- Que le gouvernement du Québec s’assure de maximiser l’accessibilité aux études
universitaires, tout en conservant la qualité de la formation.
- Que le gouvernement du Québec s’assure que toute mesure touchant la formation
postsecondaire soit adaptée à sa situation unique en regard aux études universitaires, que
ce soit la récente scolarisation de sa population ou son système d’études collégiales
unique.
- Que le gouvernement procède à un gel des frais de scolarité, veille à ce que les frais
actuellement non réglementés et qui ont été augmentés soient ramenés à leur ancien
niveau et à ce que ces frais ne puissent plus être augmentés. (Cahier de positions 3.1.1 art
254)
- Que le gouvernement du Québec rejette toute modulation des droits de scolarité, tant par
discipline que par cycle d’étude.
- Que l’enveloppe dédiée à l’aide financière aux études soit annuellement révisée, selon les
droits de scolarité exigés, de manière à préserver l’accessibilité aux études au Québec et
que le système d’aide financière aux études soit réajusté en fonction des particularités des
étudiants atypiques.
- Que soit créée une Commission d’évaluation des universités du Québec (CÉUQ), avec
pour mandat d’évaluer l’atteinte des objectifs fixés et l’utilisation des fonds publics par
les universités. (Cahier de positions 2.5.1 art 680)
- Que soit envisagée une contribution des entreprises aux universités québécoises, en
s’assurant de protéger l’autonomie académique des universités.
- Que soit envisagée une contribution des diplômés universitaires aux universités
québécoises.