Craignons la démolition par étape et non l'abolition, c'Est ce qui
est entrain d'Arriver : privatisation des branches techniques,
adaptation des sciences humaines au marché du travail
(demandez à Drummondville s'ils et elles aiment être les
stagiaires non rémunérée de la ville !!!)
et biensur la fede des cégeps :
" Enfin, M. Boucher n'écarte pas l'idée d'un regroupement des
formations professionnelle au secondaire et technique au
collégial."
Bref le forum du printemps va brasser !
JE VOUS RAPELLE QUE LE PROCHAIN CONSEIL
INTERREGIONAL SERA LE 13 DÉCEMBRE À SHERBROOKE 14H
on y discutera du plan d 'Action !
Blandine
Le Devoir
LES ACTUALITÉS, samedi, 29 novembre 2003, p. A1
Pas question d'abolir les cégeps, dit Reid
Myles, Brian
Pas question d'abolir les cégeps. Le ministre de l'Éducation,
Pierre Reid, a pris ses distances du rapport-choc de la Fédération
des commissions scolaires du Québec (FCSQ), qui suggère de
procéder à l'élimination complète du parcours collégial,
alimentant du coup une grogne généralisée.
«Pour nous, l'abolition des cégeps, ce n'est pas négociable. Ce
n'est pas dans notre programme. Ce n'est pas une option», a dit
M. Reid lors d'un entretien téléphonique. Cela étant, M. Reid a
indiqué que le réseau collégial sera appelé à connaître des
changements au cours des prochains mois. Le ministre
convoquera les acteurs du collégial à un vaste forum prévu au
printemps 2004 afin d'examiner les possibilités de réforme. «Le
véritable objectif, c'est de s'assurer que les collèges, dans les 10
ou 20 ans qui viennent, vont offrir d'aussi bons services que
depuis leur création», a dit M. Reid.
Dans cette optique, il salue le courage de la FCSQ, qui a apporté
«une contribution importante» à un débat nécessaire. Dans un
rapport de 89 pages dévoilé par Le Devoir, la FCSQ propose
l'abolition de la formation générale de deux ans au cégep pour la
remplacer par le secondaire 6 et une année de plus au
baccalauréat. Cette mesure vise à éliminer «le ralentissement»
occasionné par le passage au collégial, à offrir une année de plus
aux étudiants du secondaire pour orienter leur future carrière et à
améliorer la formation et les ressources dans les universités.
La formation professionnelle offerte au secondaire et la formation
technique dispensée au collégial ne disparaîtraient pas, au
contraire. Elles seraient regroupées à l'intérieur des nouveaux
collèges d'enseignement professionnel et technique, placés sous
l'autorité des commissions scolaires qui, elles, seraient
rebaptisées «conseils scolaires».
Le rapport, rédigé par l'ex-secrétaire du Conseil du trésor Denis
Bédard, survient dans le contexte de la «réingénierie» de l'État, qui
commande à la fois une amélioration du système d'éducation et
une recherche d'économies. La réforme proposée permettrait,
selon la FCSQ, d'épargner près de un milliard de dollars par an.
«Vision réductrice»
Pour les principaux intéressés, soit les 48 collèges publics
regroupés au sein de la Fédération des cégeps, le rapport Bédard
offre «une vision réductrice de l'éducation, doublée d'un mirage
comptable». Le p.-d.g. de la Fédération des cégeps, Gaëtan
Boucher, perçoit le document comme une tentative des
commissions scolaires de se «positionner favorablement» face
au ministre de l'Éducation dans un contexte budgétaire difficile.
Mais avant de chercher à étendre son influence, la FCSQ devrait
faire un examen de conscience, estime M. Boucher. «Il y a derrière
ce rapport une méconnaissance profonde de la réalité des jeunes
et de celle du cégep. À bien des égards, c'est un lieu de passage,
d'orientation et de maturation», explique-t-il.
Selon les données de la Fédération des cégeps,
40 % des étudiants du collégial changent de programme dès leur
première année d'études. «Quand ils arrivent au cégep, leur choix
de carrière n'est pas fait. Et s'il n'est pas fait, c'est parce que les
commissions scolaires n'ont pas réussi à faire leur job», affirme
M. Boucher.
Le collégial écope pour les dérapages du secondaire, estime M.
Boucher. Bon an, mal an, 10 000 étudiants optent pour le
programme «Accueil et intégration», une session exploratoire qui
leur permet d'amorcer leurs études collégiales même s'ils ne
sont pas tout à fait prêts ou décidés en ce qui concerne leur
avenir. À cela s'ajoute la multiplication des centres d'aide - en
français, en anglais et en mathématiques - afin de pallier les
lacunes des étudiants. «S'ils nous arrivaient mieux préparés,
effectivement, ils passeraient moins de temps dans le système.
Si ça coûte 371 millions de plus [selon le rapport Bédard], c'est
parce que les commissions scolaires ne font pas leur job, parce
que les étudiants retardent leur choix et parce que leur principal
métier, aujourd'hui, ce n'est pas celui d'étudier», estime M.
Boucher.
L'abolition des deux années de formation générale au cégep ne
réduira en rien la durée totale des études, souligne par ailleurs M.
Boucher. En outre, une telle réforme ne garantit pas l'atteinte d'un
meilleur taux de réussite. Enfin, M. Boucher n'écarte pas l'idée
d'un regroupement des formations professionnelle au secondaire
et technique au collégial. Partout en Amérique du Nord, les
collèges, et non les commissions scolaires, assument cette
responsabilité, fait-il remarquer. Avec une clientèle composée de
sept adultes pour trois jeunes, les commissions scolaires ont
prouvé leur incapacité à revigorer le secteur de la formation
professionnelle, dit-il.
De son côté, la Centrale des syndicats du Québec (CSQ) a
dénoncé «l'opportunisme» de la Fédération des commissions
scolaires du Québec. Les cégeps ont vu le jour en 1967 afin
d'accroître l'accessibilité des Québécois aux études
postsecondaires. «Ce n'est sûrement pas en abolissant les
cégeps que nous réussirons à accroître la scolarisation de la
population québécoise», a fait savoir le président de la CSQ,
Réjean Parent, par voie de communiqué.
La CSQ demande à la Fédération des commissions scolaires
d'expliquer la nature des économies suscitées par une
hypothétique abolition des cégeps. Le syndicat de 168 000
membres rappelle au passage que le Conseil supérieur de
l'éducation s'est déjà penché sur cette question pour en conclure
que la restructuration du réseau collégial ne permettrait pas de
réaliser des économies d'échelle.
La Fédération nationale des enseignants du Québec
(FNEEQ-CSN) a également dénoncé l'opportunisme des
commissions scolaires. Avec le rapport Bédard, elles tentent
«carrément de s'approprier des sommes dévolues aux
institutions collégiales», estime le président de la FNEEQ-CSN,
Pierre Patry.
La vice-présidente de la CSN, Denise Boucher, reproche enfin à la
Fédération des commissions scolaires d'abdiquer. «Au lieu de
faire le nécessaire débat sur le réinvestissement dans le réseau
d'éducation, elle tient pour acquis que le gouvernement Charest
n'investira aucune somme additionnelle dans le système», a dit
Mme Boucher par voie de communiqué.
Bonjour camarades,
en campagne anti FECQ par chez vous??? Voila une lecture qui pourrais vous
interescer. L'autr Journal (avec une apostrophe pour apostropher!!!),
�dition Novembre 2003, Page 3, Le mouvement �tudiant, La FECQ casse l'�lan
du mouvement �tudiant. C'est super passionnant, on apprend entre autre...
apprend non, on confirme que la FECQ couche avec le gouvernement. :) Bonne
lecture!
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Salut tout le monde,
si vous �tes int�ress�-e-s � aller manifester � Qu�bec contre la r�ing�nirie
de l'�tat avec les syndicats des transports sont organis�s. La manif est le
samedi 29 novembre
Pour sherbrooke il reste quelque place seleument contacter l'AECS:
819-346-1874
Pour Montr�al contacter la CSN ou l'ADDS ils ont de l'Information
(514-252-0788) et n'h�sitez pas � aller voir le syndicat des prof de votre
institution scolaire.
Pour les personnes qui seront � Montr�al cette m�me fin de semaine (29 nov.)
il y a une action contre le salon de la mari� (pour d�noncer l'Instution du
mariage)
� 13h m�tro place d'arme.
Bienvenue � tous et toute
Marie
ps apr�s toutes ces actions , il serait temps de r�fl�chir � un r�el plan
d'action pour la session prochaine
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Salut Blandine,
je vais parlez de l'exec de sc politique de l'UL.
Nous sommes 10 sur l'exec;
aucun poste vacant;
7 hommes: représentant 1e, 2e, 3e année, socio cluturel, sport, trésiorié, externe;
3 femmes: coordo, interne, pédagogie;
il n'y a pas eu de discusion sur l'alternance homme femme et par conséquant pas de fonctionnement de la sorte. De toute facons, rare sont les fois il y a vraiment de tour de parole, une harmonisation +/- naturelle se fait de même;
dans certaine instance du campus, selon le/la président-e, il y l'alternance.
Bonne chance,
Jerome,
Sc. politique, Laval
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Téléphone/Fax : 08 92 69 00 21 (0,34 TTC/min)
Minitel: 3615 NETCOURRIER (0,16 TTC/min)
ALlo assos membres ,
je vous écris pour vous demander un service, j'effectue en ce moment
une recherche sur l'ASSÉ et le féminisme pour un cours de science
politique, le but étant éevidement d'en faire profiter les membres de
l'ASSÉ en plus de m'aider a obtenir un morceau de papier tres
couteux...
petite question
Combien y a t il de femmes et d'hommes sur votre consiel executif et
sur les autres instances de vos associations ? (merci de preciser le
nombre de poste vacants et les postes de chacune et chacun )dans le
mob ? le journal ?
Comment vous divisez vous la tâche ?
Y a t il des tours de paroles avec alternance femmes hommes ?
(y en a t il deja eu ? la question a t elle été débattue ?)
Ensuite y a t'il un comite femmes ?
si vous avez d'Autres infos que vous jugez pertinentes n'hésitez pas !
merci par avance de contribuer à sauver ma session !
Blandine