Bonjour,
Le comité légal se charge de coordonner la contestation des constats
d'infraction émis aujourd'hui contre les manifestants et manifestantes
participant à la lutte contre le plan nord aujourd'hui, le 21 avril.
Nous vous invitons à communiquer avec nous avant de contacter les
avocat-e-s, actuellement débordé-e-s avec les trop nombreuses arrestations
des derniers jours. Partagez à vos camarades concerné-e-s s'il-vous-plaît!
Notre adresse: legal(a)asse-solidarite.qc.ca
Solidairement,
Andrée Bourbeau
pour le comité légal de la CLASSE
Les Soviets de salon, Dominic Maurais, vendredi 20 avril 2012
*
http://www.journaldequebec.com/2012/04/20/les-soviets-de-salon#.T5I7M7gtjKM…
*
*Le débat sur les frais de scolarité n’aura été, pour les plus illuminés,
qu’une opérette aux allures de « lutte des classes ».*
Les cocktails Molotov, le saccage de bureaux d’élus et les briques sur les
rames de métro nous donnent des allures de république de bananes. Nos
socialistes zélés jouent la carte des opprimés avec une stratégie de
sabotage.
L’Association pour une solidarité syndicale élargie (ASSÉ) et la Coalition
de l’ASSÉ (CLASSÉ) refusent obstinément de condamner toute violence parce
qu’elle fait justement partie de leur plan.
L’ASSÉ, de Gabriel Nadeau-Dubois, est affiliée à l’Union communiste
libertaire (UCL).
Sur son site Internet, l’UCL confirme que « les militants (es) de l’UCL
sont impliqués dans le mouvement étudiant, notamment à travers l’ASSÉ ».
Les principaux organes de diffusion de l’ASSÉ et de la CLASSÉ sont les
blogues de l’UCL, « Voix de faits » pour le chapitre de Québec et « Cause
commune » pour celui de Montréal.
Les « zamis » de Lénine sont tout sauf flous quand vient le temps
d’expliquer leurs visées.
Ces extraits sont tirés intégralement du site Internet de l’UCL... en 2012!
*L’anarchie*
« L'UCL est une organisation de militants et de militantes provenant de
divers mouvements de résistance, qui s'identifient à la tradition
communiste dans l'anarchisme et qui ont comme objectif commun une rupture
révolutionnaire avec l'ordre établi. Notre activité est organisée autour du
développement théorique, de la diffusion des idées anarchistes et de
l'intervention dans les luttes de notre classe. »
« Nous cherchons à abolir toutes les formes de capitalisme, qu’il s’agisse
du capitalisme de libre marché ou du soi-disant socialisme, le capitalisme
d'État. »
*Respectent-ils les tribunaux?*
«... les tribunaux et la « justice » dans une société capitaliste comme le
Québec sont tout sauf neutres. Ils ne visent qu'à faire appliquer les lois
qui, elles, sont votées par les membres du Parlement. Les tribunaux et la
police ne sont, en fait, que les chiens de garde des intérêts de la classe
dominante, qui les contrôle politiquement. L'UCL croit donc qu'il est
primordial pour les étudiantes et étudiants ainsi que les travailleurs et
travailleuses de ne pas tomber dans le piège juridique que nous tend l'État
et de demeurer sur le terrain politique de la rue, là où il est possible de
bâtir un réel rapport de force face au gouvernement et aux patrons. Par
conséquent, l'UCL appelle les étudiantes et les étudiants à défier ces
injonctions et à continuer la grève. »
*La violence!
*
« La vraie libération ne peut être atteinte que par la révolution sociale,
rendue possible par l’auto-organisation ouvrière, Pour nous, le concept de
révolution sociale n'est pas une métaphore abstraite, mais plutôt une très
réelle guerre sociale contre toute forme d'oppression. Quoique nous ne
fétichisions pas la violence ou la lutte armée, nous comprenons que la
classe ouvrière devra user de force révolutionnaire pour amener
l'émancipation sociale. (...) Il est important de rappeler que chaque gain,
chaque « droit » qu'a acquis la classe ouvrière fut d'abord et avant tout
arraché en faisant fi de la loi et en cherchant à construire un rapport de
force dans la rue. »
Quand il déclare «Notre lutte dépasse celle des frais de scolarité, c’est
une lutte de classes », Gabriel Nadeau-Dubois joue un mauvais Lénine dans
une ridicule saynète communiste mettant en scène syndicalistes rêveurs,
boomers nostalgiques et enfants-rois illuminés.
Camarades,
Bonsoir,
Un bref message pour vous indiquer que le Cegep de Mont-Laurier a besoin de
notre aide.
Les étudiant-e-s de Mont-Laurier font face à une injonction entrant en vigueur
dès lundi. Considérant que ça fait 10 semaines qu'ils/elles reconduisent la
grève semaine après semaine, la solidarité s'impose.
Ils et elles apprécieraient beaucoup notre présence.
À ceux et celles voulant prêter main forte aux warriors de Mont-Laurier:
LUNDI MATIN, 4H50, du Parc
Émilie-Gamelin.
Comte tenu du nombre de places
limitées VEUILLEZ S.V.P. RÉSERVER VOTRE PLACE, avec # de téléphone, au afesped(a)uqam.ca
Nous avons résisté aux
injonctions. Nous avons vaincu. Résistons encore.
Daniel Crespo
Pour l'AFESPED-UQAM
MANIF-ACTION : LE GRAND TINTAMARRE
==================================
Lundi, 23 avril, 8h
Rendez-vous devant le portail de l'Université McGill
(coin Sherbrooke et McGill College)
Après 10 semaines de grève, nous n'avons toujours pas dit notre dernier
mot! Malgré les injonctions utilisées pour nous bâillonner, le mouvement
tient bon et refuse de se laisser réduire au silence. Face à la surdité
indécente de ceux qui nous gouvernent, continuons de nous mobiliser
bruyamment afin de perturber leur business as usual!
http://www.facebook.com/events/285401744877004/
AMENEZ DU BRUIT!
Bonjour à vous,
Sébastien Robert, conseiller syndical et ancien du mouvement étudiant (et
accessoirement mon frère), m'a invité à vous faire parvenir ses réflexions
concernant la condamnation de la violence. Il s'agit simplement d'un apport
extérieur qui espère aider des gens à se positionner sur la questions en
apportant quelques éléments.
Si ça peut en inquiéter certain-e-s, rassurez-vous : il n'est pas un ancien
de la FECQ, ni de la FEUQ. À vrai dire, il a participé à faire désaffilier
l'association du Cégep Ahuntsic de la FECQ lorsqu'il en était président (de
l'asso d'Ahuntsic, pas de la FECQ...), et celle de l'Université Laval de la
FEUQ.
Je ne fais moi-même que transmettre le message et n'ai pas pris part à
l'écriture de cette lettre.
Solidairement,
Martin Robert
Comme vous le savez, la CLASSE participe à sa façon au rassemblement du 22
avril avec une manifestation débutant à 12h30 au Square Berri. Bien que de
nombreux délégués seront présents en congrès, j'appelle tout les militants
disponibles pour faire un peu de travail de terrain à participer à
l'événement.
En effet, il serait pertinent de distribuer le journal Ultimatum express
"citoyen" durant le 22 avril.
Dans la situation actuelle où les médias cadrent massivement les débat
entourant notre mouvement sur la question de la violence plutôt que sur nos
revendication, une telle action de sensibilisation me semble plus que
nécessaire.
Veuillez me contacter par courriel pour confirmer votre intérêt.
--
Julien Royal,
Téléphone: (514) 638-1461
Courriel: julien.royal(a)gmail.com
"Madame Beauchamp a donné comme devoir aux étudiants membres de la
CLASSE de s’exprimer sur la violence pour avoir le droit de parler
avec elle.
Les étudiants des cycles supérieurs de sociologie de l’Université de
Montréal se sont réunis 5h en assemblée générale aujourd’hui et ont
finalisé les débats commencés 4 jours plus tôt en assemblée générale
extraordinaire pour remplir ce devoir.
Voici la résolution qui a été adoptée à très forte majorité et que les
délégués de l’association défendront au congrès de la CLASSE ce
dimanche :
«Considérant que les étudiants sont, dans le conflit actuel qui les
opposent au gouvernement, victimes de plusieurs formes de violence qui
se traduisent notamment par :
- Le mépris du gouvernement lorsqu’il ignore les revendications des
étudiants et ne souhaite pas négocier avec eux.
- Le déni affiché par les rectorats des universités et par le
gouvernement à l’encontre des revendications des étudiants lorsqu’ils
qualifient leur grève de « boycott »
- La pénalisation des revendications sociales étudiantes à travers
l’usage des injonctions portant atteinte à la démocratie associative
- Le traitement médiatique injuste de la grève par certains
chroniqueurs tendant à présenter l’ensemble des étudiants comme un
groupuscule de radicaux gâtés et capricieux
- Les violences physiques commises par des policiers, en particulier
pour mettre fin à des manifestations pacifiques à l’aide de bombes
aérosol de poivre de Cayenne et de grenades assourdissantes
- L’intimidation subie par des étudiants et des professeurs et exercée
par certains agents de sécurité des campus universitaires, notamment
contractés auprès d’agences privées de sécurité
- L’indécence de la rémunération des recteurs et de leurs primes de
départ au regard du fardeau de l’endettement étudiant que représente
pour beaucoup l’augmentation des frais de scolarité.
- L’ampleur de l’augmentation des frais de scolarité imposée par le
gouvernement limitant l’accessibilité aux étudiants.
--
L’ACSSUM salue la grande majorité des étudiants engagés dans la lutte
contre la hausse des frais de scolarité ainsi que les personnes qui
les appuient et qui s’expriment depuis le début du conflit de manière
pacifique, critique et créative.
Critique la stratégie du gouvernement de division du mouvement
étudiant qui exige unilatéralement une dénonciation de certains actes
qualifiés de « violents » sans condamner, par exemple, la gestion du
conflit par les universités et la brutalité policière et sans non plus
s’interroger sur l’origine de cette violence.
Note qu’en agissant ainsi, le gouvernement oblitère le fait que la
violence est souvent une réaction de personnes qui se trouvent dans un
rapport déséquilibré les opposant à une violence disproportionnée et
institutionnalisée et qu’elle est parfois la seule arme qu’il reste à
ceux qui sont infantilisés, méprisés et bafoués dans leurs droits
qu’il soit ici fait référence au droit à l’éducation ou à la libre
expression de ses convictions politiques.
Rappelle que la CLASSE n’a jamais souscrit à la violence.
Tient à rappeler que seuls les tribunaux et les cours sont habilités à
prononcer une condamnation et que ni les étudiants ni le gouvernement
n’ont à se substituer à ces instances juridiques. La seule
condamnation possible est une condamnation morale.
Dénonce le recours à toute forme de violence, tant physique que
psychologique, et en particulier la violence institutionnelle mise en
œuvre par l’État dans le but de bafouer les droits des citoyens et de
porter atteinte à leur liberté d’expression.
Rappelle que le débat de fond concerne les frais de scolarité et
l’accessibilité aux études universitaires.
Je vous propose de publier cette résolution pour montrer que les
étudiants font leurs devoirs docilement, même si l’arrogance de ce
gouvernement pousserait plutôt à la révolte."
Myriam Tardif
AÉAUM
Salut,
Il y a ce document qui a été produit par la Fédération des cégeps pour les admins. Tous les points ont été adoptés.
Malheureusement on a pas accès à un scanner ici, mais voici une reproduction fidèle du document. Vos admins en ont certainement des copies, à vérifier auprès de vos représentant.es sur les CA des collèges.
-------------------------------------
Fédération
des cégeps
Mouvement étudiant - Plan de match
L'urgence d'agir, de dialoguer et de régler le conflit étudiant !
Stratégie proposée à la suite de la conférence téléphonique du 16 avril 2012 avec les directions générales de collège.
1. Appeler le cabinet de la ministre de l'Éducation, du Loisir et du Sport tôt le 17 avril pour :
- Signifier le ras-le-bol des directeurs généraux qui estiment qu'on entre dans une zone où le rattrapage de la session coûtera plus cher que l'augmentation des droits de scolarité et surtout aura des impacts humains considérables sur les étudiants. Les directeurs généraux veulent que leur Fédération durcisse le ton auprès du gouvernement pour qu’il trouve un dénouement rapide à la crise.
- Exiger une rencontre immédiate entre la ministre et vice-première ministre et un groupe de directeurs et présidents de conseil d'administration afin qu'ils exposent les conséquences graves sur les étudiants et les coûts si le boycott se poursuit.
- Requérir de la ministre qu'elle entre immédiatement dans un blitz de discussions et de négociation avec la FEUQ, la FECQ et la CLASSE afin qu'au plus tard le mardi 24 avril nous puissions annoncer un retour en classe général.
2. Monter d'un cran dans notre discours à un moment jugé opportun afin d'accentuer la pression sur la ministre.
3. Élaborer un tableau simple et clair des coûts pour le gouvernement de reporter la fin de la session d'hiver 2012 à partir du mois d'août 2012 pour 15 collèges.
4. Faire un document illustrant entre 7 à 8 types de conséquences pour les étudiants (refus d'admission à l'université, côte R, perte d'emploi, notamment).
5. D'ici le vendredi 20 avril, tous les directeurs généraux concernés entrent en contact avec leur député pour faire état de la situation et lui acheminer le tableau des coûts et les cas types des conséquences pour les étudiants et pour lui demander d'intervenir auprès de la ministre et du premier ministre.
6. Si les discussions entre la ministre et les étudiants n'aboutissent pas ou ne sont pas en voie d'aboutir, la Fédération organisera une activité de presse pour refaire le point et accentuer le discours public (on évaluera à ce moment-là l'opportunité de dévoiler le tableau des coûts et les impacts).
Cette semaine l'AFESPED a adoptées des positions que voici:
plan d'action
CONSIDÉRANT
que l’AFESPED a adopté une proposition à la dernière AG du
type : « T’en coules un, on plonge tous! »
CONSIDÉRANT
l’intimidation que représentent les menaces d’annulation de
session sur certains membres de la communauté étudiante.
CONSIDÉRANT
le mépris de la part du gouvernement, et des administrations
collégiales et universitaires, des propositions adoptées en AG par
les associations étudiantes.
CONSIDÉRANT
que l’actuelle judiciarisation de la grève étudiante crée un
détournement du réel débat pour ou contre : la hausse des
frais de scolarité, le gel des frais de scolarité et la gratuité
scolaire.
CONSIDÉRANT
que le droit est autant un instrument de libération que d’oppression
et de répression des peuples.
CONSIDÉRANT
qu'aujourd'hui c'est la journée nationale du droit et le 30eme
anniversaire de la charte canadienne des droits et libertés.
Que
l’AFESPED et la CLASSE dénoncent les diverses atteintes à la
démocratie étudiante et au processus décisionnel légitime des
assemblées générales.
Que
l’AFESPED et la CLASSE dénoncent l’utilisation d’injonctions
dans le but de restreindre la liberté d’expression, la liberté
d’opinion ainsi que la liberté de réunion des étudiant-e-s (qui
sont aussi des citoyen-ne-s et des contribuables en passant Mme
Beauchamp).
Que
l’AFESPED et la CLASSE invitent leurs membres à aller supporter
physiquement et psychologiquement les associations étudiantes
« menacées » par le gouvernement et les
administrations collégiales et universitaires.
Que
l’AFESPED et la CLASSE assurent
l'accès à des moyens de transport pour se
rendre sur les campus des associations étudiantes « menacées »,
si cela est possible dans un délai raisonnable.
Que
l’AFESPED et la CLASSE poursuivent leur chemin sur la voie de la
solidarité étudiante générale illimitée.
---------------------------------------Que
l'AFESPED demande à la CLASSE de maintenir un discours combatif dans
les médias en priorisant nos demandes principales plutôt que
l'absolue nécessité de participer à toutes négociations-piège.
---------------------------------------
Que
l'AFESPED et la CLASSE re-définissent clairement et publiquement ce
qu'est une saine gestion des universités;
Que
l'AFESPED et la CLASSE déterminent quelles sont les associations
étudiantes, peu importe leur allégeance à une association
nationale, les associations de travailleurs et travailleuses et les
groupes de citoyens et citoyennes qui ont adopté des positions
communes quant à la définition d'une saine gestion des universités
et que l'AFESPED et la CLASSE fassent part de cette ribambelle
d'appuis dans les médias;
Que
l'AFESPED et la CLASSE, suite à cet exercice publique de définition,
soulignent, toujours publiquement, l'implication logique d'un gel des
droits de scolarité à court terme et de la gratuité scolaire à
moyen terme dans une saine gestion des universités et des fonds
publics;
Que
les positions de l'AFESPED et de la CLASSE sur la saine gestion des
universités et de la gratuité scolaire soient communiqués aux
citoyens et citoyennes du Québec directement via des médias
alternatifs (communiqués, documents, médias sociaux, journaux
locaux, etc.) et la mobilisation directe.
--------------------------
Considérant
que le gouvernement demande à la CLASSE de condamner l'usage de la
violence pour pouvoir négocier;
Considérant
que la FECQ/FEUQ comme la CLASSE n'a jamais condamné l'usage de la
violence;
Considérant
que le gouvernement ne se préoccupe guère que la FECQ et la FEUQ
n'ai jamais condamné la violence;
Que
la CLASSE refuse d'entrer dans la rhétorique du gouvernement;
Que
la CLASSE souligne les conditions du gouvernement ne sont qu'un faux
prétexte pour exclure la CLASSE.
Laurence Côtéexterne de l'AFESPED
Bonjour à tous et à toues, je veux porter à votre attention le projet
suivant ci-bas. Il semble que ce projet permettrait de créé une banque
d'image des slogans / pancarte de la grève. Ainsi nous pourrons les admirer
encore pendant des années, un peu comme celle de mai 68.
Bref je vous invite à contacter la photographe si le projet vous intéresse
et à participer en grand nombre.
Voici son message:
______________________________________
Bonjour,
je suis photographe et je me promène dans les manifestations afin de
photographier les pancartes, banderoles, drapeau, etc...
Mon but: publier un livre de photos qui témoigne d'une des plus longues et
des plus turbulentes grève de l'histoire du Québec.
Ce recueil qui illustre sur fond blanc des photos des différents supports
de revendications utilisés durant les marches, mainifs et autres
déploiements d'indignation, servira de vache à lait au mouvement étudiant,
afin de renflouer les coffres des assos étudiantes.
Aidez-moi à répertorier ces artéfacts uniques et singuliers qui exhibent
l'ingéniosité, la culture, l'intelligence et le talent de nos étudiants et
de leurs paires.
Alors, étudiant(e)s, manifestant(e)s, professeur(e)s, parents, amis, assos,
syndics et coalitions étudiantes, qui que vous soyez, o*ù* que vous soyez,
contactez-moi incessamment afin de participer à ce projet et de redonner de
l'ardeur à notre mouvement.
Que votre printemps soit érable.
*Méliza Ash *
*Photographe*
*514-519-2063*
*meliza_ash(a)hotmail.com *
https://www.facebook.com/profile.php?id=650515466
--
*Guillaume Vézina
Secrétaire à l'information
Coalition Large de l'Association pour une solidarité syndicale étudiante
(CLASSE)
Cellulaire: (514) 571-4966
Site web: www.asse-solidarite.qc.ca*