Ulysse Rivard-Desharnais
Secr�taire aux affaires externes
SOG��COM
(514) 253-9898
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� ceux et celles qui ont assist� � la conf�rence sur la marchandisation de
l'�ducation le 16 f�vrier au bed-in de l'universit� Laval. J'aimerais savoir
quel �tait le nom du conf�rencier qui parlait fort, le professeur de relations
industrielles.
Merci.
Bonjour, j'aimerais que l'on m'enl�ve de votre liste d'envoi internet car je
ne fais plus parti de l'asso de charlesbourg
Merci
Jos�e Landry
>From: "Blandine Juchs" <juchs.blandine(a)courrier.uqam.ca>
>Reply-To: asse-support(a)groupesyahoo.ca
>To: asse-edu(a)groupesyahoo.ca, ASE_FEMME(a)groupesyahoo.ca
>CC: asse-support(a)groupesyahoo.ca
>Subject: [asse-support] Un 8 mars le 6 mars Femmes, migration et
>fronti�res : Journ�e de discussion, de culture et d'ateliers
>Date: Mon, 23 Feb 2004 16:19:32 -0500
>
>A ne pas manquer un 6 Mars vraiment internationale pour celebrer le 8
>Mars .
>j'en profite pour rappeller qu'il y a un plan d'action femme de l'ASS�
>(voir Pv dernier congres)
>
>Blandine
>(514) 540 1073
>
>
>Journ�e internationale des femmes 2004
>
>Femmes, migration et fronti�res
>Journ�e de discussion, de culture et d'ateliers
>
>Trafic des femmes,
>luttes contre la d�portation,
>les femmes comme butins de guerre,
>sweatshops et
>nouvelles perspectives.
>
>Date : le 6 mars 2004
>Heure : 12 h � 18 h 30
>Lieu : UQAM - Hubert-Aquin, salle AM 050
>400 St-Catherine Est, M�tro Berri-UQAM
>
>Journ�e d�di�e � Zahra Kazemi
>Diaporama de ses photos
>
>Garderie, repas communautaire et traduction simultan�e !
>Contribution volontaire
>
>Organis�e par le Comit� d'action et de coordination des femmes de
>diverses origines pour le 8 mars.
>
>Ps (de Blandine) si votre assos veut donner un coup de main notamment
>par des $ubventions ... c'est toujours utile de contribuer a ce genre
>d'initiative !
>Les coordonn�es :
>Centre des travailleurs et travailleuses immigrants
>6420, av. Victoria, Suite 9
>Montr�al, (Qu�bec)
>H3W 2S7
>Personnes � contacter: Pour information : Julie ou Tess au 342-2111.
>
>
>-----------------------------
>
>Les principes de base qui nous unissent
>
>
>Le comit� d'action et de coordination des femmes de diverses origines
>
>
>1. Nous voulons �tre visibles. Nous voulons organiser des activit�s du
>8
>mars selon nos pr�occupations et pour que nos associations occupent le
>centre de la sc�ne (au lieu de seulement faire partie d'ateliers ou
>d'�tre
>consid�r�es comme un ajout dans une activit� �manant du mouvement des
>femmes en g�n�ral).
>
>2. Nous sommes des f�ministes de diverses origines, n�es dans d'autres
>pays, particuli�rement ceux de l'h�misph�re Sud, ou au Canada. Nous
>conservons des liens tr�s �troits avec nos pays d'origine et nous
>sommes
>tr�s pr�occup�es par les probl�mes du tiers monde.
>
>3. Dans nos communaut�s et dans la soci�t� en g�n�ral, nous nous
>opposons
>au patriarcat et � la misogynie au niveau des relations familiales,
>des
>institutions civiles et politiques, de la culture et des m�dias.
>
>4. Nous sommes engag�es � d�fendre la dignit� de la personne et les
>droits
>fondamentaux - le droit de vivre librement sans peur et sans
>intimidation,
>le droit de vivre librement sans discrimination sexuelle, le droit de
>vivre
>librement sans int�grisme religieux.
>
>5. Sans droits fondamentaux, les femmes ne peuvent avoir de dignit�.
>C'est
>pourquoi nous sommes engag�es pour la d�fense des droits au logement,
>�
>l'�ducation et � la sant� et le libre choix en ce qui touche le style
>de
>vie et les droits de reproduction.
>
>6. Nous appuyons les luttes actuelles de lib�ration dans nos pays
>d'origine
>et dans le tiers monde en g�n�ral, et la lutte des peuples contre
>l'imp�rialisme et les gouvernements r�pressifs locaux. Nous voulons
>c�l�brer et faire conna�tre la tradition de r�sistance qu'ont les
>femmes de
>nos communaut�s et de nos pays d'origine.
>
>7. Au plan local, nous nous opposons activement au racisme et � toutes
>les
>formes d'oppression, particuli�rement � l'intensification de la
>r�pression
>contre les minorit�s visibles depuis le 11 septembre 2001 et � la
>r�pression des gens qui , au nom de la justice, s'opposent aux
>pr�paratifs
>de guerre, � la politique canadienne et am�ricaine et � l'in�galit�
>des
>conditions �conomiques globales.
>
>8. Nous nous opposons aux politiques de discrimination envers les
>immigrants et les r�fugi�s qui marginalisent les femmes et leurs
>familles,
>les laissant dans la pauvret� et dans des situations souvent pr�s de
>l'esclavage. Nous nous opposons � la globalisation qui a pour effet de
>diminuer le salaire et les conditions de travail des femmes, tout
>particuli�rement des immigrantes et des r�fugi�es, et de les placer
>dans
>des situations de plus en plus d�sesp�r�es.
>
>9. Nous sommes antiguerre et antiimp�rialistes et nous voulons
>contribuer �
>la construction d'un mouvement des femmes qui prend fortement position
>contre la guerre et l'agression, tout particuli�rement la guerre
>contre le
>terrorisme que m�nent les �tats-Unis.
>
>10. Nous ne voulons pas travailler � l'encontre des organisations et
>des
>pratiques f�ministes. Nous invitons toutes celles qui font partie du
>mouvement des femmes � participer � nos activit�s et � nous soutenir
>et
>nous reconnaissons qu'il est important de jumeler nos actions dans des
>domaines strat�giques.
>
>11. Nous sommes un comit� d'action et de coordination, parce que nous
>voulons coordonner les activit�s des groupes que plusieurs d'entre
>nous
>repr�sentent et parce que nous voulons mettre de l'avant d'autres
>activit�s
>conjointes qui mobiliseront nos r�seaux respectifs.
>
>
>Nous sommes : l'Association des aides familiales du Qu�bec, Femmes
>sans
>Fronti�res, Fire, l'Association des femmes iraniennes de Montr�al,
>Femmes
>Philippines du Qu�bec (PINAY), le Centre communautaire
>des femmes sud-asiatiques (SAWCC).
>
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Commission parlementaire sur les universités - L'incontournable dégel des droits de scolarité
Le recteur de l'Université de Montréal réclame un peu d'oxygène pour son établissement
Marie-Andrée Chouinard
Édition du jeudi 26 février 2004
Mots clés : Québec (province), Éducation, Université, droits de scolarité
Les parlementaires de la Commission sur les universités ont goûté hier à un plaidoyer en faveur de Montréal en plus d'une solution personnelle présentée par le recteur de l'Université de Montréal afin de trouver les 375 millions manquants à la cagnotte.
Jour 3 de la Commission parlementaire sur les universités : Montréal y a occupé une place de choix avec le passage non seulement du maire Gérald Tremblay, venu réitérer l'importance de Montréal, ville du savoir, mais aussi de Roch Denis et Robert Lacroix, respectivement recteurs de l'Université du Québec à Montréal (UQAM) et de l'Université de Montréal (UdeM).
Le recteur de l'UdeM, demandant de l'«oxygène» pour son établissement, a profité de son audience pour présenter sa proposition au sous-financement des universités québécoises, évalué à 375 millions. Ce scénario, qui cible essentiellement une révision des droits de scolarité en plusieurs temps, ne figurait pas au mémoire soumis à la commission par l'UdeM.
«Cette proposition vise à résoudre de façon réaliste et raisonnable le problème de sous-financement des universités au cours des quatre prochaines années», expose le document, qui avance un amalgame de solutions à saveur de hausse modulée des droits de scolarité et de réinvestissement public.
Robert Lacroix suggère de hausser dès l'an prochain les droits de scolarité à leur valeur réelle de 1994-95, les faisant bondir de 1668 $ à 2000 $, pour une somme additionnelle de 60 millions, à laquelle s'ajouterait cette première année un réinvestissement public de
60 millions (rappelons que les libéraux ont plutôt prévu 30 millions de plus l'an prochain).
L'année suivante, les droits de scolarité seraient modulés au premier cycle dans un «nombre restreint de secteurs professionnels engendrant les revenus les plus élevés après la diplomation» et Québec ajouterait 60 millions récurrents de plus à la base de financement. Enfin, en 2006-07, M. Lacroix puise du côté du système britannique et propose que le Québec s'adapte à ce système récent qui prévoit une augmentation des droits de scolarité après diplomation et à partir de l'atteinte d'un certain revenu.
«Cette position pose des difficultés, notamment en raison du gel des droits de scolarité promis par ce gouvernement», a tout de suite réagi le ministre de l'Éducation, Pierre Reid, à la lecture de ce scénario. «Le temps est compté, il ne faut pas tarder à faire le réinvestissement. Plus le temps passe, plus les dommages sont importants», a répliqué le recteur de l'UdeM.
À quelques pas de la montagne de l'UdeM, l'UQAM ne donne pas son aval à de tels scénarios. «L'UQAM est convaincue que le financement des universités passe par l'effort collectif et notamment par la voie de la fiscalité plutôt que par le dégel et la hausse des droits de scolarité», indique l'établissement dans son mémoire, rappelant au passage la fragilité d'une institution qui compte 52 % d'étudiants à temps partiel.
«Il y a une limite à demander aux gens de faire plus sans moyens et elle est atteinte», a affirmé Roch Denis. «Pourquoi le gouvernement, sous votre houlette, M. le ministre, n'organise-t-il pas la plus grande mobilisation nationale et sociale jamais vue pour un investissement collectif public massif dans les universités ?»
Pour l'UQAM, les conséquences du sous-financement ont des répercussions jusque dans les salles de classe, où les ratios étudiants-professeur sont fixés à 26, contre une moyenne québécoise de 20. «Ce n'est pas par choix et par manque de vision institutionnelle», explique l'UQAM, qui présente des besoins non seulement pour renouveler son corps professoral mais pour améliorer un encadrement déficient lié à des ratios trop élevés.
L'Université du Québec à Chicoutimi a elle aussi défilé hier, son recteur Michel Belley ayant plaidé la cause des universités de petite taille et de leurs difficultés particulières dans la formule de financement à laquelle le gouvernement s'active.
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Commission parlementaire sur les universités - L'Université Laval veut
redistribuer les cartes
Les institutions de haut savoir s'investissent trop dans le
recrutement et négligent ainsi parfois la recherche de la qualité,
laisse entendre Michel Pigeon
Marie-Andrée Chouinard
Édition du mercredi 25 février 2004
Mots clés : Québec (province), Université, Gouvernement, commission
parlementaire
Indexer les droits de scolarité, revoir la carte universitaire, éviter
une formule de financement centrée sur le per capita et récompenser
les collaborations inter-établissements à coups de dollars
additionnels: l'Université Laval a joué d'audace hier, devant la
commission parlementaire sur les universités, en proposant au
gouvernement de rejouer les dés.
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Pierre Reid
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Dossier(s)
Éducation
Aux côtés de ces remises en question, les témoignages se sont
multipliés hier en faveur du maintien du gel des droits de scolarité.
Porteuse de ce dossier, la Fédération étudiante universitaire du
Québec (FEUQ) a rappelé au gouvernement que la moindre hausse des
droits de scolarité nuirait à l'accessibilité des moins nantis aux
études supérieures.
Le recteur de l'Université Laval, Michel Pigeon, a entamé hier la
deuxième journée d'audiences de la commission parlementaire sur les
universités, en insistant sur les «effets malsains» de la course au
recrutement, particulièrement au premier cycle. La formule de
financement, basée sur le per capita, incite les universités en mal
d'argent à se battre pour les «clientèles», ce qui les fait glisser
vers des «comportements qui ne sont pas de type universitaire».
«Si notre bureau de recrutement n'est pas extrêmement efficace, on
risque un déficit encore l'an prochain», a fait valoir le recteur aux
députés de la commission de l'éducation. «Le gouvernement nous enferme
dans une logique de croissance d'effectifs à tout prix, qui n'améliore
pas nécessairement la qualité», ajoute-t-il.
Un campus de l'Université du Québec à Rimouski situé à Lévis, «à
quelques kilomètres à vol d'oiseau de l'Université Laval», et qui
offre les mêmes programmes est-il bien utile ? demande Michel Pigeon,
qui a vu dans cette commission une occasion de «lancer le débat» sur
une nouvelle carte universitaire.
L'université, qui estime que sa part des 375 millions réclamés par les
universités se chiffre à 61 millions, propose que la formule de
financement ne soit plus uniquement basée sur le per capita et qu'elle
récompense, par exemple, l'offre de programmes conjointe, tel que le
fait le réseau public de l'Université du Québec.
«Ne serait-il pas logique de chercher un système qui ferait en sorte
que toutes les universités québécoises collaborent plus facilement, et
non pas seulement une partie d'entre elles ?», lance le mémoire, qui
remet en question l'existence d'un réseau d'universités à charte
privée cohabitant avec les Universités du Québec, et suggère aussi un
meilleur arrimage et une plus grande collaboration entre le collégial
préuniversitaire et l'université.
Sur le sujet «tabou» des droits de scolarité, Michel Pigeon croit
que «tout ce qui gèle dégèle, et plus c'est gelé longtemps, plus ça
fait mal quand ça dégèle», a-t-il indiqué aux députés de la commission
de l'éducation, précisant la préférence de son université pour une
indexation des droits de scolarité, ce que la Confédération des
associations étudiantes de l'Université Laval (CADEUL) a immédiatement
dénoncé. L'association s'oppose au fait que le recteur présente ce
mémoire au «nom de la communauté universitaire», car elle affirme que
les représentants étudiants présents au Conseil universitaire n'ont
pas donné leur aval à un scénario d'indexation des droits de
scolarité.
Cette proposition ne sourit pas non plus à la Fédération étudiante
universitaire du Québec (FEUQ), qui a présenté hier à Québec un
mémoire truffé d'une trentaine de demandes visant à améliorer le
financement et la qualité des universités. Opposée à toute hausse des
droits de scolarité, la FEUQ a soumis un plan de financement qui met
en avant la création d'un fonds pour le savoir universitaire, financé
par une taxe sur les bénéfices avant impôt des entreprises pour les
quatre prochaines années.
«L'habitude est déjà créée avec le Fonds jeunesse, qui cesse ses
activités cette année», explique Nicolas Brisson, président de la FEUQ
pour encore deux mois. «Nous proposons d'amasser 114 millions avec la
continuité de ce fonds.»
Pour aller chercher les 261 millions additionnels -- liés à la demande
des universités de récupérer 375 millions de plus --, la FEUQ affirme
qu'elle veillera au grain et que le prochain budget serait bien «mal
venu» d'afficher la baisse d'impôt promise. Le transfert fédéral de
quatre milliards aux provinces par point d'impôt s'ajoute aux
scénarios de financement proposés par la fédération étudiante.
Militant pour la gratuité scolaire, ce pour quoi elle a manifesté la
semaine dernière à Québec, l'Association pour une solidarité syndicale
étudiante (ASSE) a immédiatement dénoncé les positions de la FEUQ, car
elle considère le maintien du gel «complaisant» et refuse de s'en
contenter.
Montréal, mardi le 24 février 2004
-Communiqué de presse-
Pour diffusion immédiate
À : Tous les médias et toutes les associations étudiantes du Québec
De : Association pour une Solidarité Syndicale Étudiante (ASSÉ)
LASSÉ DÉNONCE LES POSITIONS DE LA FEUQ
HAUSSE ET DÉGEL DES FRAIS DE SCOLARITÉ : JAMAIS !
LAssociation pour une Solidarité Syndicale Étudiante tient à se
prononcer face au discours tenu par la Fédération étudiante
universitaire du Québec (FEUQ). Nous avons déjà dénoncé les scénarios
publiés dans le mémoire de la CRÉPUQ, présenté la semaine dernière
lors de la Commission parlementaire sur le financement des
universités, ainsi que les positions dautres groupes comme le Conseil
du patronat,
ou les jeunes libéraux en faveur d'un dégel des frais de scolarité. Il
est aussi impératif de dénoncer avec virulence le discours dune
fédération, la FEUQ, qui prétend défendre les droits de toutes les
étudiantes et de tous les étudiants alors quelle ne défend que les
intérêts dune minorité. Cette minorité quelle défend, loin de
représenter la majorité de ses membres, est celle des étudiantes et
des étudiants privilégié-e-s qui n'ont pas à vivre dans la pauvreté et
à subir le cauchemar de
l'endettement. Non contente de se positionner en faveur de la
privatisation, elle prend position dans son mémoire en faveur de
mesure restreignent laccessibilité. Dans ce document elle affirme : «
Nous ne favorisons pas et ne favoriserons jamais une université "
populaire " ou " populiste " qui ouvrirait ses portes à tous ceux qui
souhaitent la fréquenter. » (p. 66). Face à un système social qui
favorise le développement des inégalités, par le biais, en éducation,
des frais de scolarité, de
lendettement étudiant engendré par lactuel système daide financière
et du contingentement qui entravent les possibilités de poursuivre des
études universitaires, il est inconcevable de se contenter du gel des
frais.
La FEUQ ne fait que défendre un système d'éducation élitiste qui est
de plus en plus réservé à ceux et celles qui peuvent bien se le
permettre. En refusant la gratuité scolaire et en proposant simplement
le gel des frais de scolarité et l'encadrement des autres frais, elle
ne fait que défendre les intérêts de la minorité des étudiantes et
étudiants privilégié-e-s et restreindre l'accessibilité aux études
post-secondaires. Pour Marie-Michèle Whitlock, Secrétaire à la
coordination de lASSÉ, "Léducation est un droit et non un privilège,
certains acteurs de la Commission tiennent un discours visant à
restreindre laccessibilité à luniversité, alors quil faut plutôt
létendre,
entre autres, par la mise en place de la gratuité scolaire".
-30-
Portes-parole :
Marie-Michèle Whitlock, Secrétaire à la coordination
Cellulaire : (514) 803-7247, téléavertisseur : (514) 330-4785.
Blandine Juchs, Secrétaire aux relations externes
Cellulaire : (514) 803-5019.
Téléavertisseur : (514) 540-1073
Local de lASSÉ (514) 390-0110
Avis de
convocation
R�union du Comit� d'Action Solidaire du Sud-Est �tudiant
Jeudi le 26 f�vrier � 19h30 � Drummondville
A l'ordre du jour: -Charte et reglements
-Finances
-�lections de d�l�gu�Es
-Mobilisation r�gionale
-Actions r�gionales
-14 avril
-Prochain C.I.R.
-Varia
-Lev�e de l'assembl�e
pour plus d'informations appeler � l'AECS
346-1874
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A ne pas manquer un 6 Mars vraiment internationale pour celebrer le 8
Mars .
j'en profite pour rappeller qu'il y a un plan d'action femme de l'ASSÉ
(voir Pv dernier congres)
Blandine
(514) 540 1073
Journée internationale des femmes 2004
Femmes, migration et frontières
Journée de discussion, de culture et d'ateliers
Trafic des femmes,
luttes contre la déportation,
les femmes comme butins de guerre,
sweatshops et
nouvelles perspectives.
Date : le 6 mars 2004
Heure : 12 h à 18 h 30
Lieu : UQAM - Hubert-Aquin, salle AM 050
400 St-Catherine Est, Métro Berri-UQAM
Journée dédiée à Zahra Kazemi
Diaporama de ses photos
Garderie, repas communautaire et traduction simultanée !
Contribution volontaire
Organisée par le Comité d'action et de coordination des femmes de
diverses origines pour le 8 mars.
Ps (de Blandine) si votre assos veut donner un coup de main notamment
par des $ubventions ... c'est toujours utile de contribuer a ce genre
d'initiative !
Les coordonnées :
Centre des travailleurs et travailleuses immigrants
6420, av. Victoria, Suite 9
Montréal, (Québec)
H3W 2S7
Personnes à contacter: Pour information : Julie ou Tess au 342-2111.
-----------------------------
Les principes de base qui nous unissent
Le comité d'action et de coordination des femmes de diverses origines
1. Nous voulons être visibles. Nous voulons organiser des activités du
8
mars selon nos préoccupations et pour que nos associations occupent le
centre de la scène (au lieu de seulement faire partie d'ateliers ou
d'être
considérées comme un ajout dans une activité émanant du mouvement des
femmes en général).
2. Nous sommes des féministes de diverses origines, nées dans d'autres
pays, particulièrement ceux de l'hémisphère Sud, ou au Canada. Nous
conservons des liens très étroits avec nos pays d'origine et nous
sommes
très préoccupées par les problèmes du tiers monde.
3. Dans nos communautés et dans la société en général, nous nous
opposons
au patriarcat et à la misogynie au niveau des relations familiales,
des
institutions civiles et politiques, de la culture et des médias.
4. Nous sommes engagées à défendre la dignité de la personne et les
droits
fondamentaux - le droit de vivre librement sans peur et sans
intimidation,
le droit de vivre librement sans discrimination sexuelle, le droit de
vivre
librement sans intégrisme religieux.
5. Sans droits fondamentaux, les femmes ne peuvent avoir de dignité.
C'est
pourquoi nous sommes engagées pour la défense des droits au logement,
à
l'éducation et à la santé et le libre choix en ce qui touche le style
de
vie et les droits de reproduction.
6. Nous appuyons les luttes actuelles de libération dans nos pays
d'origine
et dans le tiers monde en général, et la lutte des peuples contre
l'impérialisme et les gouvernements répressifs locaux. Nous voulons
célébrer et faire connaître la tradition de résistance qu'ont les
femmes de
nos communautés et de nos pays d'origine.
7. Au plan local, nous nous opposons activement au racisme et à toutes
les
formes d'oppression, particulièrement à l'intensification de la
répression
contre les minorités visibles depuis le 11 septembre 2001 et à la
répression des gens qui , au nom de la justice, s'opposent aux
préparatifs
de guerre, à la politique canadienne et américaine et à l'inégalité
des
conditions économiques globales.
8. Nous nous opposons aux politiques de discrimination envers les
immigrants et les réfugiés qui marginalisent les femmes et leurs
familles,
les laissant dans la pauvreté et dans des situations souvent près de
l'esclavage. Nous nous opposons à la globalisation qui a pour effet de
diminuer le salaire et les conditions de travail des femmes, tout
particulièrement des immigrantes et des réfugiées, et de les placer
dans
des situations de plus en plus désespérées.
9. Nous sommes antiguerre et antiimpérialistes et nous voulons
contribuer à
la construction d'un mouvement des femmes qui prend fortement position
contre la guerre et l'agression, tout particulièrement la guerre
contre le
terrorisme que mènent les États-Unis.
10. Nous ne voulons pas travailler à l'encontre des organisations et
des
pratiques féministes. Nous invitons toutes celles qui font partie du
mouvement des femmes à participer à nos activités et à nous soutenir
et
nous reconnaissons qu'il est important de jumeler nos actions dans des
domaines stratégiques.
11. Nous sommes un comité d'action et de coordination, parce que nous
voulons coordonner les activités des groupes que plusieurs d'entre
nous
représentent et parce que nous voulons mettre de l'avant d'autres
activités
conjointes qui mobiliseront nos réseaux respectifs.
Nous sommes : l'Association des aides familiales du Québec, Femmes
sans
Frontières, Fire, l'Association des femmes iraniennes de Montréal,
Femmes
Philippines du Québec (PINAY), le Centre communautaire
des femmes sud-asiatiques (SAWCC).