Bien que noël soit dans moins d'un mois et que la fin de session approche à
grand pas, plusieurs associations étudiantes auront des assemblées
générales au cours de la semaine prochaine.
*Nous avons donc besoin de personne disponible pour aller aider à la
mobilisation sur plusieurs
campus dans la région de Montréal pour les journées de lundi, mardi et
mercredi.*
Si vous avez des disponibilités, vous pouvez me contacter par courriel ou
par téléphone au (438)-886-9088.
Solidairement,
Élise
Bonjour,
Le contrat de cafétéria liant le cégep de Saint-Laurent à Aramak arrive à
terme sous peu et comme ils ne respectent pas le contrat actuel, il ne sera
probablement pas renouvelé. Tout va dépendre de l'appel d'offre.
Un comité Cafétéria Autogérée ad-hoc se réunira pour la première fois mardi
soir et nous avons l'autorisation de l'AG d'engager le(s) personne(s)
nécessaire(s) pour gagner cet appel d'offre. Le projet est encore vague
avant cette rencontre, mais la rédaction d'une offre et des moyens de
pression sur l'admin sont envisagés.
Nous sommes à la recherche de toutes informations sur des reprises de
services étudiants par une association étudiante dans les dernières années
et comment ça s'est passé. Si vous avez aussi du matériel pour mobber
contre Aramak, nous l'accepterons avec joie.
Solidairement,
Esther Paquette
Salut tout le monde,
suite à une suggestion du comité femme de l'ASSÉ, le comité média ad hoc a le mandat d'organiser des formations médias non-mixtes dans les différentes régions pour aider à la formation de porte-paroles régionaux/nationaux et de favoriser la participation de femmes, dans l'idée que c'est souvent des hommes qui occupent ce genre de poste et qu'on veut renverser la vapeur.
Les formations se déclineraient sous deux aspects: Comment organiser des points de presse/conférence de presse et l'ABC d'une bonne porte-parole.
Idéalement nous aimerions avoir une porte-parole nationale femme lors du congrès de fondation de la CLASSE le 2 et 3 décembre prochain, donc le plus rapidement les formations sont données, le mieux c'est: comme ça si une de vous est intéressée suite à une formation, on pourra l'intégrer plus vite dans les sorties médiatiques de l'ASSÉ.
Vous pouvez m'envoyer un courriel si vous êtes intéressées à exocortex(a)gmail.com
En espérant vous voir participer en grand nombre,
Anne-Marie Provost, pour le comité média
PS: si des hommes sont également intéressés par les formations médias n'hésitez pas à faire signe, on va pouvoir faire une formation à part
Bonjour camarades,
Je ne suis pas étudiant cette année. Cependant, je l'étais à la session dernière et je le serai de nouveau dès la session d'automne 2012. En tant que militant de l'ASSÉ de longue date, je tenais à apporter ma modeste contribution au débat entourant la campagne de grève générale illimité. Voici donc un texte de réflexion qui aborde les épineuses questions des négociations et de la collaboration avec la FECQ et la FEUQ dans le cadre de la lutte contre la hausse des frais de scolarité.
En espérant favoriser des débats et réflexions en vue des prochains Congrès,
Alex Bourdon-Charest
-------- Message original --------
Objet : Pour diffusion - Manifestation contre de la principale de McGill et sa vision de l'éducation
De : Joel Pedneault <external(a)ssmu.mcgill.ca>
À : executif@asse-solidarite.qc.ca,lapointephil@gmail.com,lorekeeper@gmail.com
Cc :
Bonjour,
Serait-il possible de diffuser le message suivant sur la liste
assé-support ainsi que sur toute autre liste de diffusion de l'ASSÉ?
---
**Diffuser largement**
À nous McGill! Rassemblement à l'extérieur d'une allocution de Heather
Munroe-Blum, la principale de l'Université McGill.
Quand: vendredi 25 novembre, 11h
Où: Centre Sheraton, 1201 René-Lévesque Ouest
Ce vendredi, Heather Munroe-Blum, la principale de l'Université McGill
et une des personnalités publiques ayant le plus fait pour miner l'accès
à l'éducation au Québec, s'adressera à l'élite lors d'un évènement
organisé par la Chambre de Commerce de Montréal. Elle discutera "de
l’héritage de James McGill [propriétaire d'esclaves, baron de la
traite de fourrures, et fondateur de l'Université McGill] et de son
impact continu sur le Québec".
Un rassemblement aura lieu dès 11h devant le Sheraton. Le syndicat des
employés de soutien de l'Université McGill, en grève depuis le 1er
septembre, y sera ainsi que plusieurs étudiants et professeurs.
Bienvenue à toutes et tous!
Plus d'infos sur l'évènement:
http://www.ccmm.qc.ca/fr/calendrier-midisChauds_Heather_MunroeBlum
Joël Pedneault | Vice-President External Affairs - Vice-président aux
affaires externes / Students' Society of McGill University -
Association Étudiante de l'Université McGill | 3600 McTavish, suite 1200
| Montreal, Quebec, Canada, H3A 1Y2 | Tel: (514) 398-6798 | Fax: (514)
398-7490 | Cell.: (514) 213-9613 | external(a)ssmu.mcgill.ca |
twitter.com/SSMUExternal
March for accessible education! Visit nov10.info
Bonjour à tous, Comme vous en avez peut-être entendu parlé, Lionel-Groulx a fondé un comité externe dans le but d'aider d'autres assos à travers le Québec à mobber pour différentes raisons. Pour l'instant, nous avons surtout été actif à St-Jérôme, l'Assomption et Sherbrooke, mais nous souhaitons offrir notre aide à n'importe quelle association étudiante le désirant.
Nous disposons de véhicules et de plusieurs gens qui sont prêts à se déplacer pour aller porter main forte aux cammarades étudiants de d'autre cégeps et universités. Le fonctionnement est le suivant, envoyez moi simplement un email qui commence par [DEMANDE EXTERNE] et le nom de votre asso,
Dans le corps du mail, m'indiquer :
1. Le nom de votre asso2. Le lieu3. Le sujet sur lequel il faut mobber OU l'action à laquelle vous voulez qu'on participe4. Les périodes de la semaine où vous aimeriez le plus notre présence et où on serait le plus efficace.5. La date limite. ( d'une AG pour laquelle il faut mobber, où la date où une action se produira ). Ensuite, je prendrez note de cela, et j'essairai de trouver des gens disponibles pour les moments dont vous avez besoin de support en fonction de la liste de disponibilités que j'aurai à ma disposition.
Je peut d'avance vous dire que les deux périodes de la semaine où nous somme le plus libre ( et surtout où nous avons des chauffeurs avec des véhicules ) sont le lundi après-midi et le vendredi matin. Cordialement,
Vincent Desrochers III
Responsable du comité externe de l'AGEECLG
Maintenons la pression sur le gouvernement!!!
Le jeudi 1 décembre l'ASSÉ organise une action de perturbation.
Rendez-vous 12h30 dans l'Agora de l'UQAM accessible directement par le
métro berri-UQAM!
Venez en grand nombre!
--
*Guillaume Vézina
Secrétaire à l'information
Association pour une solidarité syndicale étudiante (ASSÉ)
Cellulaire: (514) 571-4966
Site web: www.asse-solidarite.qc.ca*
*"Los movimientos estudiantiles de América latina invitan a la gran jornada
continental en defensa a la educación pública y de calidad, que se
realizara el próximo jueves 24 de noviembre, en la que participaran las
expresiones de movilización estudiantil de América Latina."*
Dans le contexte de la mobilisation étudiante en Amérique latine, le comité
des luttes sociales de l'ASSÉ organise, en collaboration avec le Programme
d'Accompagnement Solidarité Colombie, une action de solidarité *ce jeudi,
24 novembre, à 18h00.*
*
Le lieu de rassemblement est au 1010 rue Sherbrooke Ouest.*
Il s'agira de répondre à l'appel de la Conclaea Latinoamericana pour un
appui pan-américain aux luttes étudiantes du Chili et de Colombie; une
grande mobilisation aura lieu en Colombie et au Chili, mais des actions
sont prévues dans 9 autres pays latinoaméricains.
Ici, nous allons organiser un piquetage symbolique vers 18h devant le
bureau des ambassades du Chili et de Colombie (qui se trouvent dans le même
édifice) avec des discours et peut-être un peu d'animation de rue pour la
visibilité.
Vous êtes toutes et tous les bienvenu-e-s,
Cordialement,
-Beatriz Munioz, Diana Carolina Potes Ferreira, Frank Lévesque-Nicol
Bonjour,
Nous essayons de reconfigurer notre charte de statuts et règlements à
Saint-Laurent, puisqu'elle est un peu bizarre. Si d'autres associations
étudiantes locales pouvaient nous envoyer leur charte, ce serait cool!
Merci,
Florianne Philippe-Beauchamp, permanente à l'AECSL
(english below)
*G20 Toronto : Le dernier organisateur de la CLAC encore accusé de
complot voit ses accusations retirées !
La CLAC condamne le cirque judiciaire et la criminalisation de la dissidence
*
Montréal, le 23 novembre 2012 -- Hier, dans une salle bondée de la Cour
provinciale de l’Ontario, le procureur de la Couronne chargé de la
poursuite contre le présumé « principal groupe de conspirateurs du G20 »
de Toronto a retiré toutes les accusations de complot encore retenues
contre 17 organisateurs et organisatrices du sud de l’Ontario et du Québec.
Parmi ceux-ci, un militant de la Convergence des luttes anticapitalistes
de Montréal (CLAC), Patrick Cadorette, a vu toutes les accusations
portées contre lui retirées par la Couronne après un peu moins de 18
mois passés sous le coup de sévères conditions de libération, dont 11
mois d’assignation à domicile.
Ce développement survient dans le cadre d'une entente relative à un
plaidoyer de culpabilité entre la Couronne et la défense. Parmi les 17
personnes accusées de complot, six plaident coupable d’avoir
« conseillé » la commission d’une infraction, alors que les 11 autres
voient l’ensemble des accusations portées contre elles retirées.
« Le public a beaucoup entendu parler de la brutalité policière et du
grand nombre d'arrestations au Sommet du G20 », avance Patrick
Cadorette, « mais la répression va beaucoup plus loin que les images de
policiers enragés tapant sur des manifestants. On constate la mise en
place d'une stratégie complexe visant à criminaliser la dissidence
politique et l'organisation anticapitaliste. Ça commence avec
l'infiltration policière et la surveillance des mouvements, puis
l'intimidation et le harcèlement des militants et militantes, jusqu'aux
centaines de fouilles illégales et les détentions arbitriaires au sommet
même. Mais le système judiciaire et pénal joue également un rôle
déterminant dans la stratégie de criminalisation. Les conditions de
libération draconiennes, comme la non-association rigide avec certains
groupes militants, l'assignation à domicile prolongée et l'interdiction
complète de participer à des manifestations publiques, tout ça vise
directement à affaiblir les mouvements qui luttent pour la justice
sociale et environnementale et à effrayer les personnes qui
s'identifient à ces mouvements et seraient tentées de s'y joindre.
Ajouter à ça le recours à des accusations criminelles graves contre les
organisateurs, des montants de caution exorbitants, la diffamation
publique, des audiences de remise en liberté marquée par l'hystérie
collective, et vous avez tous les éléments d'un plan perfectionné pour
diaboliser et criminaliser l'engagement militant. »
Le Sommet du G20, qui s’est tenu à Toronto les 26 et 27 juin 2010, a été
le théâtre d’arrestations massives sans précédent au Canada, avec 1105
arrestations, plus de 300 accusations et un nombre incalculable
d’incidents de brutalité policière et de violations arbitraires des
droits fondamentaux. Des 330 personnes accusées, pas moins de 198 ont vu
leurs accusations suspendues, retirées ou rejetées.
Selon la Ligue des droits et libertés, « [l]a preuve que ces
arrestations étaient purement préventives, arbitraires et illégales est
que, sur les 1105 personnes arrêtées, 800 ont été relâchées sans aucune
accusation, que les accusations ont été retirées dans quelque 150
dossiers […] et que des arrêts de procédure ont été ordonnés dans
plusieurs cas. […] En réalité, entre 3,6 % et 9 % des personnes arrêtées
à Toronto les 26 et 27 juin 2010 ont fait l’objet d’accusations, ce qui
indique clairement que les arrestations n’étaient pas justifiées par la
commission d’une infraction, mais visaient plutôt l’objectif d’empêcher
ces gens de participer aux manifestations futures. »
Le nombre inouï d'accusations de complot déposées contre les militants
et militantes est aussi alarmant. Selon Blandine Juchs, du comité de
soutien juridique de la CLAC, « Le recours aux accusations de complot
est stratégique. La couronne dépose initialement des accusations
grossièrement exagérées pour se donner une marge de manoeuvre et
soutirer par la suite des plaidoyers de culpabilité pour des infractions
considérées moins graves. Mais l'accusation d'avoir "conseillé" une
infraction participe elle aussi à la criminalisation ; on criminalise la
simple expression d'opinions politiques dans le cadre de mobilisations
populaires ! »
Environ 20 000 policiers ont été déployés à Toronto lors du Sommet du
G20. Sur un budget total de 930 millions, 790 millions (85 % des
dépenses) ont été réservés à la sécurité, la part du lion revenant à la
GRC, selon le Rapport du Comité permanent de la sécurité publique sur
les sommets du G20 et du G8 . En dépit des condamnations publiques qui
se sont multipliées depuis un an et demi (notamment de la part de
l'Ombudsman de l'Ontario ), toutes les polices impliquées s'en sont
tirées dans l'impunité la plus complète et les responsables politiques
du fiasco sécuritaire sont toujours restés dans l'ombre.
« C'est une vraie mascarade », conclut Cadorette, « une grosse farce qui
coûte très cher ! Et pourquoi? Qui peut dire aujourd'hui à quoi aura
servi le sommet de Toronto ? Pour nous, une chose est claire, les
sommets du G20, l'institution elle-même et ses soi-disant leaders sont
complètement illégitimes. Au moment où les révoltes se multiplient un
peu partout sur la planète contre la tyranie du marché, les diktats
d'austérité, les inégalités économiques et la destruction de
l'environnement, les riches et leurs larbins dans les gouvernements
savent très bien que leur temps est compté. Ils chient dans leurs
culottes. Et c'est pour ça qu'ils dépensent des centaines de millions de
dollars pour dresser des barrières et placer des milliers de flics armés
entre eux et la colère du peuple. En fin de compte, l'histoire va se
souvenir de nous comme de celles et ceux qui ont essayé d'arrêter le
seul vrai complot criminel qu'il y a eu à Toronto en juin 2010 : celui
de la gang d'hostie de crosseurs du G20. »
_
Consultez la déclaration commune des « 17 » ici :
http://conspiretoresist.wordpress.com/_
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*
*
*CLAC condemns the legal circus and the criminalization of dissent*
Montréal, November 23rd 2011 – Yesterday, in a packed courtroom at the
Ontario Court of Justice in Toronto, the Crown counsel in charge of
prosecuting the so-called “Main G20 Conspiracy Group” dropped all
conspiracy charges against 17 organizers from Southern Ontario and Québec.
One of the 17, Patrick Cadorette, an organizer from the Anti-capitalist
Convergence of Montréal (CLAC), had all his charges withdrawn by the
Crown after almost 18 months spent under restrictive conditions,
including 11 months under house arrest.
This new development is a result of a plea agreement between Crown and
Defense counsel. Of the 17 charged with conspiracy, six pled guilty to
“counseling” mischief, while the 11 others have had all their charges
dropped.
“The public has heard a lot about police brutality and mass arrests at
the G20 summit,” Cadorette says, “but the repression went a lot deeper
than pictures of angry policemen beating on demonstrators. We now know
that there was a complex strategy aimed at criminalizing political
dissent and anti-capitalist organizing. This strategy included
infiltration by undercover cops, the surveillance of various movements,
the intimidation and harassment of activists, and hundreds of illegal
searches and arbitrary detentions during the summit itself. The legal
and penal system also played a major role in this strategy to
criminalize dissent. Through imposing draconian bail conditions like
strict non-association with targeted community organizations, long term
house arrest, and banning organizing or attending public demonstrations,
legal authorities clearly meant to weaken movements working for social
and environmental justice and to discourage people who identify with
these movements from getting involved. Add to all this the serious
criminal charges targeting organizers, public defamation, and bail
hearings held in the climate of mass hysteria following the protests, as
well as the staggering amounts requested for cash bail, and you have all
the elements of a perfect plan to demonize and criminalize political
activism.”
The G20 Summit that was held in Toronto on June 26th and 27th, 2010, was
marked by unprecedented mass arrests: 1105 people were arrested, and
over 300 charged. Countless others were targets of police brutality and
violations of their fundamental human rights. Of the 330 charged, no
less than 198 have seen their charges dropped, withdrawn or rejected.
According to the Ligue des droits et libertés, “the proof that these
arrests were purely preemptive, arbitrary and illegal was that of the
1,105 arrested, 800 were released without charges, and the charges that
were laid were withdrawn in more than 150 of the cases […] charges have
[also] been stayed in many cases. […] In fact, only between 3.6% and 9%
of those arrested in Toronto on June 26th and 27th 2010 were charged,
which clearly indicates that the arrests weren't justified by criminal
behavior but that the objective was to prevent those people from
participating in upcoming demonstrations.”
The tremendous number of conspiracy charges laid against activists is
also alarming. According to Blandine Juchs, of CLAC's Legal Support
Committee, “Using conspiracy charges is strategic. The Crown initially
lays grossly exaggerated charges to make sure they have enough wiggle
room to squeeze out some guilty pleas for lesser charges down the road.
But the charge of “counseling” itself criminalizes the simple expression
of political opinion at political events”.
Around 20,000 law enforcement personnel were deployed in Toronto during
the G20 summit. Out of a $930 million dollar budget, $790 million (85%)
was spent on security, with the lion’s share going to the RCMP,
according to the Rapport du Comité permanent de la sécurité publique sur
les sommets du G20 et du G8. Despite the public condemnations that have
multiplied over the last year and a half (notably the Ontario
Ombudsman’s report), all the police forces involved have gone unpunished
and the politicians responsible for the security debacle still remain in
the shadow.
“Its a real farce”, concludes Cadorette, “a big joke that cost a lot of
money! And for what? Who can say today what the purpose of the Toronto
G20 was? For us, one thing is clear, the G20 summits, the institution
itself and its so-called leaders are completely illegitimate. At a time
when revolts are sparking and multiplying everywhere against the tyranny
of the market, austerity measures, economic inequalities, and
wide-spread environmental destruction, the wealthy and their goons know
full well that their days are numbered. They are shitting their pants.
It’s why they’re spending hundreds of millions to put up fences and
place thousands of armed cops between them and the rage of the People.
In the end, history will remember us as those who tried to stop the only
real criminal conspiracy that happened in Toronto in June 2010: the
bunch of fucking G20 crooks.”
Read the collective statement by the « 17 » here:
http://conspiretoresist.wordpress.com/