Bonjour!
Le cégep de Terrebonne entre demain en campagne d'affiliation à la FECQ. Je souhaitais offrir certains détails de cette campagne (j'ai pas vérifié ces informations-là, je les ai entendu de gens plus présent que moi sur ce campus) :
- Il n'y a pas de limite de gens ''externe'' au cégep pour cette campagne- La campagne est mardi, mercredi, jeudi et le vote est vendredi et lundi (il semble qu'il est possible de mobiliser lors des jours de vote).- L'exécutif local est l'avant-garde fecquiste à Terrebonne et n'a pas l'obligation d'être neutre pour cette campagne. - Le contrat référendaire a été signé par l'exécutif et la FECQ, le comité non à la FECQ n'était pas présent. Je crois que personne du comité contre la FECQ ne l'a vu pour l'instant.
- Les comités référendaires possèdent 300$ (je pense qu'un remboursement de transport est possible, mais il faut vérifier).- La mob là-bas est quasi-nulle ( et voici le groupe facebook contre la FECQ à Terrebonne :https://www.facebook.com/nonfecqterrebonne).
Un coup de main pourrait être très pertinent et efficace. Donc si vous aussi vous souhaitez aider à garder la rive-nord de montréal libre de la FECQ, vous êtes cordialement invité à donner un coups de main à cette campagne. Vous pouvez débarquer sur le campus lors de la campagne ou contacter cette sympathique personne qui s'aura aider d'un point de vue logistique : delu22(a)hotmail.com
Solidairement,
Vincent A.
Bonjour,
voici la dernière version du cahier de congrès:
http://www.asse-solidarite.qc.ca/wp-content/uploads/2013/04/cahier-de-prepa…
Si vous ne l'avez pas encore fait, inscrivez-vous ici:
http://www.asse-solidarite.qc.ca/evenement/congres-regulier-6-et-7-avril-20…
pour que nous puissions prévoir la logistique entourant le congrès.
Finalement, je vous rappelle qu'un autobus partira de Montréal *Samedi
matin à 6h30 au Parc Émilie-Gamelin*. Un petit-déjeuner et du café vous
seront servis. L'autobus partira à 8h de Québec pour revenir vers Montréal,
la journée même. Si vous avez d'autres questions, vous pouvez communiquer
avec nous!
Au nom du conseil exécutif,
Solidairement,
--
*Jeanne Reynolds
Secrétaire aux relations internes
Association pour une solidarité syndicale étudiante (ASSÉ) *
*Site web: www.asse-solidarite.qc.ca*
[English below or: http://www.qpirgconcordia.org/?p=4319]
[facebook: http://www.facebook.com/events/484564931600873/]
[svp partagez largement] [please post and forward widely]
Travail?!$@#
Teach-in anticapitaliste sur le thème du travail et du 1er mai
Dimanche 7 avril, 10h-18h
CÉDA (2515, rue Delisle), métro Lionel-Groulx
---
HORAIRE EN BREF
10h: L’autogestion en milieu de travail (Guillaume! et Marie-Eve Lamy)
10h: Le travail de reproduction et la construction de biens communs à l'ère de l'accumulation primitive (Silvia Federici)
13h:
Travailleurs et travailleuses immigrantEs à Montréal: Précarité et
lutte? (Erik Argüello, Evelyn Calugay, Viviana Medina et Aadi Ndir )
13h: Assemblées populaires dans les lieux de travail : Des pistes pour reprendre le pouvoir de la base (Dave Bleakney)
13h:
Art & politique: Le travail créatif comme outil d’émancipation
politique – critique du productivisme militant (Marhi Aive)
15h: La division autoritaire du travail (Kevin Sutton)
15h: Survie et résistance : Un historique immigrant du 1er mai (Mostafa Henaway & Jaggi Singh)
15h:
Les établissements d'enseignement : Tirer un maximum de productivité
des étudiantEs (Jeanne Bilodeau, Amber Gross, Camille Robert et Camille
Tremblay-Fournier)
17h: Plénière avec collations
---
Entrée libre
Bouffe, service de garde et traduction chuchotée (FR/EN) offerts gratuitement
Accessible aux chaises roulantes
L'horaire complet des ateliers et de la plénière ci-dessous ou: http://www.qpirgconcordia.org/?p=4319&lang=fr
Toute la journée : foire d'informations et de ressources anticapitalistes
Une
journée entière d'ateliers anticapitalistes sur le thème du travail et
du 1er mai. Ce teach-in est organisé dans le cadre des activités de
mobilisation pour le 1er mai anticapitaliste (info: http://www.clac-montreal.net/mayday_2013) et de la marche familiale Un statut pour tous et toutes! le 18 mai (info: http://www.solidarityacrossborders.org/fr/may-18-status-for-all-march)
Ce teach-in est le deuxième d’une série, organisés dans le cadre des
assemblées anticapitalistes mensuelles de la CLAC à Montréal. Il est
ouvert à tout le monde et inclut des ateliers d'introduction et des
ateliers plus approfondis. À la fois basée sur l'autoformation et portée
vers l'action commune, cette série de teach-in est également l'occasion
de garnir la banque d'ateliers anticapitalistes, un outil décentralisé
d'éducation populaire et accessible en ligne :
http://ateliersanticapitalistes.wordpress.com/
Vous
désirez donner un coup de main? Vous désirez soumettre du matériel
d'éducation populaire anticapitaliste pour le teach-in ou bien soumettre
un atelier à notre base de données? Écrivez-nous à : educationpopulaire(a)clac-montreal.net
Organisé par le Comité Éducation populaire de la CLAC
(Convergences des luttes anticapitalistes); co-parrainé par QPIRG
Concordia, avec le soutien du GRIP-UQÀM & QPIRG-McGill
INFO:
educationpopulaire(a)clac-montreal.net
www.clac-montreal.net
::: HORAIRE :::
-- 10h-12h : Ateliers en parallèle (2) --
L'autogestion en milieu de travail
Présenté en français
Salle #125
Dans notre société capitaliste et patriarcale, le monde du travail
est plus souvent qu'autrement synonyme d'exploitation, d'aliénation, de
dépossession et, surtout, d'ennui! Le travail salarié étant pour la
vaste majorité d'entre nous une nécessité forcée plutôt qu'un choix
délibéré, est-il possible d'organiser nos lieux de travail sur des
principes autogestionnaires : égalité, entraide mutuelle, démocratie
directe et participative, anti-autoritarisme? Quels sont les obstacles à
l'autogestion et comment peut-on les surmonter? Quelles sont les
limites de l'autogestion en milieu de travail dans un système fondé sur
la propriété privée des moyens de production? Nous vous convions à une
discussion ouverte pour partager et apprendre de nos expériences
respectives. Il ne s'agit pas ici de se lancer dans de grandes analyses
systémiques, mais plutôt de jeter les bases d'une réflexion sur le
travail salarié d'une perspective anticapitaliste et antiautoritaire et
de voir comment, ici et maintenant, on peut mettre en pratique nos
idéaux là où l'on passe souvent plus de 50% de notre temps!
Animé par : Guillaume! et Marie-Eve Lamy. Guillaume! est
travailleur chez Koumbit et Marie-Eve Lamy est travailleuse chez Lux
Éditeur.
---
Le travail de reproduction et la construction de biens communs à l’ère de l’accumulation primitive
Présenté en anglais
Salle #119
Prenant la reproduction
comme terrain principal du changement social, Silvia Federici discutera
de la restructuration et de la crise mondiales du travail de
reproduction -- travail domestique, travail du sexe, soins aux personnes
âgées -- et de leurs effets sur les relations de genre, le
développement du travail affectif et le besoin de construire des biens
communs en matière de reproduction.
Présenté par : Silvia Federici, écrivaine, professeure et
militante féministe. Au début des années 70, elle a été l'une des
fondatrices du Collectif féministe international, l'organisation qui a
mené la campagne internationale revendiquant le salaire pour les tâches
ménagères (WFH). Plus récemment, Federici est membre du Midnight Notes
Collective et cofondatrice du Comité pour la liberté académique en
Afrique. Elle est l'auteure de nombreux livres et essais, y compris
Revolution at Point Zero : Housework, Reproduction, and Feminist
Struggle (PM Press, 2012) et Caliban and the Witch: Women, the Body and
Primitive Accumulation (Autonomedia, 2004).
-- 12h-13h : Dîner --
-- 13h-15h : Ateliers en parallèle (3) --
Travailleurs et travailleuses immigrantEs à Montréal: Précarité et lutte?
Présenté en anglais et en français
Salle #119
À partir de l'expérience du Collectif Dignidad Migrante, de Pinay, du
Centre des travailleurs et travailleuses immigrants et d’expériences
personnelles, nous allons discuter des nuances entre le travail précaire
des immigrantes et la division internationale du travail. Par exemple,
la main-d'oeuvre migrante au Canada se développe au noir, ce qui crée
des profits énormes pour les entreprises canadiennes, tandis que le
gouvernement ferme les yeux pour favoriser les patrons. En même temps,
les avantages sociaux des travailleurs et travailleuses canadienNEs sont
basés sur la surexploitation des immigrantes et des pays pauvres comme
le Mexique. Un des effets de cette dynamique économique est que nos pays
d'origine sont parmi les premiers expulseurs d'immigrantes de la
planète.
Présenté par : Viviana Medina et Erik Argüello (Dignidad
Migrante, MUR); Aadi Ndir (CTI); Evelyn Calugay (Pinay). Viviana Medina
et Erik Argüello sont militant-e-s et membres fondateur-trice-s du
Collectif Dignidad Migrante et de MexicainEs uniEs pour la
régularisation (MUR). Aadi Ndir a été sans papiers pendant six ans à
Montréal et connaît bien les systèmes d'exploitation; aujourd'hui il
travaille comme organisateur communautaire au Centre de travailleurs et
travailleuses immigrants (CTI). Evelyn Calugay est membre de Pinay
Québec, une organisation de femmes philippines du Québec qui défend les
droits des travailleuses domestiques depuis 1991. Dignidad Migrante, MUR
et CTI font partie du réseau un Statut pour toutes et tous.
---
Assemblées populaires dans les lieux de travail : Des pistes pour reprendre le pouvoir de la base
Présenté en anglais
Salle #123
L’ordre
actuel est insoutenable tant aux niveaux social, économique,
qu’environnemental. Le modèle de la croissance constante ne fait pas
seulement banqueroute, il repose sur une forme de marchandisation
paralysante. Les travailleurs et travailleuses sont aux prises avec un
nivellement par le bas à l’intérieur d’un ordre insoutenable. Il y a un
conflit fondamental entre ceux et celles qui travaillent et produisent
des biens et ceux et celles qui profitent de ce travail. L’éducateur
populaire Paulo Freire a dit “creusez là où vous êtes”. Les syndicats et
tout groupe de travailleurs et travailleuses peuvent affirmer leur
présence dans leurs lieux de travail en ayant recours aux assemblées
populaires. Cet atelier traitera des manières de former des assemblées
et leur potentiel de remettre en cause les dynamiques destructrices du
capitalisme.
Animé par : Dave Bleakney, travailleur des postes et syndicaliste
anticapitaliste qui, au cours des 16 dernières années, a été le
représentant de l'éducation nationale (anglophone) pour le Syndicat des
travailleurs et travailleuses des postes.
---
Art & politique: Le travail créatif comme outil d'émancipation politique - critique du productivisme militant
Présenté en français
Salle #125
L'atelier
aura comme objectif de créer un espace pour réfléchir sur la place
offerte à la création artistique dans les espaces militants
antiautoritaires. Pourquoi concevons-nous la création artistique comme
une pratique individualiste? Comment sortir de l'art du divertissement
pour entrer dans une pratique politique artistique? Comment sortir d'une
logique productiviste calquée sur le capitalisme pour concevoir une
logique émancipatrice artistique? Comment est-il possible, à travers
l'art, de reprendre contact avec nos corps? Voici quelques questions
qui seront posées. Vous êtes bienvenues à partager vos expériences et
réflexions.
Animé par : Marhi Aive, étudiante en Études littéraires. Depuis
quelques temps, elle réfléchit sur la littérature et le langage du corps
comme outils d'émancipation politique, dans une perspective féministe.
Elle fait partie du bloc des auteur.e.s anarchistes et a travaillé sur
le zine créatif de réflexion féministe SpeCULum.
-- 15h-17h : Ateliers en parallèle (3) --
La division autoritaire du travail
Présenté en anglais
Salle #123
La
division du travail est une méthode centrale de l’organisation du
pouvoir et des privilèges dans les sociétés patriarcales fondées sur la
classe sociale, et ce, depuis le travail dans les champs des premiers
empires jusqu’à la condition actuelle de précarité causée par le marché
du travail flexible. À l’aide d’analyses anticapitalistes,
antiautoritaires et féministes, nous examinerons la façon dont le régime
actuel du travail perpétue une longue tradition de division violente
selon des catégories de genre, de classe sociale, de race, de région, de
légalité, pour n’en nommer que quelques-unes. L’objectif est de générer
une discussion animée sur les manières dont les mouvements de
contestation et les projets alternatifs d’organisation de la
(non-)production peuvent surmonter et/ou reproduire ces divisions qui
posent problème.
Présenté par : Kevin Sutton, un éducateur précaire qui gagne sa
vie en aidant les étudiantEs à réussir leurs examens d'économie et en
rendant sa vie plus vivable par la remise en question de leurs croyances
à travers ce processus. Kevin cherche la complicité avec tous ceux et
toutes celles qui voudraient contester le régime de l'ennui de
l'économiste.
---
Survie et résistance : Un historique immigrant du 1er mai
Présenté en anglais et en français
Salle #119
Cette
présentation et discussion traite du 1er mai du point de vue des luttes
des travailleurs et travailleuses immigrantEs et des luttes
antiracistes. Depuis ses débuts, le 1er mai a été lié aux campagnes des
travailleurs et travailleuses immigrantEs, non seulement pour de
meilleures conditions de travail, mais contre le racisme systémique. Des
ouvriers juifs et ouvrières juives de l’Europe de l’Est du 19e siècle,
en passant par les migrantEs chinoisEs qui ont construit les chemins de
fer, jusqu’aux travailleurs et travailleuses immigrantEs de l’Amérique
latine d’aujourd’hui qui se sont “réapproprié” le 1er mai, aux
États-Unis en 2005-06, la prise en compte de l’expérience des
immigrantEs (avec ou sans papiers) est cruciale à la compréhension des
bases radicales du 1er mai et de sa signification pour nous aujourd’hui.
Outre la présentation d’une perspective historique des racines du 1er
mai, cette discussion explorera quelques exemples locaux de luttes
migrantes dans le cadre de campagnes populaires, ouvrières et
antiracistes.
Présenté par : Mostafa Henaway & Jaggi Singh. Mostafa Henaway
est un organisateur communautaire, actif au sein du Centre des
travailleurs et travailleuses immigrant-e-s. Jaggi Singh est un
organisateur communautaire, actif au sein de Solidarité sans frontières
et de Personne n’est illégal. Tous deux sont nés et ont grandi à Toronto
et sont impliqués dans la Convergence des luttes anticapitalistes
(CLAC) à Montréal.
---
Les établissements d’enseignement : Tirer un maximum de productivité des étudiantEs
Présenté en français
Salle #125
Ce
panel d’étudiant-e-s impliqué-e-s dans des divers aspects du mouvement
étudiant a comme objectif d’explorer différents éléments du travail et
de l’exploitation dans nos systèmes d’éducation. Les sujets discutés
seront, entre autres : l’organisation politique autour du travail
étudiant et les luttes au sein des universités qui tentent de faire des
étudiantEs des travailleurs et travailleuses à rabais; la division
genrée du travail pendant la grève et l’organisation politique genrée du
mouvement étudiant; les écoles comme usines à fabriquer des “bons
travailleurs et bonnes travailleuses” pour le système capitaliste.
Présentée par : Jeanne Bilodeau, étudiante en enseignement au
secondaire qui milite au sein du Grévisse, un groupe autonome dans le
département d'éducation, à l'UQAM; Amber Gross- étudiante militante et
membre d’AMUSE/SEOUM, le Syndicat des employé(e)s occassionels de
l’Université McGill; Camille Robert, étudiante en histoire à l'UQAM et
impliquée dans le mouvement étudiant depuis quelques années; et Camille
Tremblay-Fournier, étudiante en sociologie et études féministe;
militante étudiante et ancienne membre du comité femmes de l'ASSÉ.
-- 17h-18h : Plénière avec collations --
Joignez-vous
à nous, à la fin du teach-in, pour une courte plénière pour faire le
lien entre les sujets abordés lors du teach-in et pour en savoir plus
sur les mobilisations et les actions qui s'en viennent.
Il y aura des rafraîchissements et une collation, ainsi que des
présentations sur la journée d'ateliers. Il y aura des membres de la
Convergence des luttes anticapitalistes (CLAC) de Montréal nous pour
nous parler de la manifestation du 1er mai prochain et de la Coalition
Un statut pour tous et toutes pour nous parler de la manifestation pour
les droits des immigrantEs.
INFO:
educationpopulaire(a)clac-montreal.net
www.clac-montreal.net
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Work?!$@#
Anti-capitalist Teach-in about May Day and Labour
Sunday April 7, 2013, 10am to 6pm
CÉDA (2515 Delisle), Lionel-Groulx metro
---
SCHEDULE IN BRIEF:
10am: Self-management in the Workplace (Guillaume! & Marie-Eve Lamy)
10am: Reproductive Work and the Construction of the Commons in an Era of Primitive Accumulation (Silvia Federici)
1pm: Immigrant Workers in Montreal: Precarity and Struggle? (Erik Argüello, Evelyn Calugay, Viviana Medina & Aadi Ndir)
1pm: Workplace Popular Assemblies: Possibilities for reclaiming grassroots power (Dave Bleakney)
1pm: Art & Politics: Creative work as a tool for political emancipation – critique of activist productivism (Marhi Aive)
3pm: The Authoritarian Division of Labour (Kevin Sutton)
3pm: Survival and Resistance: An Immigrant History of May Day (Mostafa Henaway & Jaggi Singh)
3pm:
Educational Institutions: Squeezing maximum productivity from
students (Jeanne Bilodeau, Amber Gross, Camille Robert & Camille
Tremblay-Fournier)
5pm: Plenary
---
Free entrance
Free food, childcare, and whisper translation (EN/FR)
Fully accessible to wheelchairs
Full schedule of workshops and plenary listed below or: http://www.qpirgconcordia.org/?p=4319
All day: Info-fair with anti-capitalist resources
A full day of anti-capitalist workshops, this teach-in is organized in the lead up to anti-capitalist May Day on May 1st (info: http://www.clac-montreal.net/en/mayday_2013) and the family-friendly Status for All! march on May 18th (info: http://www.solidarityacrossborders.org/en/may-18-status-for-all-march)
It is the second teach-in in a series organized in the context of
CLAC's monthly anti-capitalist assemblies in Montreal. It is open to
everyone and includes both introductory and more in-depth workshops. In a
spirit of self-education and aimed at collective action, the teach-in
series also serves to build an online database of anti-capitalist
workshops, a decentralized tool for popular education: http://ateliersanticapitalistes.wordpress.com/
If you would like to help out, submit material to the info-fair, or
submit a workshop to the workshop database, get in touch with us at:educationpopulaire@clac-montreal.net
Organized by the Popular Education Committee of the CLAC
(Convergences des luttes anticapitalistes), co-sponsored by QPIRG
Concordia, with the support of: GRIP-UQAM & QPIRG-McGill
INFO
educationpopulaire(a)clac-montreal.net
www.clac-montreal.net
---
::: SCHEDULE :::
--- 10am to 12pm: Simultaneous Workshops (2) ---
Self-management in the Workplace
Presented in French
Room #125
In our capitalist and patriarchal society, the
working world is more often than not synonymous with exploitation,
alienation, dispossession and, above all, boredom! Salaried work is, for
the vast majority of us, a necessity rather than a matter of choice. Is
it possible to organize our workplaces on the principles of
self-management: equality, mutual aid, direct and participatory
democracy and anti-authoritarianism? What are the barriers to
self-management and how can they be overcome? What are the limits of
self-managed workplaces within a system based on private ownership of
the means of production? We invite you to join an open discussion to
share and learn from our respective experiences. Our workshop will not
attempt to present a grand systematic analysis. Rather we hope to set
out some basic points for reflecting on salaried work from an
anti-capitalist and anti-authoritarian perspective in order to figure
out how to put our ideals into practice, here and now, in the spaces in
which many of us spend more than half of our time!
Presented by: Guillaume! and Marie-Eve Lamy. Guillaume! is a worker at Koumbit and Marie-Eve Lamy is a worker at Lux Éditeur.
---
Reproductive Work and the Construction of the Commons in an Era of Primitive Accumulation
Presented in English
Room #119
Looking at reproduction as
the first terrain of social change, Silvia Federici will discuss the
global restructuring and crisis of reproductive work -- housework, sex
work, elder care -- its effects on gender relations, the development of
affective labor and the need for the construction of reproductive
commons.
Presented by: Silvia Federici, a writer, teacher and feminist
activist. In the early seventies, she was one of the founders of the
International Feminist Collective, the organization behind the
international Wages for Housework (WFH) campaign. More recently,
Federici is a member of the Midnight Notes Collective, and one of the
co-founders of the Committee for Academic Freedom in Africa. She is the
author of numerous books and essays, including Revolution at Point Zero:
Housework, Reproduction, and Feminist Struggle (PM Press, 2012) and
Caliban and the Witch: Women, the Body and Primitive Accumulation
(Autonomedia, 2004).
-- 12pm to 1pm: Lunch --
-- 1pm to 3pm: Simultaneous Workshops (3) --
Immigrant Workers in Montreal: Precarity and Struggle?
Presented in English and French
Room #119
Based on the experiences of Dignidad Migrante, Pinay and the Immigrant
Workers Centre, as well as our own experiences, we will discuss the
nuances between precarious labour of immigrants and the international
division of labour. For example, under the table migrant work in Canada
generates huge profits for Canadian businesses while the state ignores
it to profit the bosses. At the same time, the social benefits of
Canadian workers are based on the super-exploitation of immigrants and
poor countries like Mexico. One of the effects of this economic dynamic
is that our countries of origin are among the greatest immigrant
producing countries in the world.
Presented by: Viviana Medina and Erik Argüello (Dignidad Migrante
and Mexicains united for Regularization); Aadi Ndir (Immigrant Workers
Centre); Evelyn Calugay (Pinay). Viviana Medina and Erik Argüello are
activists and founding members of the Dignidad Migrante collective and
the Mexicans United for Regularization. Aadi Ndir lived without papers
for six years in Montreal and is well-acquainted with systems of
exploitation; today he works as a community organizer at the Immigrant
Workers Centre. Evelyn Calugay is a member of Pinay Québec, an
organization of Filipino women in Quebec which has fought for the rights
of domestic workers since 1991. Dignidad Migrante, MUR and CTI are part
of the Status for All! network.
---
Workplace Popular Assemblies: Possibilities for reclaiming grassroots power
Presented in English
Room #123
The
present order is unsustainable socially, economically and ecologically.
The constant growth model is not only bankrupt but based on a
disempowering form of commodification. Workers are in a race to the
bottom in an unsustainable order. There is a fundamental conflict
between those who labour and produce things and those who profit from
that labour. Popular educator Paulo Friere said “dig where you stand”.
Unions and any group of workers can make their presence felt in the
places they work by using grassroots assemblies. This workshop will
discuss how can these assemblies be created and what possibilities exist
for them to challenge the destructive dynamics of capitalism.
Presented by: Dave Bleakney, a postal worker and an
anti-capitalist trade unionist who, for the past 16 years, has been the
national education representative (anglophone) for the Canadian Union of
Postal Workers.
---
Art & Politics: Creative work as a tool for political emancipation - critique of activist productivism
Presented in French
Room #125
This
workshop aims to create a space to reflect on the place of artistic
creation in anti-authoritarian activist spaces. Why do we conceive of
artistic creation as an individualist practice? How can we leave behind
the art of amusement and move into an artistic political practice? How
can we escape a productivist logic imitating capitalism and conceive an
artistic emancipatory logic? How, through art, can we regain contact
with our bodies? These are some of the questions which will be raised.
You are welcome to come and share your experiences and reflections.
Presented by: Marhi Aive, a Literary Studies student. For some
time, she has thought about literature and the language of bodies as
tools of political emancipation, from a feminist perspective. She is
part of the Anarchist Writers Bloc and works on the creative feminist
zine SpeCULum.
-- 3pm to 5pm: Simultaneous Workshops (3) --
The Authoritarian Division of Labour
Presented in English
Room #123
From
a lifetime of toiling in the fields of the first empires to a lifetime
of precarity in the flexible labour market, the division of labour has
been a central method of organizing power and privilege in patriarchal
class societies. Using anti-capitalist, anti-authoritarian and feminist
analyses, we will examine how the contemporary work regime perpetuates a
long legacy of violent division along the lines of gender, class, race,
region, legality and more. The goal is to generate a lively discussion
of how movements of contestation and alternative projects for organizing
(non-)production can overcome and/or reproduce these problematic
divisions.
Presented by: Kevin Sutton, a precarious educator who makes a
living helping economics students pass their exams and makes life
liveable by undermining their beliefs in the process. Kevin seeks
complicity with all who would challenge the economist's regime of
boredom.
---
Survival and Resistance: An Immigrant History of May Day
Presented in English and French
Room #119
This
presentation and discussion will look at May Day from the perspective
of migrant worker and anti-racist struggles. From its origins, May Day
has been linked to the campaigns of immigrant workers, not just for
better working conditions, but against systemic racism. From Jewish and
Eastern European laborers in the 1800s, to Chinese migrants who built
railways, to today's Latin American migrants in the US who "reclaimed"
May Day in 2005-06, the experiences of immigrants (with or without
papers) is crucial to understanding the radical underpinnings of May Day
and its meaning for us today. Aside from providing a historical
perspective on the roots of May Day, this workshop will also explore
some local examples of migrant justice struggles linked to popular,
working class, anti-racist campaigns.
Presented by: Mostafa Henaway & Jaggi Singh. Mostafa Henaway
is a community organizer active with the Immigrant Workers Center. Jaggi
is a community organizer, active with Solidarity Across Borders and No
One Is Illegal. Both Mostafa and Jaggi, who were born and raised in
Toronto, are involved with the Status For All Coalition and the
Anti-Capitalist Convergence (CLAC) in Montreal.
---
Educational Institutions: Squeezing maximum productivity from students
Presented in French
Room #125
This
panel discussion by students involved in diverse aspects of the student
movement will explore different elements of labour and exploitation in
our education systems. Panelists will discuss the following questions:
student labour organizing in universities that try to use them as
discount workers; gendered divisions of labour during the 2012 student
strike and in the student movement more generally; and schools as
factories producing 'good workers' for the capitalist system.
Présentée par : Jeanne Bilodeau, étudiante en enseignement au
secondaire qui milite au sein du Grévisse, un groupe autonome dans le
département d'éducation, à l'UQAM; Amber Gross- étudiante militante et
membre d’AMUSE/SEOUM, le Syndicat des employé(e)s occassionels de
l’Université McGill; Camille Robert, étudiante en histoire à l'UQAM et
impliquée dans le mouvement étudiant depuis quelques années; et Camille
Tremblay-Fournier, étudiante en sociologie et études féministe;
militante étudiante et ancienne membre du comité femmes de l'ASSÉ.
-- 5pm to 6pm: Plenary with snacks! --
Join us at
the end of the teach-in for a short plenary bringing together the themes
of the Teach-In and looking ahead towards upcoming mobilizations and
actions. There will be drinks and snacks, as well as presentations about
the day's workshops. We'll also hear from members of the
Anti-Capitalist Convergence (CLAC) of Montreal about the upcoming May
1st demonstration, as well as from the Status For All Coalition about
the May 18th city-wide demonstration for immigrant rights.
INFO:
educationpopulaire(a)clac-montreal.net
www.clac-montreal.net
_______________________________________________
AVIS: les messages transférés sur cette liste ne proviennent pas
nécessairement de la CLAC-Montréal et peuvent provenir d'alliéEs ou de
groupes alliés. La CLAC-Montréal et les admins de cette liste n'assument
pas la responsabilité du contenu des invitations transmises sur cette
liste, sauf celles qui sont explicitement organisées ou convoquées par
la CLAC-Montréal.
***
DISCLAIMER: messages transfered over this list do not necessarily
originate from CLAC-Mtl and may come from allies or allied collectives.
CLAC-Mtl and the admins of this list do not take responsibility for the
content of the invites transfered over this list, except for those which
are explicitely organized or convened by CLAC-Mtl.
SOLIDARITÉ CONTRE LA RÉPRESSION POLICIÈRE À MONTRÉAL.
ENSEMBLE, REPRENONS LES RUES !
Manifestation et désobéissance civile contre le règlement
anti-manifestation P-6 de Montréal
VENDREDI, LE 5 AVRIL, 18h (arrivez à l'heure et amenez unE amiE)
au coin de Ste-Catherine et Berri, Parc Émilie-Gamelin (métro Berri-UQÀM)
-> Cette manifestation est familiale et est une action de désobéissance
civile.
-> Nous ne partagerons pas l'itinéraire de la manifestation avec la police
de Montréal; cela signifie qu'il y a un risque d'être encercléEs et de
recevoir des contraventions, nous vous avertissons à l'avance.
-> Nous pressons toutes les personnes qui veulent défendre notre capacité
de manifester spontanément sans la permission de la police à venir appuyer
cette action EN GRAND NOMBRE.
-> S'il-vous-plaît, arrivez à l'heure! Nous prendrons la rue aussitôt que
possible.
-> Venez à la manifestation avec unE amiE ou organisez vous en groupe
d'affinité pour vous soutenir mutuellement.
[Déclaration publique : Solidarité contre la répression policière à
Montréal : Nous ne nous soumettrons pas au règlement municipal P-6 :
http://www.clac-montreal.net/node/371]
https://www.facebook.com/events/538941246156642/
Bonjour toutes et tous,
Comme vous avez peut-être déjà vu circuler dans vos autres reseaux, la CLAC
a récemment publié une declaration publique pour dénoncer le règlement P-6
et pour encourager les gens à montrer leur solidarité et leur résistance
face à une répression croissante.
Vous pouvez voir une copie de la declaration ci-dessous.
*Je vous encourage à lire et endosser la declaration dans vos associations,
surtout si vous avez déjà les mandats contre la brutalité policière, etc...*
Pour endosser la déclaration, vous pouvez envoyer un courriel à
info(a)clac-montreal.net.
Solidairement,
Cassie
_________________________
*Solidarité contre la répression policière à Montréal : Nous ne nous
soumettrons pas au règlement municipal P-6*
*Avec cette déclaration publique, nous affirmons notre opposition au
règlement P-6 : nous continuerons de manifester sans négocier l'itinéraire
avec la police et nous contesterons systématiquement toute contravention en
vertu de ce règlement.*
Ces dernières années ont été marquées par une escalade de la répression
policière à Montréal. Au moment où le nombre des mouvements politiques qui
prennent la rue d'assaut augmente sans cesse, les manifestations se voient
attaquées plus brutalement et plus arbitrairement que jamais. Bâtons
rétractables, matraques, lacrymogènes, poivre de Cayenne et balles de
plastique ; de plus en plus, nos camarades subissent des arrestations de
masse, sont brutaliséEs, humiliéEs, prisEs en souricière et, dans plusieurs
cas, gravement blesséEs.
Dans ce contexte d’escalade répressive le Service de police de la ville de
Montréal (SPVM) emploie une nouvelle pratique : arrêter les manifestantEs
avant même qu’ils et elles puissent se regrouper pour manifester. À trois
reprises au cours de la même semaine (le 15 mars lors de la Journée
internationale contre la brutalité policière, le 18 mars avant la
manifestation nocturne et le 22 mars lors de la manifestation pour le
premier anniversaire des manifestations étudiantes du 22 de chaque mois) le
SPVM a mis un terme aux manifestations avant même leur commencement en
encerclant les manifestantEs avec l’anti-émeute et en les arrêtant en
masse, par centaines. Un des objectifs évidents de la police est d'effrayer
les potentiels manifestantEs pour les dissuader de reprendre la rue.
Puisque le SPVM ne peut se permettre de faire ces arrestations préventives
en vertu d'accusations criminelles ; (aucun motif légal ne lui permet de le
faire) il a recours au règlement municipal P-6 qui rend toute manifestation
illégale si aucun itinéraire n'a été communiqué d'avance à la police. Une
infraction au règlement municipal n’est pas criminelle ; c’est un peu
l’équivalent d’une contravention de stationnement. Toutefois, une
infraction au P-6 donne lieu à une contravention de 500 $ (637 $ avec les
frais) pour une première offense dans le contexte d’une manifestation.
Le règlement P-6 interdit « de gêner le mouvement, la marche ou la présence
des citoyens qui utilisent également le domaine public à cette occasion. »
Comment peut-on prendre la rue sans gêner la circulation routière ou
piétonnière ? De plus le P-6 ordonne non seulement de communiquer notre
itinéraire, mais suppose de demander l'approbation de notre trajet à la
police. Cela équivaut à donner à la police le pouvoir arbitraire de refuser
notre trajet si celui-ci est jugé potentiellement trop perturbateur et
ainsi d'empêcher notre passage devant un lieu choisit comme « cible »
politique.
Nous refusons de négocier avec la police notre liberté d'expression, notre
droit de manifester et notre droit de perturber l'ordre social, politique
et économique en place, que nous considérons profondément injuste et
illégitime.
Une partie de la responsabilité de répondre à cette répression nous
incombe, en tant que mouvements populaires et organisations communautaires
autonomes. Il n’existe aucune obligation de fournir à la police un
itinéraire et le SPVM en particulier, qui abuse impunément de son autorité,
ne mérite aucune collaboration de notre part. Au contraire, nous devons
nous responsabiliser les unEs vis-à-vis les autres, et vis-à-vis les
mouvements sociaux auxquels nous appartenons. Nous avons toujours eu et
auront toujours le droit légitime de manifester spontanément, et ce, avec
des itinéraires de notre choix, qui reflètent nos besoins et revendications.
Face à la répression policière, reprenons la rue, arméEs d'entraide et de
solidarité.
Ce message est endossé par :
La Convergence des luttes anticapitalistes (CLAC)
Personne n’est illégal-Montréal / No One Is Illegal
Le Group de recherche d’intérêt public (GRIP) à Concordia
(Si votre groupe endosse aussi cette déclaration, veuillez communiquer avec
nous à l’adresse suivante : info(a)clac-montreal.net)
RAPPEL : IL EST FACILE DE CONTESTER UNE OFFENSE AU P-6.
Assurez-vous de plaider « non-coupable » sur la contravention et de
demander la « divulgation complète de la preuve », puis de la poster à la
Cour municipale de la ville de Montréal dans un délai de 30 jours suivant
l’événement. La constitutionnalité de cette loi municipale sera contestée,
tout comme les multiples contraventions l’ont aussi été en masse. Ainsi,
personne ne devrait s’attendre à devoir payer cette amende dans de brefs
délais, si tant est qu'il faille même la payer un jour.
Camarades,
Effectivement, je vous ai menti dans mon dernier courriel (cest la fin de
mandat, ok?!). Comme la souligné Blandine dans un message précédent, les
bonnes dates limites sont le 5 avril pour les candidatures sur lexécutif
(dans 4 jours) et le 16 avril pour les Comités et le poste de Secrétaire
général. Le congrès est bien les 20 et 21 avril. La coordination des
Conseils régionaux elle sera élue selon le fonctionnement de chacun des
Conseils.
Je profite de loccasion pour vous convoquer à une rencontre dinformation
qui aura lieu à 17h vendredi le 5 avril au bureau de lASSÉ. LÉquipe
actuelle sera présente pour répondre aux questions concernant limplication
sur léquipe nationale et discuter avec toutes celles et tous ceux qui
hésiteraient encore à envoyer leur lettre de candidature. Nous avons préféré
la formule « 5 à 7 » à une simple réunion ouverte de lexécutif pour
permettre des échanges plus intéressants et inclure les gens qui seraient
intéressé-e-s par le travail sur les différents Comités. Si vous comptez
être présent ou présente, répondez moi par courriel que lon prévoit la
quantité de 7up.
OÙ : 2065 rue Parthenais, suite 383
QUAND : Vendredi le 5 avril à 17h00
QUOI : Réunion dinformation pour les futurs élu-e-s de lASSÉ
En pièce jointe, le matériel dinformation corrigé sur les élections
annuelles. Jespère lire bientôt plein de lettres de candidature sur
ASSÉ-Support!
Solidairement,
--
Jean-Michel Savard
Secrétaire aux affaires externes
Association pour une Solidarité Syndicale Étudiante (ASSÉ)
<http://www.asse-solidarite.qc.ca/> www.asse-solidarite.qc.ca
externe(a)asse-solidarite.qc.ca <mailto:coordination@asse-solidarite.qc.ca>
Bureau: (514)-390-0110
Cellulaire: (438)-869-3180