suite aux questions d'hugo
Pour résumé , au sujet de l'audition...
j'exprime ici mon opinion apres en avoir jasé avec des camarades...
la premiere erreur a été comise selon moi au congres de septembre
lorsque sans aucun debat les membres on adopté de déposer un memoire...
la seconde a l'hiver lorsque nous avons adopté un resumé de memoire,
qui a l'origine etait supposé avoir la gratuite scolaire comme sujet
principale, et qui finalement selon mon avis ne reflete ni le mandat ni
l'ASSÉ..
nous devons dire le 9 mars qui le presente...
Alors il me semble que que l'exec n'a pas trop le choix de respecter ce
mandat (jouer a l'interpretation serait dangereux... )
Cependant il y a un Conseil interregional le 9 au soir , celui ci
techniquement aurai la capacité de decidé qu'on ne se presnte pas (bien
que l'on ai deja donné des noms ... ). Je rappel que pour l'instant le
CIR compte 2vote autres que ceux de l'Exec ... c'Est limite !!!
un congres extraordinaire ??? est ce que cela en vaut la peine...
Je suis contre ce depot de memoire depuis un bout seulement
l'inconsequence serait d ne pas respecter nos mandat me semble t il ...
et de deposer un memoire sans aller defendre la GRATUITÉ SCOLAIRE
je suis la derniere sensible a l'ostie d'argument de la credibilité
mais est ce que je veux me faire remettre sur le nez toute l'année par
des membres qu'on a pas respecter les mandats etc... et qu'apres avoir
confirme on ne se pointe pas...
est ce que l'on veut une sortie mediatique contre nous ...
le boycott de la presentation est ce que ca change le probleme du
depot !
bref je suis perdue un peu mais la position de l'exec de dimanche etait
de voir au CIR et en attendant de suggerer au comite memoire de
defendre pendant la presentation la gratuité scolaire et l'accssiblité
a l'education.. avec CARL et HELO pour equipe de choc
Le debat est lancé sur la liste
appellé nous aussi ... les numeo sont sur le site...
en tout cas apprenons de nos erreur car c'Est en congres que l'assé
determine ses actes pas sur un coin de table supposement...
Blandine
De: Hugo Desgagné <onekingdown(a)hotmail.com>
Date: mardi 2 mars 2004 12:00
Objet: Re: [asse-edu] c'est vraiment super la commission
> <html>
>
> <div style='background-color:'><DIV class=RTE>
> <P>Excellent, mon erreur!</P>
> <P>En ce cas, deux petites questions:</P>
> <P>1. que signifie les chiffres entre patanthèse dans les horaires
> des auditions, s'il ne s'agit pas de la durée de l'audition</P>
> <P>2.que se passe-t-il avec cette audition? l'ASSÉ y va-t-elle?
> qui ira? et n'est-ce pas un peu inconséquent d'y participer alors
> qu'on dénonce son caractère fantoche?</P>
> <P>Je ne sais trop, mais selon moi, il faudrait y penser
> sérieusement!</P><P>Solidairement</P>
> <P>Bonne journée
>
bonjour a tous c'est pour vous inviter � une attaque massive pour mon cher
m. Landry qui vient mercredi le 3 au CEGEP de st-j�r�me. donc ceux et celles
que �a leur tente de faire des l'actions directe, lui lancer des beaux
slogans, le bruler ou lui trouver une belle goulague pour lui souhaiter
boujour vous �tes les bienvenu donc en esp�rant que mon cher monsieur landry
puisse trouver �a journ�e dans les moins agr�able.
si vous ne savez pas o� est notre CEGEP vous pouvez appeler au (450)436-1580
poste 102
venez en grand nombre!!! amener vos amiEs
David
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Ulysse Rivard-Desharnais
Secr�taire aux affaires externes
SOG��COM
(514) 253-9898
www.sogeecom.org
Bonjour � tous et � toutes. Je vous pr�sente ici les grandes lignes de ce qui
s'est discut� au deuxi�me forum des association �tudiantes coll�giales au
C�GEP F-X Garneau � Qu�bec. Tout d'abord nous avons adopt�s plusieurs
positions communes dans le but que les assos qui le d�sire puissent r�diger
des m�moires, mais je crois aussi que ces positions formeront la base des
revendications pour plusieurs assos. Je suis heureux que les 20 assos
pr�sentes semblent avoir une vision assez semblable de la conjoncture �tant
donn� le radicalisme des positions prises (contre l'habilitation des C�GEP,
contre toute forme d'ing�rence du priv�, pour la formation citoyenne, gratuit�
scolaire...).De plus, nous avons convenus d'actions � entreprendre lors du
d�pot du budjet (th�me du deuil, chaque asso fait ce qu'elle veut, mais l'id�e
qui est ressorti est de faire des actions en face des bureaux de
d�put�s), le 13 avril, il y aura un bed-in au Vieux-Montr�al et un � Qu�bec,
qui seront les 2 p�les d'actions centraux, mais les assos de r�gion vont aussi
organiser des actions dans leurs r�gions. Finalement, l'id�e d'organiser un
Forum alternatif sur le r�seau coll�gial sera discut� plus amplement � la
prochaine rencontre � Jonqui�re le 27-28 mars.
Les informations plus d�taill�s se trouvent en pi�ce jointe
Ulysse Rivard-Desharnais
Secr�taire aux affaires externes
SOG��COM
(514) 253-9898
www.sogeecom.org
� ceux et celles qui ont assist� � la conf�rence sur la marchandisation de
l'�ducation le 16 f�vrier au bed-in de l'universit� Laval. J'aimerais savoir
quel �tait le nom du conf�rencier qui parlait fort, le professeur de relations
industrielles.
Merci.
Bonjour, j'aimerais que l'on m'enl�ve de votre liste d'envoi internet car je
ne fais plus parti de l'asso de charlesbourg
Merci
Jos�e Landry
>From: "Blandine Juchs" <juchs.blandine(a)courrier.uqam.ca>
>Reply-To: asse-support(a)groupesyahoo.ca
>To: asse-edu(a)groupesyahoo.ca, ASE_FEMME(a)groupesyahoo.ca
>CC: asse-support(a)groupesyahoo.ca
>Subject: [asse-support] Un 8 mars le 6 mars Femmes, migration et
>fronti�res : Journ�e de discussion, de culture et d'ateliers
>Date: Mon, 23 Feb 2004 16:19:32 -0500
>
>A ne pas manquer un 6 Mars vraiment internationale pour celebrer le 8
>Mars .
>j'en profite pour rappeller qu'il y a un plan d'action femme de l'ASS�
>(voir Pv dernier congres)
>
>Blandine
>(514) 540 1073
>
>
>Journ�e internationale des femmes 2004
>
>Femmes, migration et fronti�res
>Journ�e de discussion, de culture et d'ateliers
>
>Trafic des femmes,
>luttes contre la d�portation,
>les femmes comme butins de guerre,
>sweatshops et
>nouvelles perspectives.
>
>Date : le 6 mars 2004
>Heure : 12 h � 18 h 30
>Lieu : UQAM - Hubert-Aquin, salle AM 050
>400 St-Catherine Est, M�tro Berri-UQAM
>
>Journ�e d�di�e � Zahra Kazemi
>Diaporama de ses photos
>
>Garderie, repas communautaire et traduction simultan�e !
>Contribution volontaire
>
>Organis�e par le Comit� d'action et de coordination des femmes de
>diverses origines pour le 8 mars.
>
>Ps (de Blandine) si votre assos veut donner un coup de main notamment
>par des $ubventions ... c'est toujours utile de contribuer a ce genre
>d'initiative !
>Les coordonn�es :
>Centre des travailleurs et travailleuses immigrants
>6420, av. Victoria, Suite 9
>Montr�al, (Qu�bec)
>H3W 2S7
>Personnes � contacter: Pour information : Julie ou Tess au 342-2111.
>
>
>-----------------------------
>
>Les principes de base qui nous unissent
>
>
>Le comit� d'action et de coordination des femmes de diverses origines
>
>
>1. Nous voulons �tre visibles. Nous voulons organiser des activit�s du
>8
>mars selon nos pr�occupations et pour que nos associations occupent le
>centre de la sc�ne (au lieu de seulement faire partie d'ateliers ou
>d'�tre
>consid�r�es comme un ajout dans une activit� �manant du mouvement des
>femmes en g�n�ral).
>
>2. Nous sommes des f�ministes de diverses origines, n�es dans d'autres
>pays, particuli�rement ceux de l'h�misph�re Sud, ou au Canada. Nous
>conservons des liens tr�s �troits avec nos pays d'origine et nous
>sommes
>tr�s pr�occup�es par les probl�mes du tiers monde.
>
>3. Dans nos communaut�s et dans la soci�t� en g�n�ral, nous nous
>opposons
>au patriarcat et � la misogynie au niveau des relations familiales,
>des
>institutions civiles et politiques, de la culture et des m�dias.
>
>4. Nous sommes engag�es � d�fendre la dignit� de la personne et les
>droits
>fondamentaux - le droit de vivre librement sans peur et sans
>intimidation,
>le droit de vivre librement sans discrimination sexuelle, le droit de
>vivre
>librement sans int�grisme religieux.
>
>5. Sans droits fondamentaux, les femmes ne peuvent avoir de dignit�.
>C'est
>pourquoi nous sommes engag�es pour la d�fense des droits au logement,
>�
>l'�ducation et � la sant� et le libre choix en ce qui touche le style
>de
>vie et les droits de reproduction.
>
>6. Nous appuyons les luttes actuelles de lib�ration dans nos pays
>d'origine
>et dans le tiers monde en g�n�ral, et la lutte des peuples contre
>l'imp�rialisme et les gouvernements r�pressifs locaux. Nous voulons
>c�l�brer et faire conna�tre la tradition de r�sistance qu'ont les
>femmes de
>nos communaut�s et de nos pays d'origine.
>
>7. Au plan local, nous nous opposons activement au racisme et � toutes
>les
>formes d'oppression, particuli�rement � l'intensification de la
>r�pression
>contre les minorit�s visibles depuis le 11 septembre 2001 et � la
>r�pression des gens qui , au nom de la justice, s'opposent aux
>pr�paratifs
>de guerre, � la politique canadienne et am�ricaine et � l'in�galit�
>des
>conditions �conomiques globales.
>
>8. Nous nous opposons aux politiques de discrimination envers les
>immigrants et les r�fugi�s qui marginalisent les femmes et leurs
>familles,
>les laissant dans la pauvret� et dans des situations souvent pr�s de
>l'esclavage. Nous nous opposons � la globalisation qui a pour effet de
>diminuer le salaire et les conditions de travail des femmes, tout
>particuli�rement des immigrantes et des r�fugi�es, et de les placer
>dans
>des situations de plus en plus d�sesp�r�es.
>
>9. Nous sommes antiguerre et antiimp�rialistes et nous voulons
>contribuer �
>la construction d'un mouvement des femmes qui prend fortement position
>contre la guerre et l'agression, tout particuli�rement la guerre
>contre le
>terrorisme que m�nent les �tats-Unis.
>
>10. Nous ne voulons pas travailler � l'encontre des organisations et
>des
>pratiques f�ministes. Nous invitons toutes celles qui font partie du
>mouvement des femmes � participer � nos activit�s et � nous soutenir
>et
>nous reconnaissons qu'il est important de jumeler nos actions dans des
>domaines strat�giques.
>
>11. Nous sommes un comit� d'action et de coordination, parce que nous
>voulons coordonner les activit�s des groupes que plusieurs d'entre
>nous
>repr�sentent et parce que nous voulons mettre de l'avant d'autres
>activit�s
>conjointes qui mobiliseront nos r�seaux respectifs.
>
>
>Nous sommes : l'Association des aides familiales du Qu�bec, Femmes
>sans
>Fronti�res, Fire, l'Association des femmes iraniennes de Montr�al,
>Femmes
>Philippines du Qu�bec (PINAY), le Centre communautaire
>des femmes sud-asiatiques (SAWCC).
>
>
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Commission parlementaire sur les universités - L'incontournable dégel des droits de scolarité
Le recteur de l'Université de Montréal réclame un peu d'oxygène pour son établissement
Marie-Andrée Chouinard
Édition du jeudi 26 février 2004
Mots clés : Québec (province), Éducation, Université, droits de scolarité
Les parlementaires de la Commission sur les universités ont goûté hier à un plaidoyer en faveur de Montréal en plus d'une solution personnelle présentée par le recteur de l'Université de Montréal afin de trouver les 375 millions manquants à la cagnotte.
Jour 3 de la Commission parlementaire sur les universités : Montréal y a occupé une place de choix avec le passage non seulement du maire Gérald Tremblay, venu réitérer l'importance de Montréal, ville du savoir, mais aussi de Roch Denis et Robert Lacroix, respectivement recteurs de l'Université du Québec à Montréal (UQAM) et de l'Université de Montréal (UdeM).
Le recteur de l'UdeM, demandant de l'«oxygène» pour son établissement, a profité de son audience pour présenter sa proposition au sous-financement des universités québécoises, évalué à 375 millions. Ce scénario, qui cible essentiellement une révision des droits de scolarité en plusieurs temps, ne figurait pas au mémoire soumis à la commission par l'UdeM.
«Cette proposition vise à résoudre de façon réaliste et raisonnable le problème de sous-financement des universités au cours des quatre prochaines années», expose le document, qui avance un amalgame de solutions à saveur de hausse modulée des droits de scolarité et de réinvestissement public.
Robert Lacroix suggère de hausser dès l'an prochain les droits de scolarité à leur valeur réelle de 1994-95, les faisant bondir de 1668 $ à 2000 $, pour une somme additionnelle de 60 millions, à laquelle s'ajouterait cette première année un réinvestissement public de
60 millions (rappelons que les libéraux ont plutôt prévu 30 millions de plus l'an prochain).
L'année suivante, les droits de scolarité seraient modulés au premier cycle dans un «nombre restreint de secteurs professionnels engendrant les revenus les plus élevés après la diplomation» et Québec ajouterait 60 millions récurrents de plus à la base de financement. Enfin, en 2006-07, M. Lacroix puise du côté du système britannique et propose que le Québec s'adapte à ce système récent qui prévoit une augmentation des droits de scolarité après diplomation et à partir de l'atteinte d'un certain revenu.
«Cette position pose des difficultés, notamment en raison du gel des droits de scolarité promis par ce gouvernement», a tout de suite réagi le ministre de l'Éducation, Pierre Reid, à la lecture de ce scénario. «Le temps est compté, il ne faut pas tarder à faire le réinvestissement. Plus le temps passe, plus les dommages sont importants», a répliqué le recteur de l'UdeM.
À quelques pas de la montagne de l'UdeM, l'UQAM ne donne pas son aval à de tels scénarios. «L'UQAM est convaincue que le financement des universités passe par l'effort collectif et notamment par la voie de la fiscalité plutôt que par le dégel et la hausse des droits de scolarité», indique l'établissement dans son mémoire, rappelant au passage la fragilité d'une institution qui compte 52 % d'étudiants à temps partiel.
«Il y a une limite à demander aux gens de faire plus sans moyens et elle est atteinte», a affirmé Roch Denis. «Pourquoi le gouvernement, sous votre houlette, M. le ministre, n'organise-t-il pas la plus grande mobilisation nationale et sociale jamais vue pour un investissement collectif public massif dans les universités ?»
Pour l'UQAM, les conséquences du sous-financement ont des répercussions jusque dans les salles de classe, où les ratios étudiants-professeur sont fixés à 26, contre une moyenne québécoise de 20. «Ce n'est pas par choix et par manque de vision institutionnelle», explique l'UQAM, qui présente des besoins non seulement pour renouveler son corps professoral mais pour améliorer un encadrement déficient lié à des ratios trop élevés.
L'Université du Québec à Chicoutimi a elle aussi défilé hier, son recteur Michel Belley ayant plaidé la cause des universités de petite taille et de leurs difficultés particulières dans la formule de financement à laquelle le gouvernement s'active.
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