J'appuie également la cause et me porte volontaire pour participer à la
création d'une brochure qui dénonce les briseures de grève. Quant à mon
expérience d'hier, c'est particulièrement la violence des étudiants-es
eux-mêmes qui est venu me frapper. Ça été difficile à plusieurs reprises de
garder le calme: violence verbale, intimidation sexiste, utilisation de la
force physique pour ouvrir les portes etc. Ça a été pénibles à quelques
reprises, beaucoup de mépris et d'insultes complètement déraisonnables.
Katerine
Le 11 novembre 2011 11:11, Marianita Hamel <maryhamel(a)hotmail.com> a écrit :
> J'appuie l'initiative. Il y a aussi des Garda qui ont été des connard
> comme à l'habitude.
> Je crois qu'on pourrait faire plus que d'adresser une lettre aux
> syndicats. On devrait les exposer sur la place publique. On pourrait
> faire une brochure qui dénonce les briseurs de grève. Il pourrait y avoir
> un texte plus théorique et historique sur ce qu'est unE "briseur de grève",
> puis un texte qui dénonce des exemples concrets des comportement de ces
> gens lors de journées de grève à l'UQAM (le concept peut également être
> repris ailleurs), on pourrait également dévoiler leur nom. L'idée serait
> que la brochure évoque un sentiment de dégout et de mépris envers les
> briseurs de grève, et qu'ainsi personne ne souhaite y être associée.
>
> Bonne journée!
> Marianita
>
> To: audrey_sim(a)hotmail.com; asse-femmes(a)listes.asse-solidarite.qc.ca;
> support(a)listes.asse-solidarite.qc.ca; marie_pier_79(a)hotmail.com
> Date: Fri, 11 Nov 2011 10:48:57 -0500
> Subject: Re: [asse-femmes] Violence des profs et chargé-e-s de cours
>
>
> Bonjour,
>
> personnellement je trouverais cela pertinent, au moins de faire passer le
> message auprès du syndicat ...
> Puisqu'on doute bien que du piquetage aura lieu en janvier et que ce genre
> d'événements doivent être évités.
>
> Bonne journée
>
> Carol-Anne
>
> ------------------------------
> From: audrey_sim(a)hotmail.com
> To: asse-femmes(a)listes.asse-solidarite.qc.ca;
> support(a)listes.asse-solidarite.qc.ca; marie_pier_79(a)hotmail.com
> Date: Fri, 11 Nov 2011 00:49:38 +0000
> Subject: [asse-femmes] Violence des profs et chargé-e-s de cours
>
> Ayant été témoin et victime de violences (physique et verbale) de la part
> de certain-e-s profs et chargé-e-s de cours de l'UQÀM lors du piquetage de
> ce matin, et ayant entendu plusieurs histoires de violence perpétrées par
> ces personnes qui tentaient de franchir nos lignes à tout prix malgré que
> leurs syndicats avaient pris position pour être solidaire à notre journée
> de grève (voir le communiqué du SPUQ ci-bas, SPUQ qui avait d'ailleurs un
> contingent dans la manif ce pm), est-ce qu'il vous semblerait pertinent de
> documenter ces événements et de les présenter sous forme de plainte aux
> syndicats des profs et à celui des chargée-e-s de cours?
>
> Merci de m'éclairer
> Audrey
>
> *Communiqués*
>
> *7 novembre 2011*
>
> *APPUI AUX REVENDICATIONS ÉTUDIANTES CONTRE LA HAUSSE DES FRAIS DE
> SCOLARITÉ*
>
> Communiqué à toutes les professeures et à tous les professeurs
>
>
> Plusieurs organisations syndicales appuient les revendications étudiantes
> contre la hausse des frais de scolarité. Elles appellent, par solidarité, à
> une participation massive de leurs membres à la manifestation du jeudi 10
> novembre 2011, qui se tiendra à compter de 14 h à la Place Émilie-Gamelin
> (Métro Berri-UQAM).
>
> Le Conseil exécutif du SPUQ à sa réunion du 8 novembre et le Conseil
> syndical à sa réunion du 9 novembre 2011 seront saisis d’un projet de
> résolution d’appui aux revendications et aux actions du mouvement étudiant.
>
>
> Le Comité exécutif du SPUQ
> 7 novembre 2011
>
> _______________________________________________ asse-femmes mailing list
> asse-femmes(a)listes.asse-solidarite.qc.ca
> https://listes.koumbit.net/cgi-bin/mailman/listinfo/asse-femmes-listes.asse…
>
> _______________________________________________ asse-femmes mailing list
> asse-femmes(a)listes.asse-solidarite.qc.ca
> https://listes.koumbit.net/cgi-bin/mailman/listinfo/asse-femmes-listes.asse…
>
> _______________________________________________
> asse-femmes mailing list
> asse-femmes(a)listes.asse-solidarite.qc.ca
>
> https://listes.koumbit.net/cgi-bin/mailman/listinfo/asse-femmes-listes.asse…
>
>
Bonjour tout le monde,
excusez-nous, mais l'ultimatum express contient plusieurs fautes
inacceptables.* Veuillez ne pas l'imprimer tout de suite et attendre que
nous envoyons une version corrigée*. Cela devrait être réglé au cours de
l'après-midi.
Toutes nos excuses,
Arnaud Theurillat-Cloutier
Le 14 novembre 2011 00:56, Alexandre Antaki <alex.antaki(a)gmail.com> a écrit
:
> YAYYYYY
>
> Le voilà!
> Toujours aussi joli!
>
>
> Alexandre Antaki
> Pour le comité Journal
>
> pour continuer sur ma lancée de blagues, je pense que je vais citer Bush:
> "Je sais ce que je crois. Je continuerais à exprimer ce que je crois, et
> ce que je crois... je crois que ce que je crois est bien."—Rome, Juillet,
> 22, 2001
> "Nous prenons les bonnes décisions afin de mettre fin à la
> solution."—Washington, D.C., Avril 10, 2001
> "Je crois que nous sommes d'accord, le passé est fini."—après sa
> rencontre avec son ex-rival John McCain, cité dans le Dallas Morning News,
> Mai 10, 2000
> "J'espère que tous les ambitieux ont conscience qu'ils ont plus de chances
> de réussir avec succès en s'opposant à l'échec."—Interview pour
> l'Associated Press, Jan. 18, 2001
>
> __________________________________________Liste asse-support.
>
> Liste de discution de l'Association pour une Solidarité Syndicale
> Étudiante (ASSÉ)
>
> support(a)listes.asse-solidarite.qc.ca
>
YAYYYYY
Le voilà!
Toujours aussi joli!
Alexandre Antaki
Pour le comité Journal
pour continuer sur ma lancée de blagues, je pense que je vais citer Bush:
"Je sais ce que je crois. Je continuerais à exprimer ce que je crois, et ce
que je crois... je crois que ce que je crois est bien."—Rome, Juillet, 22,
2001
"Nous prenons les bonnes décisions afin de mettre fin à la
solution."—Washington, D.C., Avril 10, 2001
"Je crois que nous sommes d'accord, le passé est fini."—après sa rencontre
avec son ex-rival John McCain, cité dans le Dallas Morning News, Mai 10,
2000
"J'espère que tous les ambitieux ont conscience qu'ils ont plus de chances
de réussir avec succès en s'opposant à l'échec."—Interview pour
l'Associated Press, Jan. 18, 2001
Bonjour,
Voici le lien vers la proposition d'ordre du jour pour le prochain Congrès:
http://www.asse-solidarite.qc.ca/spip.php?article1977&lang=fr
Il n'y a présentement pas de cahier de préparation puisque aucune
proposition ni aucun texte n'a été reçu. Comme la date limite de dépôt
des propositions est passée, toutes les propositions régulières
apportées soit au cahier de Congrès, soit directement en Congrès
pourront être mises en dépôt avec le vote du tiers des associations
membres selon l'Annexe D des Statuts et règlements.
Solidairement,
Marieve R.
Permanente syndicale pour l'ASSÉ
Dernier rappel pour la balade en région demain, on se reoind au métro
angrignon demain matin avec vos carte opus et 9,20 pour le transport l,ssé
va rembourser
à demain
Max larue
Je me permets de vous partager les résultats des votes de grève avant la GGI
de 2005, plus grande grève de l'histoire du mouvement étudiant (en terme de
durée et de nombres d'associations en grève).
L'ASSÉ avait appelé à la grève dès le mois d'octobre 2004 pour la session
d'hiver 2005.
Entre le 26 janvier 2005 et le 1er mars 2005, on recense une vingtaine de
vote de grève. Je voudrais attirer votre attention sur les résultats
négatifs de plusieurs votes de grève. Durant cette période, une quinzaine
d'associations, surtout les membres de l'ASSÉ, votent pour la grève générale
qui est déclenché officiellement le 24 février, même si Anthropologie UdeM
était déjà parti en grève toute seule dès le 21 février. En revanche, alors
que la grève s'amorce à peine, on recense une dizaine de votes de grève
négatifs, surtout parmi les membres de la FECQ et les non-membres. Il faut
dire que la FECQ, bien qu'elle avait résolu à l'automne de recourir
éventuellement à la grève générale (oui, oui ! source à l'appui !), n'avait
pas fait encore d'appel à ses membres. Elle attendra le 3 mars pour le
faire, tandis que la FEUQ attendra jusqu'au 8 mars.
Voici la liste des associations (selon les informations dont je dispose) qui
ont voté contre la grève entre le 26 janvier (date du premier vote de grève,
en faveur, AECSL) et le 1er mars :
-Édouard-Montpetit : Elle retire de son plan d'action toute attribution d'un
mandat pour une grève générale illimitée pour l'ensemble de la session
d'hiver 2005. Elle décide d'organiser des débats concernant des moyens
d'actions alternatifs à la grève générale illimitée. Elle s'engage cependant
à organiser une assemblée générale extraordinaire pour voter sur la
possibilité d'une grève de trois jours lorsque 10 associations étudiantes
détiendront un mandat de grève.
-Ahuntsic ( référendum : 75 % contre)
-Trois-Rivières (2/3 contre)
-Chicoutimi
-Limoulou (50,4 %)
-Montmorency (67 %)
-Val d'Or, Abitibi-Témiscamingue (71 %)
-Rouyn-Noranda, Abitibi-T.
-Bois-de-Boulogne
-Fx-Garneau (70 %)
Je tenais simplement à vous faire part de ces informations, afin que
personne ne perde espoir et comprennent l'importance de la stratégie et de
l'élaboration d'un calendrier des votes de grève. Il ne sert à rien de
précipiter les choses, d'improviser ou de jouer les optimistes, au risque de
faire tout échouer. La grève de 2005 a eu un démarrage fragile. Elle a dû
compter d'abord sur un nombre réduit d'associations qui n'ont pas toujours
eu des appuis massifs au premier vote de grève (à Sherbrooke, l'AG de 3000
personnes a voté en faveur de la grève avec une avance de 18 voix). Ce qui
importe, c'est l'effet boule-de-neiges. Il est toujours difficile d'être la
première association a voté la grève, de faire irruption dans l'histoire.
C'est pour cela que le premier vote de grève nécessite un travail et une
préparation immense.
Bon, je retourne à mes moutons.
Courage,
Arnaud Theurillat-Cloutier
Bonjour tout le monde,
Je suis nouveau ici alors inconnu de plusieurs. Je m'appelle Mathieu Jean, je suis membre de l'AFESH actuellement. J'ai milité au MDE dans le temps.
Je vous envoie le tract que Force Étudiante Critique a diffusé dans la manifestation de jeudi. Je met en attachement le document de la FAECUM qui est évoqué dans le tract. Vous remarquerez, aux pages 19 et 20, avec quel économiste bien connu la FAECUM justifie la pertinence de l'IPU...
Je vous envoie aussi ce lien dans lequel le président de la FECQ lance un ballon d'essai sur l'IPU:
http://fr-ca.actualites.yahoo.com/manifestation-des-milliers-d%C3%A9tudiant…
Finalement, je vous invite à lire les deux premiers commentaires à-propos de "L'Union fait la farce" fait sur notre blog http://www.forceetudiantecritique.org/
L'UNION FAIT LA FARCE !
Bienvenu-es dans le nouveau mouvement
étudiant uni, celui qui rassemble toutes les tendances vers un seul et
unique objectif. Dans cette ambiance de rêve, où toutes et tous se
tendent la main dans l’allégresse, les voix discordantes se font rares.
Il y a toute de même la Fédération Étudiante Universitaire du Québec
(FEUQ) qui a refusé de signer une entente avec les autres exécutifs
d’associations étudiantes nationales et d’écrire un communiqué de presse commun.
Or, si la FEUQ agit ainsi, ce
n’est que pour protéger sa position d’interlocuteur privilégié du
gouvernement. Dans les bureaux confortables de la Fédération des
associations étudiantes du campus de l’Université de Montréal (FAÉCUM),
ses dirigeants s’affairent déjà à orchestrer, sans le moindre mandat
d’une assemblée générale, l’issue de la lutte actuelle en peaufinant des propositions de compromis qui feront reculer gravement la condition
étudiante. Un document interne de la FAÉCUM, datant de décembre 2010 et signé par la totalité de l’exécutif, propose une pudique « contribution des diplômé-es universitaires » sous
laquelle se cache l’impôt post-universitaire (IPU). Celui-ci, destiné à
faire porter le fardeau du financement de l’éducation aux étudiantes et
aux étudiants, est présenté depuis la fondation de la FEUQ comme une
alternative au financement public de l’éducation postsecondaire.
Pourtant, derrière cette mesure ne se cache rien d’autre qu’une hausse
drastique des frais de scolarité, camouflée sous le couvert d’une
importante augmentation de l’endettement qui atteint pourtant déjà des
niveaux intolérables.
Que l’IPU s’applique tout au
long de la vie active de l’ex-universitaire ou seulement pendant vingt
ans, qu’il soit composé de trois ou six paliers, il ne permet pas
d’assurer l’accessibilité à l’éducation ni un meilleurfinancement de
celle-ci. Cette mesure, illustration du désengagement de l’État dans le
domaine de l’éducation, aurait, au contraire, un impact négatif sur la
situation des femmes, désavantagées par le fait qu’elles gagnent moins
que leurs collègues masculins à diplôme égal, ainsi que sur les
personnes à faible revenu qui ne peuvent tout simplement pas s’endetter
davantage. Bref, l’IPU se réaliserait en conformité avec toutes ces
solutions néolibérales qui consistent à faire porter sur le dos des
individus le coût des mesures sociales qui profitent à la société dans
son ensemble.
Quant à elle, l’Association pour une solidarité syndicale étudiante (ASSÉ) joue à l’autruche et ne veut
pas réaliser que la FEUQ a son propre plan concernant l’issue de la
grève générale de cet hiver. Elle se targue d’être en train de
construire une coalition étudiante démocratique, féministe et combative, mais ferme les yeux sur les pratiques de ses alliées. Peu à peu, ce
sont les pratiques mêmes de l’ASSÉ qui deviennent le miroir de celles de la FEUQ. Accepter de s’allier avec celle-ci, c’est accepter une
négociation en haut lieu dans le dos des étudiantes et étudiants membres de la fédération qui ne sont pratiquement jamais consulté-es.
Car la FEUQ garde en poche la
carte de l’IPU et la ressort régulièrement, depuis l’annonce du dégel de 1990 jusqu’à celui de 2007. C’est bien là-dessus que la FAÉCUM planche, elle qui compte pour 30% des rangs de la FEUQ et qui y exerce une
influence prépondérante. Il s’agit d’un secret bien gardé, et pour cause : la plupart des quelques 200 000 étudiants-es qu’on dit en grève
aujourd’hui les enverraient promener si elles et ils savaient ce qui se
trame derrière le discours voulant réunir d’un coup de baguette magique
les pôles d’un désaccord politique fondamental. Les appels à l’unité
étouffent trop souvent les critiques légitimes et cela risque d’être
désastreux cet hiver puisque le gouvernement, après trente ans de
tentatives infructueuses, mettra tout en oeuvre, y compris ses contacts
au sein des élites syndicales du mouvement étudiant, pour enfin
augmenter les frais de scolarité de plusieurs milliers de dollars.
Il fut un temps où critiquer les fédérations étudiantes, ces organisations bureaucratiques à l’image des grands syndicats québécois, était chose commune au sein du mouvement
étudiant de gauche. C’est en marquant sa différence par rapport aux
fédérations que celui-ci pouvait défendre au mieux les intérêts des
étudiants-es. Pour éviter la récupération, une organisation combative se met en opposition non seulement avec l’État, mais également avec les
organisations sur lesquels ce dernier s’appuie pour négocier notre
appauvrissement tout en bloquant la force réelle que le mouvement peut
avoir. Rappelons-nous la grève de 2005 où les fédérations étudiantes ont négocié à huis-clos avec le gouvernement alors qu’elles n’avaient pas
l’appui de la majorité des associations en grève pour ensuite envoyer
leurs leaders dans les assemblées générales afin d’appeler à mettre fin à la grève. La question est de savoir si l’ASSÉ peut mobiliser
massivement les étudiants-es sur des revendications ambitieuses et aller jusqu’au bout afin d’obtenir satisfaction — c’est-à-dire réussir ce
qu’elle a échoué en 2005 et camouflé sous le vocable douteux de repli
stratégique — ou encore si elle est seulement capable de les faire
surfer sur un mouvement qui se terminera inéluctablement par une
trahison.
Ce questionnement peut choquer
mais un travail critique sur l’idée d’une collaboration à tout prix
entre organisations nationales demeure nécessaire. Les conflits
historiques du mouvement étudiant doivent être débattus en assemblée
générale et dans nos comités de mobilisations :en maîtrisant ses tenants et aboutissants, nous éviterons les erreurs du passé lorsque nous
aurons à prendre d’importantes décisions sur l’orientation de la lutte.
Nous ne sommes pas dupes... L’union du mouvement étudiant a un prix :
celui de ne pouvoir dénoncer les décisions négociées avec les
gouvernements, décisions imposées trop souvent du haut vers le bas à
l’ensemble des étudiantes et étudiants. Force étudiante critique appelle à une grève générale déterminée et vigoureuse demeurant vigilante face
au risque de récupération réel. Cette grève, comme toutes les autres,
doit être composée d’individus qui ne se laisseront pas manipuler par
les petits chefs étudiants en quête de capital politique, de gauche
comme de droite.
---------------------------
Le site des IWW Montréal
WTF
voici un article sur la nouvelle stratégie du gouvernement:
http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/education/201111/11/01-4…
voici le nouveau site du gouvernement (on y voit un habile mélange du site
de l'ASSÉ, des fédés et de l'IRIS):
http://www.droitsdescolarite.com/fr/index.php
*La guerre internet, c'est le futur!!! *
Le 10 novembre 2011 22:37, martin robert <martinrobert13(a)gmail.com> a écrit
:
> Je me permet de porter cet article à votre attention :
> http://www.cyberpresse.ca/debats/opinions/201111/09/01-4466220-cette-fois-j…
>
> Solidairement,
>
> Martin Robert
>
> __________________________________________Liste asse-support.
>
> Liste de discution de l'Association pour une Solidarité Syndicale
> Étudiante (ASSÉ)
>
> support(a)listes.asse-solidarite.qc.ca
>
Ce dimanche il y aura une personnalité de marque en région, une personne
qui a bien besoin de se faire remettre les idées en place.
Si y'en a qui veulent venir en région avec nous et avoir des détails en fin
de semaines, appelez moi
Maxime Larue 514-704-4683