par Secrétariat général du Conseil de Coordination
Bonjour camarades,
Le prochain Conseil de Coordination aura lieu le jeudi 26 novembre à 18h30
au bureau de l'ASSÉ (2065, rue Parthenais, Montréal, local 298).
En pièce jointe, vous trouverez le cahier de préparation ainsi que le
procès-verbal du dernier Conseil de Coordination. Pour envoyer vos
propositions et documents préparatoires à
conseil-central(a)asse-solidarite.qc.ca
*Vidéoconférence*
Pour assister au Conseil de Coordination via vidéoconférence, vous aurez
besoin d'un compte Skype afin d'ajouter l'utilisateur *asse.exec* dans vos
contacts. Aussi, il est fortement conseillé aux personnes localisé-e-s dans
une même ville ou une dans une même région de se regrouper à un même
endroit pour faciliter la communication. L'ASSÉ possède du matériel
audiovisuel de qualité au bureau, mais la communication dépend également de
la qualité du matériel hors-Montréal. Il est donc conseillé d'essayer de se
procurer du matériel de la meilleure qualité possible, en priorité un
microphone afin de vous entendre plus clairement.
Pour toute question sur le Conseil de Coordination, n'hésitez pas à
communiquer à m'écrire ou à me rejoindre par téléphone (514-691-6703).
Solidairement,
--
*Claudia Cachay-Osorio*
Secrétaire générale du Conseil de Coordination
Association pour une solidarité syndicale étudiante (ASSÉ)
www.asse-solidarite.qc.ca
conseil-central(a)asse-solidarite.qc.ca <coordination(a)asse-solidarite.qc.ca>
Bureau : (514) 390-0110
Bonjour,
Voici un texte de réflexion sur la dernière manifestation nationale
féministe à Québec et sur la priorisation des luttes.
Merci de diffuser largement!
Solidairement,
Le comité femmes de l'ASSÉ
Félicia St-Arnault
Raffaela Abbate
Laura Martin
comite-femmes(a)asse-solidarite.qc.ca
https://www.facebook.com/femmesasse
Notre réponse aux propositions qui ont circulé sur assé-support
dernièrement.
Sur la question des structures dans les organisations de gauche, voici
un texte écrit par une féministe du Mouvement de Libération des femmes
en 1970 qui demeure très éclairant et très juste:
https://infokiosques.net/lire.php?id_article=2
Sur la question du droit de grève étudiant, l'Association des Juristes
progressistes a produit un document disponible ici:
http://ajpquebec.org/?p=361
Le document soutient "que le seul encadrement souhaitable [du droit de
grève] serait un qui permettrait d’éviter le recours aux injonctions qui
ont heurté de plein fouet le système de démocratie directe qui existe au
sein du mouvement étudiant et qui est reconnu par la plupart des
institutions d’enseignement post-secondaire."
Ses orientations sont intéressantes et pourraient nous aider à faire du
matériel d'information sur le sujet et à articuler une position plus
claire et plus affirmative contre l'encadrement légal du droit de grève
étudiant (et les conditions qui viennent généralement avec!).
De plus, voici les positions adoptées lors de notre dernière AG le 8
décembre:
Considérant que l'augmentation des cotisations à l'ASSÉ vise à une plus
grande équité entre les associations membre ;
Considérant qu'une augmentation d'1$50 comprend des difficultés nuisant
à l'obtention de cette équité ;
Considérant que la hausse actuelle serait impossible à imposer à
certaines associations ;
Considérant qu'une hausse est tout de même nécessaire pour le
fonctionnement de l'ASSÉ ;
Que la SOGÉÉCOM amende la proposition d'augmentation des cotisations
nationales à 0,80$.
Que la SOGÉÉCOM invite l'ASSÉ à retravailler ses prévisions budgétaires.
Considérant les principes fondamentaux de la SOGÉÉCOM revendiquant
l’accessibilité aux études, une éducation postsecondaire de qualité et
libre du privé, et l’autogestion des institutions d’enseignement;
Considérant que les politiques d’austérité contribuent à la
marchandisation de l’éducation;
Considérant que le nivellement par le bas de l’éducation est
inacceptable et ne peut être justifié pour relancer la croissance
économique;
Considérant que les professeur-e-s et les étudiant-e-s forment les
principaux acteurs et les principales actrices des cégeps, et qu’en ce
sens, elles et ils devraient être les principaux agents pour administrer
leurs institutions;
Que la SOGÉÉCOM dénonce les recommandations du rapport Demers qui
soumettent la qualité et l'accessibilité de l'éducation postsecondaire à
une logique de diplomation accélérée et d'adaptation continuelle aux
besoins du marché du travail;
Que la SOGÉÉCOM exige le maintien des devis nationaux, de l’Épreuve
Uniforme de Français et des visées de la formation générale, dans la
mesure où la proposition actuelle de les abolir a pour seul objectif de
réduire les exigences menant à l'obtention d'un DEC et d'arrimer toute
la formation aux besoins du marché du travail dans le domaine d'études
en particulier;
Que la SOGÉÉCOM réitère que les institutions d’enseignement doivent être
gérées avant tout par la communauté étudiante et professorale dans un
souci de collégialité;
Que la SOGÉÉCOM entame dès la session d'hiver 2016 une campagne
d'information et de mobilisation concernant les réformes en éducation en
lien avec les rapports Demers et Tremblay-Roy;
Que la SOGÉÉCOM réitère qu'elle s'oppose à toute AEC qui ne se conforme
pas à ces critères :
1) Que l'AEC assure aux futur-e-s travailleurs et travailleuses une
polyvalence face aux changements et évolutions des différentes normes et
pratiques existantes;
2) Que l'AEC soit libre de l'intervention financière ou fonctionnelle du
privé;
3) Qu'on exige à l'admission une expérience suffisante dans le domaine
d'études associé et la réussite préalable de tous les cours de formation
générale commune et propre (Français, Anglais, Éducation physique,
Philosophie) ou une formation équivalente.
--
Louis-Alexandre Hébert-Gosselin
Délégué aux affaires externes
Société générale des étudiants et étudiantes du Collège de Maisonneuve
(SOGÉÉCOM)
3800 rue Sherbrooke Est, local D-2617
Montréal, Québec H1X 2A2
Téléphone : 514 254-7131, poste 4515
Web : http://www.sogeecom.org
externe(a)sogeecom.org
par Secrétariat général du Conseil de Coordination
Bonjour camarades,
Tel que voté lors du dernier Conseil de Coordination, le prochain Conseil
de Coordination aura lieu le samedi 12 décembre. Il se tiendra à 13h au
bureau de l'ASSÉ (2065, rue Parthenais, Montréal, local 298). Il a été
discuté de tenir une journée bilan de la session automnale lors de la date
fixée, mais étant donné la fin de session accablante ainsi que des délais
de convocation et d'organisation assez courts, elle n'aura pas lieu lors de
cette instance. Toutefois, cette idée pourra être discutée ce samedi.
En pièce jointe, vous trouverez le cahier de préparation ainsi que le
procès-verbal du dernier Conseil de Coordination. Pour envoyer vos
propositions et documents préparatoires à
conseil-central(a)asse-solidarite.qc.ca
Veuillez me confirmer votre présence dès que possible, que ce soit via
courriel, par téléphone ou par Podio dans le cas des personnes élues à
l'ASSÉ.
*Vidéoconférence*
Pour assister au Conseil de Coordination via vidéoconférence, un lien sera
envoyé le jour-même via ASSE-support vers le site web où a lieu la
vidéoconférence. Pour faciliter le tout, vous pouvez prendre contact avec
moi au préalable pour que je vous envoie le lien directement. Aussi, il est
fortement conseillé aux personnes localisé-e-s dans une même ville ou une
dans une même région de se regrouper à un même endroit pour faciliter la
communication.
Pour toute question sur le Conseil de Coordination, n'hésitez pas à
communiquer à m'écrire ou à me rejoindre par téléphone (514-691-6703).
Solidairement,
--
*Claudia Cachay-Osorio*
Secrétaire générale du Conseil de Coordination
Association pour une solidarité syndicale étudiante (ASSÉ)
www.asse-solidarite.qc.ca
conseil-central(a)asse-solidarite.qc.ca <coordination(a)asse-solidarite.qc.ca>
Bureau : (514) 390-0110
Bilan mensuel du Conseil Executif Novembre 2015
Ce mois-ci, le conseil exécutif, en collaboration avec les différents
comités, a travaillé sans relâche pour que le mandat de grève sociale,
adopté lors de notre dernier congrès, ait la plus signification la plus
large possible. En ce qui concerne le nouveau matériel de mobilisation, 2
ultimatums express, un spécial ‘’grève sociale’’ et un spécial
‘’manifestation féministe’’ ont été produits par le Comité Journal et
distribués largement. Également, des tournées ont été effectuées suite aux
invitations de différentes associations étudiantes universitaires pour
parler de notre syndicat étudiant. En effet, plusieurs campagnes
d’affiliations nationales avaient lieu sur des campus tels que l’UQAC et
l’UQAT, et l’ASSÉ a été appelée à expliquer la différence entre son mode de
fonctionnement (principes fondamentaux, démocratie directe, etc.) et celui
des deux autres nouvelles associations étudiantes universitaires, soit l’UÉQ
(Union Étudiante du Québec) et l’AVEQ (Association Pour une Voix étudiante
au Québec). A ce sujet, et suite à la nouvelle reconfiguration du mouvement
étudiant, notamment avec la ‘’mise en dormance’’ de la FEUQ (Fédération
Étudiante Universitaire du Québec), il serait pertinent de prendre très
bientôt des positions en congrès en ce qui a trait à notre posture face à
ces associations.
Le 5 novembre dernier a eu lieu la manifestation nationale de l’ASSÉ, sous
le thème ‘’Nous savons que nous ne sommes pas seul-e-s’’. Des gens de tous
les horizons se se joints à nous, pour revendiquer d’une même voix un
réinvestissement massif dans les services publiques. Également, nous avons
appuyé la manifestation en solidarité avec les palestiniens et
palestiniennes organisée par PAJU-Montréal le 29 novembre dernier et celle
de la manifestation de la Coalition Main Rouge, dont nous sommes membres,
qui a eu lieu le 28 novembre dernier. Plusieurs étudiantes et étudiants
étaient au rendez-vous!
Également, nous nous sommes attelé-e-s, avec l’aide inestimable du Comité
Femmes, à l’organisation de la manifestation nationale féministe du 2
décembre sous la thématique ‘’Politiques austères, femmes solidaires!’’.
Tout, dans l’organisation de cette dernière, a été fait par des femmes, et
principalement par des militantes de la région de Québec, de la confection
de la bannière à la composition de l’équipe sécurité. Malheureusement, dû
au fait que bien peu d’associations étudiantes étaient en grève suite au
report de la grève du Front Commun, il n’y a eu qu’un rassemblement au
point de départ de la manifestation. À ce sujet, une lettre de réflexion va
bientôt être envoyée par le Comité Femmes sur ASSÉ-SUPPORT. Pour le reste,
c’était jour de grève pour le communautaire, à Québec.
Pour conclure, n’oublions pas le camp de formation qui a eu lieu à
Val-David les 21 et 22 novembre derniers. Co-organisé par le Comité
Formation et le Conseil exécutif, ce dernier a été relativement populeux
considérant les courts délais dont nous disposions. Nous avons constaté,
surtout, que la majorité des participantes et des participants étaient de
nouvelles militantes et de nouveaux militants de toutes les régions du
Québec, ce qui est extrêmement réjouissant. C’est grâce à de tels
évènements, de l’auto-formation continue, grâce à nos efforts associatifs
et individuels que notre rapport de force se maintient. Continuons
d’apprendre, continuons de lutter, continuons d’apprendre à lutter, c’est
ainsi que nous rassemblons au quotidien les forces nécessaires pour
maintenir la pression contre le programme austéritaire du gouvernement
libéral et que nous assurons une continuité dans notre mobilisation.
Solidarité, combativité, et bonne fin de session!
Le Conseil Exécutif de l'ASSÉ
--
Hind Fazazi
Secrétaire à la Coordination
Association pour une solidarité syndicale étudiante
(ASSÉ)
www.asse-solidarite.qc.ca
coordination(a)asse-solidarite.qc.ca
Bureau: (514) 390.0110
Cellulaire: (514) 714.8832
(désolé pour le double message)
(ENGLISH Below)
*Événement : Table ronde - Après #AttaquesParis : violence coloniale,
racisme & guerre*Date : 9 décembre @ 6:30pm
Lieu : Café Aquin (*), local A-2030 (Pavillon Hubert-Aquin, 2e étage)
Université du Québec à Montréal
400 Rue Sainte-Catherine Est, station Berri-UQÀM
Les attaques du 13 novembre à Paris ayant causé la mort de 130 personnes
sont certes une tragédie, mais celle-ci existe seulement dans le contexte
d’un processus continuel de violence et de guerre dans lequel la France,
l’OTAN, les États-Unis et le Canada ont été d’importants acteurs. Lorsque
François Hollande déclare « nous sommes en guerre », il dit certes une
vérité, mais celle-ci est isolée de son contexte historique démontrant que
la France a toujours été en guerre contre ceux qu’elle tente d’opprimer et
de dominer.
Depuis le début du 19e siècle, la France a démembré l’Afrique et le
Moyen-Orient pour les bénéfices de son empire colonial, laissant dans son
sillage une violence sans précédent dont les traces sont encore visibles
aujourd’hui. Le rôle de la France n’a guère changé depuis. Ceci est
démontré par une myriade d’interventions (p.ex. l’Opération Serval au Mali)
et son support sans faille à la colonisation et l'apartheid israélien. Sur
le plan national, le président Hollande a déclaré une « guerre sans merci »
contre l’ÉI, en Syrie, et a appelé à « l’unité nationale » en réponse aux
attaques du 13 novembre. Ce discours a été repris sur la scène
internationale en associant « Daesh » et le terrorisme comme un « ennemi
commun », voire un « mal commun ».Parallèlement, les grands médias de masse
font très peu, ou pas du tout, référence au contexte ayant donné naissance
à l’EI, à savoir l’invasion puis l’occupation de l’Irak, ainsi que
l’utilisation de politiques sectaires par les puissances régionales afin de
réprimer les mouvements sociaux progressistes dans le monde arabe (p.ex. au
Yémen, au Bahreïn, en Syrie et en Irak) dans des conditions économiques
déjà très fragiles. La tentative de la France de créer une grande coalition
afin de renforcer la présence militaire déjà en place dans la région n’aura
pour seules conséquences que de favoriser le sectarisme et de troubler
davantage la région et la vie du peuple syrien.
En France, comme à travers l’Europe et l’Amérique du Nord, la montée de la
xénophobie, de l’islamophobie et du racisme anti-arabe ne peuvent être
compris sans faire attention aux phénomènes plus larges que sont le
colonialisme, l’impérialisme et la guerre. Ainsi, les logiques du
colonialisme et de l’impérialisme reposent sur la construction sociale et
politique d’un « ennemi ». Les images de femmes voilées dont le sac à main
est fouillé par des soldats belges ou alors les points de contrôle devant
les mosquées parisiennes démontrent seulement l’oppression perpétuelle
subie par les musulmans et les personnes « arabisées » en France, en Europe
et ici en Amérique du Nord.
Cette table ronde vise à créer l’espace nécessaire à la formulation de
discours alternatifs et à une compréhension plus approfondie des événements
se déroulant présentement en France et qui transforment le Moyen-Orient. De
surcroît, cet événement mettra en lumière les conséquences toujours
actuelles du colonialisme français. Au final, cette table ronde a pour
objectif ultime de favoriser la solidarité et la justice afin de combattre
le racisme et la xénophobie visant les immigrant-e-s et les personnes
migrantes, pas seulement en France, mais aussi ici au Canada.
NOS INVITÉ(E)S :
HOUDA ASAL
Post-doctorante, Université McGill, Montréal. Titulaire d'une thèse portant
sur la présence arabe au Canada, cent ans d'histoire, entre constructions
identitaires et de mobilisations politiques. Elle a publié plusieurs
articles sur les associations, la construction identitaire et les
mobilisations politiques de la minorité arabe au Canada et sur les
politiques d'immigration de l'Etat canadien. Elle travaille présentement
sur l'islamophobie et la question musulmane en France et au Canada. Elle a
étudié le concept d'islamophobie et les enjeux qu'il révèle, et mène une
recherche sur les mobilisations contre l'islamophobie en France depuis 3
ans. Elle continue cette recherche au Québec.
Publications : https://mcgill.academia.edu/HoudaASAL
<https://www.facebook.com/l.php?u=https%3A%2F%2Fmcgill.academia.edu%2FHoudaA…>
JOONED KHAN
Jooneed Jeeroburkhan, 70 ans, est journaliste, écrivain et activiste des
droits humains à Montréal. Il est retraité du quotidien La Presse, après 35
années comme chroniqueur de politique internationale. Il a visité une
soixantaine de pays, dont l’Irak où il a passé trois mois en 2003 sous les
bombes et l’occupation étatsuniens. Ne à Quatre Bornes, il a grandi à
Saint-Pierre, et étudié au RCC, et au Canada sur une bourse du
Commonwealth. Il a co-fondé le MMM (Mouvement militant mauricien) en 1969.
Rompant sur un profond désaccord avec Paul Bérenger et Dev Virahsawmy, il a
émigré au Canada en 1970, où il est aujourd’hui grand-père.
(D'autres invité-e-s à venir !)
GARDIENNAGE :
Un service de gardiennage pour les enfants est disponible si vous le
demandez 48 heures avant l’évènement. Ecrivez-nous à info(a)tadamon.ca.
* Le café Aquin est situé au deuxième étage du pavillon Hubert-Aquin (voir
la carte suivante : http://carte.uqam.ca/pavillon-a
<http://l.facebook.com/l.php?u=http%3A%2F%2Fcarte.uqam.ca%2Fpavillon-a&h=DAQ…>)
dans le local A-2030. Pour y accéder, vous pouvez passer par l'entrée du
métro (vous pourrez suivre les affiches avec les indications) ou alors par
l'entrée située sur la rue Sainte-Catherine Est.
------------
*Event : Roundtable - After #ParisAttacks : colonial violence, racism
& war*Date
: 9 décembre @ 6:30pm
Location : Café Aquin (*), local A-2030 (Pavillon Hubert-Aquin, 2nd floor)
Université du Québec à Montréal
400 Rue Sainte-Catherine Est, station Berri-UQÀM
The November 13th attacks in Paris that left 130 people dead, were a grave
tragedy, and exist only in the context of a greater continual process of
violence and war in which France, NATO, the US and Canada have been central
to such horrors. When Francois Hollande declared that “we are at war”, it
was quite accurate but what had been left out, is that France has always
been at war against those it seeks to oppress and dominate.
Since the nineteenth century, France has carved out pieces of Africa and
the Middle East to benefit its own colonial empire, creating till this day
unprecedented violence. Today, France’s role has changed little. This is
demonstrated by its myriad interventions in Africa (the Operation Serval in
Mali, for instance) and continued support for Israeli colonisation and
apartheid. In response to the attacks in Paris, France has declared a
“relentless war” against ISIS, in Syria, and called for “national unity”.
On the international level, the same discourse was used by the French
president in reference to "Daesh" and terrorism as “the common enemy”, or
“common evil”.
Meanwhile the mainstream media ignores the context that gave rise to
ISIS--the invasion and occupation of Iraq and, in conditions of deep and
widespread economic vulnerability, the political incitement and use of
sectarian division by regional powers and actors to undermine widespread
movements for democratic and social transformation across the Arab world
(in Yemen, Bahrain, Syria, Iraq). France’s attempt to create a grand
coalition to reinforce already existing military intervention will only
deepen sectarianism and drastically impact the Syrian people and the Middle
East as a whole.
In France, and across Europe and North America, the increased xenophobia,
Islamophobia, and anti-Arab racism cannot be separated from the broader
processes of colonialism, empire, and war. The justification for
colonialism and imperialism often hinges upon the social and political
construction of an “enemy.” Images of veiled women having their bags
searched by Belgian soldiers, or checkpoints in front of Mosques in Paris,
only demonstrate the perpetual oppression faced by Muslims and Arabs in
France, Europe and here in North America.
This roundtable discussion aims to create the necessary space for
alternative discourses and a deeper understanding of the context of the
events happening in France and shaping the Middle East. In addition, this
event seeks to address the ongoing impacts of the legacy of French
colonialism and the necessary solidarity and justice needed to fight
against the racist, xenophobic backlash against immigrants, and migrants,
not just in France, but also here in Canada.
SPEAKERS :
HOUDA ASAL
Postdoctoral Fellow, McGill University, Montreal. Holder of a PHD thesis
about the History of Arab immigration in Canada, between identity
construction and political mobilizations. She has published several
articles on associations, identity construction and mobilization of the
Arab minority in Canada, and on the immigration policies of the Canadian
state. Her current research focuses on Islamophobia and the Muslim issue in
France and Canada. She worked on the concept of Islamophobia, and she was
leading a field research on the mobilizations against Islamophobia in
France for the last 3 years. She now continues this research in Quebec.
More on : https://mcgill.academia.edu/HoudaASAL
<https://www.facebook.com/l.php?u=https%3A%2F%2Fmcgill.academia.edu%2FHoudaA…>
JOONED KHAN
(Other speakers to be confirmed soon.)
LANGUAGE :
Whisper translation from French to English will be available.
CHILDCARE :
Childcare will be available with 48 hours notice; Please write to us at
info(a)tadamon.ca
* Café Aquin can be accessed via the metro entrance of UQAM, or from the
street entrance to Pavillon Hubert-Aquin (A). Look for the signs once on
the 2nd floor of the Pavillion.
[image: Inline image 1]
(ENGLISH Below)
Événement : Table ronde - Après #AttaquesParis : violence coloniale,
racisme & guerre
Date : 9 décembre @ 6:30pm
Lieu : Café Aquin (*), local A-2030 (Pavillon Hubert-Aquin, 2e étage)
Université du Québec à Montréal
400 Rue Sainte-Catherine Est, station Berri-UQÀM
https://www.facebook.com/events/1525829761063337/
Bonjour,
Nous venons de terminer un texte sur les finances de l'ASSÉ.
Merci de bien vouloir le diffuser largement!
Solidairement,
--
Louis-Philippe Véronneau - Secrétaire aux finances
ASSÉ - Association pour une solidarité syndicale étudiante
2065, rue Parthenais, boîte postale 383
Montréal, (Québec), H2K 3T1
Cellulaire: 438-837-5489
Bureau: 514-390-0110
Site web: www.asse-solidarite.qc.ca
*English below*
à diffuser SVP! merci!
Regards palestiniens, 9e édition, 2015
<http://regardspalestiniensmtl.blogspot.com/2015/10/regards-palestiniens-9e-…>
Réalisatrices
palestiniennes
2-3-4 décembre 2015
Cinémathèque québécoise, Salle Claude Jutra
335, boul. de Maisonneuve est, Montréal H2X 1K1 - Métro Berri-UQAM
10$ (étudiants-aînés 9$)
https://www.facebook.com/events/1243075472384642/
*Aussi, lundi 30 nov. 19h00, séance de Cinema Politica, Concordia
University. Détails plus bas ou ici: *
*http://www.cinemapolitica.org/screening/concordia/mars-sunrise*
<http://www.cinemapolitica.org/screening/concordia/mars-sunrise>
*Regards Palestiniens 2015* est un programme consacré à des films de
fiction, des documentaires et un court métrage expérimental réalisés par
des femmes palestiniennes. Il s'ouvre sur une quête pour retrouver les
archives du Front de libération de la Palestine disparues en 1982, invite
ensuite à suivre le regard de jeunes adultes sur l'attaque du sud du Liban
par l'armée israélienne en 2006, et enfin, explore la complexité de la vie
pour les personnes tentant de survivre dans Gaza assiégé. Chacun de ces
longs métrages est précédé d'un court film explorant les sensations et les
affects de vies soumises à un état d'exception. Ce programme de films
déploie une vision féminine de la terreur du néo-colonialisme.
*Mercredi, 2 déc., 19h00*
*Kings and Extras*, précédé de: *Living by Fear* et *Hamourabi*
Séance présentée par *Najat Rahman*, professeure de littérature comparée à
l'Université de Montréal
*Kings and Extras, Azza el-Hassan, 2004, 60 min., sta*
L'archive de la cinématographie palestinienne des années 70, qui comprenait
les films ayant documenté la période révolutionnaire de l'Organisation pour
la libération de la Palestine (OLP), a disparu lors des bombardements
israéliens sur Beirut en 1982. La réalisatrice palestinienne Azza El-Hassan
part à la recherche de cette archive et sur les traces d'une révolution
manquée, dans un road-movie qui va de la Palestine à la Jordanie en passant
par la Syrie et le Liban. Mêlant mythes personnels et nationaux, le film
aborde les questions de la perte et de la défaite avec sensibilité et
humour, non sans s’interroger son propre statut dans cette quête des images.
*Living by Fear, Dima Abu Ghoush, 2013, 9 min., sta*
Yitzhar est une colonie israélienne implantée en surplomb des villages
palestiniens de Burin, Madama, Asira al-Qibliya, Urif, Einabus et Huwara au
nord de la Cisjordanie. Des familles, et tout particulièrement les enfants,
témoignent des attaques régulières perpétrées par les colons israéliens
dans leurs villages.
*Hamourabi, Dima Abu Ghoush, 2008, 15 min 44, stf*
En 2006, des élections législatives sont organisées en Cisjordanie et à
Gaza pour élire le nouveau gouvernement de la Palestine. Cependant, quelle
est la signification de ce processus démocratique dans un territoire encore
sous le joug de l'Occupation? Le film suit le développement de la campagne,
notamment celle conduite par un parti peu conventionnel nommé Hamourabi.
*Jeudi, 3 déc., 19h00*
*33 Days*, précédé de: *Shake*
Séance présentée par *Norma Rantisi*, professeure en géographie et
urbanisme à l'Université Concordia
*33 Days*,* Mai Masri, 2007, 70 min., stf*
La réalisatrice palestinienne montre la vie à Beirut pendant les
bombardements israéliens de 2006. Alors que les réfugiés arrivent depuis le
sud du pays particulièrement touché par les attaques, Mai Masri accompagne
trois protagonistes : un acteur de théâtre qui organise des ateliers pour
les enfants traumatisés, une employée d'une agence d'aide internationale,
et un journaliste de télévision. Trois récits personnels où prime la quête
du bien commun en débit des bombes et des massacres.
*Shake, Deema Dabis, 2015, 9m30, stf*
Kareemah est une artiste palestinienne ayant grandi aux États-Unis, loin de
l'Occupation. Elle accepte de faire une tournée avec une troupe de cirque
qui s'arrête en Palestine. À l'aéroport de Tel-Aviv, elle est confrontée à
la réalité de son identité palestinienne alors que la légitimité de sa
présence en Israël est remise en question par la violence de l'employé des
services frontaliers.
*Vendredi, 4 déc., 17h00*
*Where Should the Birds Fly*,
précédé de: *Shujeiya, Land of the Brave* et *Home Movies Gaza*
Séance présentée par *Zahia El-Masri*, réfugiée palestinienne au Liban,
militante
*Where Should the Birds Fly*, *Fida Qishta, 2013, 60 min., stf*
Mona avait sept ans à l'époque de l'attaque israélienne sur Gaza nommé
“Opération Plomb Durci” en 2008. La guerre a laissé Mona orpheline et en
proie à des souvenirs traumatisants. Progressivement, la jeune fille se
confie à la réalisatrice et retrace les événements qui ont précédé la
destruction de sa maison et le meurtre de sa famille.
*Shujeiya, Land of the Brave, Hadeel Assali, 2014, 5m22, sta*
Le film superpose deux temporalités de Gaza. D'un côté, des images
heureuses du quartier de Shujeiya avant sa destruction tragique durant les
assauts israéliens de 2014. De l'autre, le témoignage du journaliste Samer
Zaneed, qui dénonce le fait que les appels répétés des résidents de Gaza à
la Croix rouge pendant les bombardements sont restés sans réponse.
*Home Movies Gaza, Basma Al-Sharif, 2013, 24m08, stf*
Home Movies Gaza nous initie à Gaza comme microcosme de l'échec de la
civilisation. La vidéo tente de décrire le quotidien d'un endroit où toute
aspiration aux droits de l'homme les plus élémentaires est un objet de
lutte. La sphère domestique devient indissociable de l'identité politique
complexe de son territoire.
Co-présenté par:
*Regards palestiniens, Cinémathèque québécoise, Cinema Politica*
Avec le soutien de:
*Centre de recherche sur le documentaire (Université Concordia) Institute
of Islamic Studies (McGill University) Études Arabes, Département de
littératures et de langues du monde (Université de Montréal) Galerie Imane
Farès, Paris PAJU Palestiniens et Juifs Unis CJPP Coalition pour la justice
et la paix en Palestine*
CINEMA POLITICA :
Lundi 30 nov. - Admission by donation
*"Mars at Sunrise"* by Jessie Habie, Palestine-Canada-USA, 2013, 75 min.
Université Concordia, Hall Building, H110, 1445 de Maisonneuve ouest -
Métro Guy
* * *
Palestinian Perspectives, 9th edition, 2015
<http://palestinianperspectives.blogspot.com/2015/10/palestinian-perspective…>
Palestinian
Women Filmmakers
December 2-3-4, 2015
Cinémathèque québécoise, Salle Claude Jutra
335, boul. de Maisonneuve est, Montréal H2X 1K1 - Métro Berri-UQAM
10$ (students-seniors 9$)
https://www.facebook.com/events/1243075472384642/
*Also, Monday Nov. 30, 7pm, Cinema Politica screening @ Concordia Univ.
Details : see below or click here: *
*http://www.cinemapolitica.org/screening/concordia/mars-sunrise*
<http://www.cinemapolitica.org/screening/concordia/mars-sunrise>
*Palestinian Perspectives 2015* is dedicated to Palestinian women
filmmakers, including documentary, fiction and a short experimental. This
series starts with a journey in search of the missing PLO archives that
disappeared in 1982, followed by a vision on the attack of Southern Lebanon
by the Israeli army in 2006 thorough the eyes on a group of young people,
and last, on the complexities of the life for those who try to survive in
Gaza under siege. Each feature film will be preceded by a short film that
gives a feeling of what it is to live in a state of exception. This year’s
programme provides a feminine vision of the terror of neo-colonialism.
*Wednesday, Dec 2, 7pm*
*Kings and Extras*, preceded by* Living by Fear*, *Hamourabi*
Screening presented by *Najat Rahman*, Professor of comparative literature
at Université de Montréal
*Kings and Extras*, Azza el-Hassan, 2004, 62 min., eng. subt.
The 1970s Palestine film archive, whose films documented the revolutionary
period of the Palestine Liberation Organization (PLO), disappeared during
the Israeli bombings on Beirut in 1982. Following the traces of a missed
revolution, Palestinian filmmaker Azza el-Hassan goes off in search of this
archive in a road-movie that drives us across Palestine, Jordan, Syria and
Lebanon. The film mixes personal and national myths and explores feelings
of loss and defeat with sensitivity and humor, while questionning its own
status within this quest for images.
*Living by Fear*, Dima Abu Ghoush, 2013, 9 min., eng. subt.
Yitzhar is an Israeli settlement overlooking the Palestinian villages of
Burin, Madama, Asira al-Qibliya, Urif, Einabus and Huwara in the Northern
West Bank. The film shows families, and especially children, sharing
testimonies about the attacks settlers regularly launch on their villages. à
*Hamourabi*, Dima Abu Ghoush, 2008, 15m44, fr. subt.
In 2006, legislative elections are held in the West Bank and Gaza to vote
for the next Palestinian government. But what is the meaning of such
democratic process in a territory still under occupation ? The film follows
the campaign as it unfolds, and focuses on a very singular party named
Hamourabi.
*Thursday, Dec. 3, 7pm*
*33 Days*, preceded by* Shake*
Screening presented by *Norma Rantisi*, Professor of geography and urban
planning at Concordia University
*33 Days*, Mai Masri, 2007, 70 min., fr. subt.
Palestinian filmmaker Mai Masri shows the life in Beirut during the Israeli
bombings in 2006, when refugees reach the city from the South of the
country particularly under attack. Masri follows three protagonists : a
theatre actor who organizes workshops for traumatized children, a
international aid worker, and a TV journalist. These three personal tales
emphasize the search for a common good amidst the bombings and massacres.
*Shake*, Deema Dabis, 2015, 9m30, fr. subt.
Kareemah is a Palestinian performance artist who grew up in the United
States, far away from the Occupation. She joins a circus company on a tour
that passes by the West Bank. At the airport in Tel Aviv, she is faced with
the reality of her Palestinian identity when the legitimacy of her presence
in Israel is challenged by the violence of the border officer.
*Friday, Dec. 4, 5pm*
*Where Should the Birds Fly*, preceded by* Shujeiya, Land of the Brave,
Home Movies Gaza*
Screening presented by *Zahia El-Masri*, Palestian refugee in Lebanon,
activist
*Where Should the Birds Fly*, Fida Qishta, 2013, 60 min., fr. subt.
« Operation Cast Lead », 2008. The war left Mona without parents and
suffering from multiple traumas. The girl gradually learns to trust Fida,
the filmmaker, and recounts the events that have led to the destruction of
her home and the murder of her family. Together, the two young women try to
understand what surviving means.
*Shujeiya, Land of the Brave*, Hadeel Assali, 2014, 5m22, eng. subt.
The film superimposes two temporalities of Gaza. On the one hand, the happy
images of the Shujeiya neighborhood before its tragic destruction during
the 2014 Israeli attacks. On the other, a testimony by journalist Samer
Zaneed, who condemns how the Red Cross ignored repeated calls for help from
the residents of Gaza.
*Home Movies Gaza*, Basma Al-Sharif, 2013, 24m08, fr. subt.
Home Movies Gaza introduces us to the Gaza Strip as a mircrocosm for the
failure of civilization. In an attempt to describe the everyday of a place
that struggles for the most basic of human rights, this video claims a
perspective from within the domestic spaces of a territory that is
complicated, derelict, and altogether impossible to separate from its
political identity.
Co-presented by:
*Regards palestiniens, Cinémathèque québécoise, Cinema Politica*
With the support of:
*Centre de recherche sur le documentaire (Université Concordia) Institute
of Islamic Studies (McGill University) Études Arabes, Département de
littératures et de langues du monde (Université de Montréal) Galerie Imane
Farès, Paris PAJU Palestiniens et Juifs Unis CJPP Coalition pour la justice
et la paix en Palestine*
CINEMA POLITICA :
Monday Nov. 30 - Admission by donation
*"Mars at Sunrise"* by Jessie Habie, Palestine-Canada-USA, 2013, 75 min.
Université Concordia, Hall Building, H110, 1445 de Maisonneuve ouest -
Métro Guy