant le journal. J’accueillerais beaucoup plus favorablement des débats sur
les propos de l’Ultimatum, sur les sujets qui y sont traités, que sur sa forme…
J’aimerais
aussi revenir sur le texte de réflexion de Marie-Ève. On y soulève que le choix
du comité journal de recourir à Scribus (un logiciel libre) pour éditer l’Ultimatum
entre en confrontation avec « certains de nos principes et fonctionnement ».
J’aimerais savoir à quels principes (si ce n’est que la tradition…) on fait ici
référence puisqu’il me semble que le fait de privilégier un logiciel libre est en
tout point cohérent avec les principes de base de l’ASSÉ. On y pose aussi la
question suivante : « Est-ce que l'un
des objectifs de nos comités de travail réside dans
la transmission du savoir et des connaissances (et donc devrait être facile
d'accès) ou est-ce un lieu de pouvoir pour une élite d'experts dans leur
discipline? » Je crois, au contraire, que l’utilisation de logiciels comme
In Design est plus propice à la formation d’une élite d’expert-e-s ou de
professionnel-le-s. Rappelons d’abord que ce logiciel coûte plusieurs centaines
de dollars… On peut évidemment utiliser une version piratée, mais encore
faut-il trouver une version de bonne qualité, qui ne « bogue » pas
trop. En quoi Scribus serait difficile d’accès? On peut télécharger ce logiciel
plus que fonctionnel en un simple clic sur internet….Bien entendu, comme avec n’importe
quel logiciel, il faut prendre le temps de l’apprivoiser… mais je ne vois pas
en quoi cela instaure une dynamique élitiste… À mon humble avis, il est
beaucoup plus facile de démocratiser l’utilisation de logiciels libres comme
Scribus plutôt que celle de logiciels au coût exorbitant comme InDesign. Je n’ai
pas non plus l’impression que le comité journal souhaite tirer de pouvoir de l’utilisation
de Scribus… Je suis certaine que ses membres seraient très enclin-e-s à initier
à Scribus toute personne s’intéressant à la création d’un journal ou de
matériel d’information. Par ailleurs, ces nouvelles personnes s’intéressant au
comité journal (qui ne sont pas nécessairement des as du graphisme) ont bien
plus de chances d’intégrer rapidement le fonctionnement d’un logiciel libre (qu’elles
peuvent installer aisément sur leur ordinateur) que celui d’un logiciel auquel
elles risquent de n’avoir accès qu’à partir des bureaux de l’ASSÉ. Voilà, c'est ma modeste contribution de militante pas experte pantoute dans l'élaboration de plate-forme de journal.
Solidairement,Laurence J.
Date: Thu, 6 Dec 2012 19:48:37 -0500
From:
vieetudiante.afea@gmail.comTo:
desro77@gmail.com
CC:
support@listes.asse-solidarite.qc.caSubject: Re: [asse-support] Express budget - Semaine du 3 décembre
Que le graphisme puisse être amélioré, soit, il y a toujours place à l'amélioration, on en convient.
Toutefois, le journal dans sa forme actuelle est tout de même loin d'être un affront pour les yeux. Il est lisible et synthétique (quelles sont les critiques exactes formulées envers l'Ultimatum, mis à part qu'il est "laid"?).
Il m'est cependant impossible de concevoir qu'une personne ou une collectivité (comme un comité exécutif collégial) puisse décider, pour des raisons purement formelles et visuelles, de non seulement cesser de lire l'Ultimatum mais même d'en empêcher la diffusion.
Si un mauvais choix de polices d'écriture est suffisant pour pousser certains et certaines à un boycott du journal, ces gens là n'étaient probablement pas très interesséEs par l'Ultimatum et son contenu de toute façon.
De plus, il me semble qu'utiliser des qualificatifs comme "hideux" ou "laid" relève de l'hyperbole et est, à la limite, insultant pour celles et ceux qui travaillent à la production de l'ultimatum.
Le 6 décembre 2012 16:48, Alex Desrochers
<desro77@gmail.com> a écrit :
Si sa prend juste un beau journal pour qu'il soit distribuer, on en ferait systématiquement 40 000 copies. Je pense que les gens se trouve des raisons de marde pour rester assis dans leur asso au lieu d'aller faire de la mob. Sérieux, j'ai fait le tour des assos depuis des années, et si un matériel de qualité assure la distribution, ben les gens se donne des critères de qualité élevé pour être sûre de pas mobber.
Moi qui pensait que la force de l'ASSE c'était notre discours ....
Envoyé de mon iPhone
J'en conviens qu'il faut offrir des commentaires constructifs, mais j'ai l'impression qu'aux deux reprises où j'en ai formulé, ça n'a pas vraiment été pris en compte, à quelques détails près. On m'avait répondu qu'hors de l'UQÀM, le journal convenait très bien. Je vous offre encore mon aide pour le montage ou la révision critique de l'aspect visuel lors des prochaines publications.
Le 6 décembre 2012 16:14, Louis-Philippe Véronneau
<veronneaulp@gmail.com> a écrit :
Je suggère aux personnes qui font des critiques sur le journal d'une manière indue une solution simple: parler aux personnes élues sur le comité qui font le travail. Cela pourrait permettre de mettre en lumière le fait que la majeure partie des commentaires (dont ceux de Camille) ont été pris en compte il y a plusieurs parutions.
Cela ferait peut-être en sorte de ne pas dire des énormités sur ASSÉ-SUPPORT et d'être extrêmement blessant. Oui oui, carrément blessant pour les deux personnes qui s'impliquent activement et qui fournissent un travail de haute qualité.
Ha, et aux personnes qui pensent que "Les ultimatums sont devenu hideux visuellement", je vous conseille un petit tour par le bureau de l'ASSÉ pour consulter les archives. Je vous le dis, les Ultimatums d'avant étaient vraiment laids, et pas juste à peu près....
En tentant sincèrement de garder mon calme,
--
Louis-Philippe Véronneau, élu au CRAA
Le 6 décembre 2012 15:28, Julien Royal
<julien.royal@gmail.com> a écrit :
Je vais faire ma belle mère. Les ultimatums sont devenus hideux visuellement.
Et c'est pas juste une question de talent. Vous avez cessé d’utiliser les anciens modèles de journaux car vous êtes passés de Indesign à scribus... ce qui aurais pu être une solution facile.
On me dit que Camille Robert, militante de bon goût, vous à fait des suggestions de police. Peut-être devriez-vous accepter son aide.
Dans le cadre de ma job de permanent d'asso collégiale, les execs ne veulent plus imprimer ni lire aucun ultimatum car ils sont laids.
C'est un problème.
--
Julien Royal,
Téléphone:
(514) 638-1461
Courriel:
julien.royal@gmail.com
2012/12/6 Jean-Michel Savard
<externe@asse-solidarite.qc.ca>
Voilà le dernier Ultimatum express. Faites rouler les presses!
Il contient un article sur le budget péquiste, sur les compressions
budgétaires de 140 M$ et un bilan du RNÉ.
Syndicalement,
--
Jean-Michel
Savard
Secrétaire aux
affaires externes
Association
pour une Solidarité Syndicale Étudiante (ASSÉ)
-------- Message original --------
--
L'équipe du comité journal de l'ASSÉ
Liste de discution de l'Association pour une Solidarité Syndicale Étudiante (ASSÉ)
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Jasmin Cormier
Coordonnateur à la vie étudiante
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Twitter: @AfeaUQAM
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