Début du message transféré :
Bonjour,
si vous pouvez diffuser sur vos différentes listes, ça serait sympa.
Vous trouverez en pièce jointe l'appel pour annoncer notre forum de
février et les différents moyens d'y contribuer.
Notez qu'on vous demande de nous envoyer votre liste d'événements des
prochains mois dans le but d'y tenir des tables ou d'y laisser de la
documentation.
Merci
Mathieu
Salut à toutes et à tous
Martin, je me suis permis de retravailler ton msg pour qu'on le diffuse
+ at large (mais j'ai déjà transféré le tien sur justice2010). Si ça va
à tlm, on pourrait envoyer ça vrm partout. Aussi, comme je le mentionne
dans le msg ça serait cool d'aller voir quelques places habituelles pour
voir si ils voudraient en vendre (genre vite fait : Insoumise, Café
Aquin, Toutsky, Normand Bethume). Vu que théorique on est supposé-e-s
mettre des boites de don dans ces endroits là ça serait pas vrm de job
en plus si on leur demande de vendre ça qu'on ramasse l'argent de temps
en temps.
Tcho
Hugo
Bonjour à toutes et tous,
*Dans le cadre de la campagne de financement pour les arrêtéEs du G20,
la Convergence des Luttes Anticapitalistes (CLAC) vend une reproduction
(«poster») d'une toile de Em Hunter à 15$ pièce.* Les fonds amassés
serviront directement à couvrir les frais liés aux transports, aux coûts
juridiques et aux avocatEs.
Ce poster sera disponible dans plusieurs établissements alternatifs
(librairies, cafés, associations, etc.) au cours des prochaines
semaines. En attendant, vous pouvez toujours vous en procurez en nous
contactant au financementg20(a)hotmail.com
Vous pouvez jeter un coup d'oeil à l'image en document attaché. Voici le
texte écrit en bas du poster : « Prison-niée, Em Hunter 2005 - Acrylique
sur toile 24x36 pouces- www.emhunter.com <http://www.emhunter.com/>
Cette reproduction à tirage illimité a été vendue pour supporter la
libération des manifestantEs arrêtéEs illégalement pendant le G-20 2010
à Toronto. www.clac2010.net <http://www.clac2010.net/> »
Solidairement,
Le Comité finances de la CLAC
L'AELIÉS vient de nous faire parvenir sa dernière recherche.
Bonne lecture!
Début du message transféré :
Bonjour à vous,
Document contribution des entreprises.
---------------------------------------------------------
David Chamberland
Candidat à la maîtrise en science politique
Vice-Président aux affaires externes à l'AELIÉS
Université Laval
418-717-8608
Bonjour,
je vous transfert le document en pièce jointe qui sera ajouté au cahier
de Congrès au courant de la semaine prochaine.
Aussi, je vous rappèle que vous devez confirmer votre présence en
téléphonant au bureau de l'ASSÉ (514-390-0110)
vous trouverez de plus amples informations à l'Adresse suivante (dont la
dernière version du cahier de Congrès) :
http://www.asse-solidarite.qc.ca/spip.php?article1613&lang=fr
Début du message transféré :
Bonjour,
Vous trouverez en pièce jointe une demande de rencontre avec la FEUQ.
Merci,
*Démystifier les arrestations du “Projet Samossa”*
/*Un message du Réseau de la Commission populaire*/
Montréal, septembre 2010
/Les arrestations récentes effectuées par la GRC dans le cadre de
l’opération portant le nom offensant de « Projet Samossa » ont généré
beaucoup de questions et d’incertitudes dans les communautés ciblées par
l’Islamophobie et le racisme. Ce communiqué communautaire vise à fournir
de l’information et des conseils à ce sujet. Nous espérons que cela
contribuera à renforcer la résistance confiante face au profilage, la
marginalisation et la criminalisation./
*Questions*
1. Qu’est ce que la Loi antiterroriste du Canada?
2. Qu’est-ce que cela signifie que des individus soient arrêtés en
vertu d’accusations liées au terrorisme?
3. Pourquoi sont-ils en prison ou soumis à des conditions s’ils n’ont
pas été trouvés coupables de quoi que ce soit?
4. Jusqu’à quel point devrais-je parler d’une personne accusée que je
connais?
5. Que faire si quelqu’un que je ne connais pas me pose des questions
concernant une personne accusée, des informations qui ont été
publiés dans les médias ou ce que je pense de la situation?
6. Comment construire des communautés sécuritaires et ne pas être en
proie à la paranoïa?
7. Est-il sécuritaire d’aller à la mosquée?
8. Si je m’implique dans des initiatives communautaires ou autres qui
dénoncent le racisme et l’islamophobie entourant ces enjeux –
incluant le racisme dans les médias et les courriers des lecteurs
– serais-je placé sous surveillance?
9. Que devrais-je faire si la police cogne à ma porte ou demande à me
parler?
10. Que devrais-je faire si le Service canadien du renseignement de
sécurité (SCRS) m’approche ou approche ma famille ou ma communauté?
11. Que puis-je faire par rapport au profilage de ma communauté et de
ses membres par le SCRS et les autres agences ainsi que par
rapport à la couverture médiatique hostile aux Musulmans?
12. Où puis-je aller pour davantage d’information ou d’aide?
*1) Qu’est ce que la Loi antiterroriste du Canada?*
La Loi antiterroriste canadienne a été adoptée en décembre 2001 à la
suite des événements s’étant produits aux États-Unis le 11 septembre. Le
gouvernement libéral de l’époque a accéléré l’adoption de cette loi en
muselant les débats sur les abus potentiels et en refusant tout
amendement substantiel.
Les objectifs explicites des changements à la législation étaient de
permettre au gouvernement d’agir de manière “préventive” et d’élargir la
définition du terrorisme afin d’y inclure un appui indirect.
La Loi a inscrit de nouveaux délits au Code criminel, incluant le
financement et la facilitation des activités terroristes. Elle donne
aussi davantage de pouvoir aux forces policières, notamment de leur
permettre d’effectuer des arrestations « préventives » et de forcer des
témoins à témoigner devant un juge. Un usage plus large des preuves
secrètes a aussi été permis. De plus, la Loi antiterroriste rend plus
facile pour les agences de sécurité d’utiliser la surveillance électronique.
Deux des mesures ayant générées le plus de controverses, les
arrestations préventives et les enquêtes d’investigations (forçant des
témoins à témoigner), étaient temporaires et sont tombés à échéance en
2007. Ils ont été reintroduits par le gouvernement conservateur à
l’automne 2007 et ensuite re-réintroduits dans le projet de loi C-17,
Loi sur la lutte contre le terrorisme, qui est présentement au stade de
la première lecture au Parlement.
Il est important de noter que la plupart, sinon la totalité, des
activités de la Loi antiterroriste visent des crimes et des prétendus
délits terroristes qui pourraient simplement – et avec bien moins de
stigmatisation – être entendues comme des conspirations criminelles
« ordinaires ».
Au cœur de la définition légale d’une activité terroriste – ce qui la
distingue d’un crime “ordinaire” se trouve la « clause de motivation »,
stipulant que la Couronne doit prouver qu’une activité terroriste a été
commise pour des motifs politiques, religieux ou idéologiques. En 2008,
après que les avocats de Mohammad Momin Khawaja eurent plaidé que la Loi
anti-terrorisme violait les libertés fondamentales de conscience, de
religion, de croyance, d’opinion et d’expression, la Cour a déclaré que
cette section de la Loi antiterroriste était inconstitutionnelle. Dans
sa décision, la Cour a convenu qu’en portant l’attention de l’État sur
les croyances religieuses et politiques de certains individus et de
certaines communautés, la « clause de motivation » présentait un danger
de profilage racial et religieux. Bien que cette décision soit
présentement en appel, ce cas d’espèce illustre les problèmes avec la
législation antiterroriste canadienne et nous rappelle que celle-ci peut
(et doit) être contestée.
Dans la législation antiterroriste canadienne, les délits sont définis
de manière très vague. Voici quelques exemples :
* Le gouvernement a désigné certains groupes comme étant des
organisations terroristes. Il est criminel de lever des fonds, de
faciliter les activités ou d’inciter quiconque à se joindre à un
groupe inclus sur la liste d’organisations terroristes. Le
processus d’inclusion sur une liste est fortement, voire
essentiellement, politique : la liste contient ainsi certains
groupes très surprenants.
* Faciliter une activité terroriste est un crime très vaguement
défini. Il n’est par exemple pas nécessaire que l’activité ait été
planifiée au moment de la facilitation ni que l’activité
terroriste ne se produise. Bien que la législation stipule que la
personne facilite « consciemment » l’activité, il n’est pas
nécessaire de prouver qu’elle connaissait la nature précise de
l’activité.
*2) Qu’est-ce que cela signifie que des individus soient arrêtés en
vertu d’accusations liées au terrorisme?*
Malgré la manière dont l’État et les médias dressent le portrait des
récentes arrestations, le seul fait que des gens soient arrêtés ne
signifie pas que ceux-ci soient coupables d’un méfait ou d’un crime
quelconque.
C’est un pilier du système de justice canadien que les gens sont réputés
innocents jusqu’à preuve du contraire. Cela vaut pour les cas de
terrorisme comme pour tous les autres cas criminels. Il existe en fait
de multiples exemples d’agences policières et du renseignement qui sont
complètement dans l’erreur. De plus, tel que souligné plus haut, la
législation antiterroriste canadienne est définie de manière très vague
et a le potentiel de d’inclure des actes que la plupart des gens ne
considèrent pas comment étant problématiques.
Tout ce que ces arrestations signifient c’est que la police a accusé des
individus d’avoir enfreint la loi. Ces accusations ne sont pas prouvées
et demeurent de simples allégations.
*3) Pourquoi sont-ils en prison ou soumis à des conditions s’ils n’ont
pas été trouvés coupables de quoi que ce soit?*
Normalement, les personnes soumises à un procès au criminel sont détenus
en prison avec la possibilité d’être libérés sous caution pendant qu’ils
attendent le dénouement de leur procès. Les accusés auront normalement
des audiences de mise en liberté sous cautions dans les premières
semaines suivant leur arrestation.
Malheureusement, les préjugés, la peur et des considérations politiques
entrent aussi en ligne de compte dans les décisions des tribunaux. Cela
peut signifier que les personnes accusées de terrorisme, qui seraient
libérées si elles faisaient face à des accusations tout aussi sérieuses
mais moins sensationnelles, soient davantage susceptibles d’être
maintenues en détention en attendant leur procès. Si elles ne sont pas
libérées lors de leur audience initiale, elles peuvent postuler à
nouveau pour une libération sous caution plus tard.
Si elles sont libérées en attendant l’issue du procès, ces personnes
peuvent néanmoins être soumises à des conditions strictes ou même
placées en garde à vue à domicile. Ces conditions peuvent plus tard être
modifiées par les tribunaux à la demande tant de la Couronne que de la
défense.
*4) Jusqu’à quel point devrais-je parler d’une personne accusée que je
connais?*
En général, que ce soit en personne, au téléphone, par courriel ou sur
facebook, il est important de ne pas spéculer ou de répéter des faits
sur des accusés, spécialement en ce qui a trait aux accusations
criminelles qui ont été portées. Ce n’est pas tant parce que les accusés
aient quoi que ce soit à cacher, mais plutôt parce que vous n’aurez
aucun contrôle sur la manière dont vos commentaires peuvent être
interprétés, présentés hors-contexte ou même manipulés.
Il est particulièrement important d’éviter de commenter à propos de la
culpabilité ou non s’une personne accusée. Un principe à garder en tête
est que tous sont innocents jusqu’à preuve du contraire.
Bien que vous devriez éviter de spéculer sur les accusations criminelles
portées contre des accusés, parler d’une manière humanisante de la
personnalité d’un accusé ou de d’autres aspects de sa vie peut être
utile, à condition que ce ne soit pas de l’information compromettante
(ou personnelle!).
Il est important de toujours garder en tête que les communications
électroniques comme le courriel ou facebook peuvent être archivées dans
des bases de données accessibles aux agences de sécurité ou être placées
sous surveillance. Comme question préalable, quand vient le temps de
communiquer par courriel ou par facebook, il est souhaitable de se
demander si des conséquences négatives peuvent résulter d’un message qui
serait transféré par inadvertance à la mauvaise personne ou rendu publique.
*5) Que faire si quelqu’un que je ne connais pas me pose des questions
concernant une personne accusée, des informations qui ont été publiées
dans les médias ou ce que je pense de la situation?*
Vous n’êtes pas obligé de parler à qui que ce soit simplement parce
qu’on vous le demande. Si, pour n’importe quelle raison, vous vous
sentez inconfortable il n’y a absolument rien de mal à dire poliment que
vous ne vous sentez pas confortable à parler de la situation.
Nous devons reconnaître que le contexte actuel a créé une atmosphère de
méfiance générale où il peut y avoir une tendance à suspecter les gens
que l’on ne connait pas d’être des journalistes, des policiers ou mêmes
des agents des services de renseignement. En même temps, il est sain et
normal de discuter des enjeux et des questions qui touchent nos
communautés et de maintenir une ouverture positive face aux étrangers et
de maintenir notre confiance envers les autres. Il s’agit donc de
trouver l’équilibre entre la compréhension des conséquences potentielles
de nos mots et d’éviter les ragots et la spéculation, tel que souligné
plus haut, tout en évitant que notre confiance fondamentale envers les
gens ne soit anéantie.
*6) Comment construire des communautés sécuritaires et ne pas être en
proie à la paranoïa?*
Le fait de savoir que les policiers et les services du renseignement
nous observent et vont jusqu’à infiltrer des communautés spécifiques ne
devrait pas nous rendre paranoïaques. La paranoïa peut nous diviser et
affaiblir nos organisations et nos communautés. Bien que nous
reconnaissions qu’il existe une surveillance active, nous devons éviter
de répandre des rumeurs et d’accroître la suspicion et la peur. Il est
important de maintenir notre solidarité.
Bien que nous ne devrions jamais accepter d’être contraints au silence,
il est évidemment important d’être conscient de ce que nous disons,
d’éviter les ragots qui peuvent manipulés pour être utilisés contre nous
ou contre d’autres personnes.
*7) Est-il sécuritaire d’aller à la mosquée?*
Il est important de résister à la pression nous portant à éviter
certains endroits (les mosquées, les centres communautaires, etc.) où
vous iriez normalement.
Nous ne devons pas permettre que nos libertés et nos droits fondamentaux
– incluant la liberté de conscience, de religion et d’association – nous
soient confisqués par l’atmosphère de peur créée par les médias de masse
et des agents du gouvernement
Aller à la mosquée avec des membres de notre famille ou des amis est une
manière de soulager l’anxiété potentielle. Notre sécurité réside dans
notre capacité de prendre soin les uns des autres et de refuser d’être
divisés, isolés ou intimidés.
*8) Si je m’implique dans des initiatives communautaires ou autres qui
dénoncent le racisme et l’islamophobie entourant ces enjeux – incluant
le racisme dans les médias et les courriers des lecteurs – serais-je
placé sous surveillance?*
Bien que les libertés fondamentales de croyance, d’opinion et
d’expression soient formellement protégées par la Charte canadienne des
droits et libertés, il est malheureusement vrai que la surveillance
étatique, le harcèlement et l’infiltration frappent des communautés
marginalisées sur des bases ethniques, religieuses ou racialisées, de
même que les militants pour la justice sociale.
Bien que les gens doivent être conscients de cette réalité, nous ne
devons pas permettre que ces tactiques nous réduisent au silence ou nous
empêchent de participer dans des projets, campagnes ou manifestations
pour la justice sociale. Non seulement n’y a-t-il rien de mal à dénoncer
le racisme et l’islamophobie, mais nous devrions assumer avec assurance
la responsabilité de le faire. Si nous ne le faisons pas, qui le fera?
*9) Que devrais-je faire si la police cogne à ma porte ou demande à me
parler?*
Si des agents de police – de la GRC ou d’une agence provinciale ou
municipale- vous approchent et veulent vous parler, rappelez-vous que
vous n’êtes jamais obligé de parler aux policiers. Si vous ne souhaitez
pas leur parler, dites le simplement et fermer la porte ou éloignez vous.
Les forces policières ne peuvent vous forcer à faire quoi que ce soit à
moins de vous mettre en état d’arrestation, ce qu’ils ne peuvent faire
que s’ils ont des motifs raisonnables de croire que vous avez commis une
infraction. Il est aussi illégal de leur part de fouiller votre
domicile, véhicule, local communautaire ou tout autre endroit à moins
d’avoir un mandat de perquisition autorisé par un juge.
Vous n’êtes pas obligé de quitter les lieux si votre maison est fouillée
grâce à un mandat de perquisition valide. En effet, vous avez le droit
d’observer les officiers fouillant votre domicile.
*10) Que devrais-je faire si le Service canadien du renseignement de
sécurité (SCRS) m’approche ou approche ma famille ou ma communauté?*
Le SCRS est l’agence principale du renseignement du Canada et est
souvent impliqué dans la recherche et la compilation d’information
concernant des individus, des groupes ou des communautés avant qu’il n’y
ait une quelconque indication à l’effet qu’un crime puisse être commis.
Des gens peuvent attirer l’attention du SCRS pour une diversité de
raisons. Dans certains cas, cela peut être dû à leur implication ou
leurs liens avec une organisation, une initiative ou un événement. Dans
certains cas, cela peut simplement être dû à leur appartenance à une
communauté visée. De toute manière, il n’existe pas de moyen à toute
épreuve pour s’assurer que vous ou votre famille ne seront pas approchés.
La Réseau de la Commission populaire fait la promotion d’une
non-collaboration totale avec le SCRS. Cela signifie refuser de répondre
aux questions d’agents du SCRS qui se présentent à votre porte, refuser
d’écouter quoi que ce soit que le SCRS peut souhaiter vous dire et
rompre le silence et annoncer publiquement que le SCRS est venu vous
visiter.
Décider de ne pas parler au SCRS ne signifie pas que l’on ait quelque
chose à cacher, ni que l’on renonce à protéger nos communautés face à
des gestes de violence arbitraires. Il est plutôt question de
reconnaître que vous n’avez aucun contrôle sur l’information que vous
donnez au SCRS : vos paroles peuvent être mal comprises, prises
hors-contexte ou communiquées à d’autres agences situées à l’outremer
(par exemple la CIA, le Mossad ou les mukhabarat de différents pays), et
utilisées dans des procès injustes (comme des « listes terroristes)
comme des preuves secrètes et sans sources. Il est pertinent d’ajouter
que le SCRS est aussi aiguillé par des politiques domestiques et
internationales qui ne prennent pas en compte les intérêts de toutes les
communautés.
En général, vous n’êtes jamais obligé de parler au SCRS. Les agents du
SCRS n’ont aucun pouvoir pour vous forcer à leur parler ou les écouter.
Ils n’ont pas le droit d’entrer chez vous sans votre permission. Vous
avez le droit de refuser de leur parler et de leur demander de quitter
les lieux.
Si vous êtes approché par le SCRS, le meilleur moyen d’empêcher le SCRS
de vous déranger est simplement de leur faire savoir que vous n’avez
rien à leur dire. Le SCRS est à la recherche de « sources
d’information » provenant de diverses communautés; si vous refusez de
leur parler ils auront normalement très peu d’intérêt à revenir. S’ils
continuent à vous approcher, demandez leur de contacter un avocat de
votre choix afin d’établir un rendez-vous formel ou demandez à un avocat
de les contacter de votre part.
Si vous êtes dans un processus d’immigration et on vous demande une
entrevue formelle et obligatoire, ou bien si vous êtes dans une position
vulnérable qui vous fait sentir que vous ne pouvez refuser de parler au
SCRS, nous vous conseillons fortement d’insister pour que toute entrevue
avec le SCRS soit menée en présence d’un avocat de votre choix.
Il est surtout essentiel de se rappeler que nous devons prendre soin les
uns des autres. Les visites du SCRS peuvent être déstabilisantes et
dérangeantes. Il est important de se serrer les coudes et de s’appuyer
mutuellement lorsque les visites du SCRS se produisent et que nos
communautés se trouvent sous surveillance.
*Quand le SCRS frappe à la porte* (dépliant en français, anglais, arabe,
espagnol et turc):
www.commissionpopulaire.org/fr/csis/whattodo-csis.php
<http://www.commissionpopulaire.org/fr/csis/whattodo-csis.php>
*Vidéos des visites du SCRS *(en français et en anglais):
www.commissionpopulaire.org/fr/csis/videos.php
<http://www.commissionpopulaire.org/fr/csis/videos.php>
*Top 10 des raisons pourquoi ne pas parler au SCRS* (en français,
anglais, turc et espagnol):
www.commissionpopulaire.org/files/csis/top10_fr.pdf
<http://www.commissionpopulaire.org/files/csis/top10_fr.pdf>
*11) Que puis-je faire par rapport au profilage de ma communauté et de
ses membres par le SCRS et les autres agences ainsi que par rapport à la
couverture médiatique hostile aux Musulmans?*
a) Écrivez des lettres au rédacteur en chef qui expliquent vos
objections au portrait raciste des événements et à la collusion des
médias dans le ciblage des communautés musulmanes.
b) Demandez aux organisations dans lesquelles vous êtes impliquées
(groupes communautaires, syndicats, partis politiques) de produire des
déclarations dénonçant l’islamophobie, rejettant l’usage de preuves
obtenues sous la torture, et insistant que le principe de l’innocence
jusqu’à preuve du contraire s’appliquent pour tous.
c) Encouragez vos réseaux à refuser toute coopération avec le SCRS et
distribuez le matériel concernant le SCRS (les liens web ci-dessus).
*12) Où puis-je aller pour davantage d’information ou d’aide?*
Les groupes suivants ont une série de documents avec de l’information
pertinence et peuvent être capables de vous donner des conseils ou de
vous référer vers des organisations ou des avocats en mesure de le faire.
/*À Montréal:*/
Conseil Musulman de Montréal : www.muslimcouncil.org
<http://www.muslimcouncil.org>
Commission populaire: www.peoplescommission.org
<http://www.peoplescommission.org>
/*À Toronto:*/
La Fédération Canado-Arabe: www.caf.ca <http://www.caf.ca>
/*À Ottawa:*/
Canadian Council on American-Islamic Relations (CAIRCAN): www.caircan.ca
<http://www.caircan.ca>
----------------------
/
Le /*Réseau de la Commission populaire*/ est un réseau montréalais fondé
en 2005 et visant à se pencher sur les enjeux des mesures sécuritaires
en immigration, notamment les certificats de sécurité, et de combattre
l’oppression menée au nom de la « sécurité nationale ». Le réseau est un
espace permettant aux individus et aux groupes qui font face à
l’oppression au nom de la « sécurité nationale » - comme les peuples
autochtones, les immigrants les communautés racialisées, les
organisations politiques radicales, les syndicats - et leurs alliés de
former des alliances, partager de l’information et coordonner des
stratégies afin de défendre leurs droits et leur dignité. La Commission
populaire est un groupe de travail du GRIP Concordia./
*Le Réseau de la Commission populaire tiendra un forum populaire
intitulé « Quelle Sécurité? Notre sécurité ! » qui se tiendra du 4 au 6
février 2011 à Montréal. Consultez notre site web pour davantage
d’information.*
*commissionpopulaire(a)gmail.com <mailto:commissionpopulaire@gmail.com>
www.commissionpopulaire.org <http://www.commissionpopulaire.org>*
[SVP diffuser largement!] [English below]
*Justice pour les victimes de bavures policières!
/Les familles des victimes de bavures policières et leurs alliés
organisent deux évènements :
/
MARCHE COMMÉMORATIVE
SAMEDI 23 octobre, 12h30
Rassemblement: Guy & de Maisonneuve
(métro Guy-Concordia, sortie Guy)
facebook: http://www.facebook.com/event.php?eid=146318535409280
VIGILE
VENDREDI 22 octobre, 16h-18h
devant la Fraternite des policiers et policières de Montréal, 480 Gilford *
*
(metro Laurier, sortie St-Joseph)
facebook: http://www.facebook.com/event.php?eid=156866504341679
/Nous commémorerons le souvenir de Anas Bennis, Claudio Castagnetta, Ben
Matson, Quilem Registre, Gladys Tolley, Fredy Villanueva et de toutes
les autres victimes.
/
JOIGNEZ-VOUS à nous pour la Journée nord-américaine demandant l’arrêt de
la brutalité policière. Montrez votre soutien et votre solidarité avec
toutes les victimes de bavures policières. Avec les familles des
victimes et leurs alliés, demandons dignité, justice et vérité.
Évènements familiaux – Bienvenu à tous et toutes !
INFO: 514-848-7583 – 22oct-mtl(a)gmail.com <mailto:22oct-mtl@gmail.com> --
www.22octobre.net <http://www.22octobre.net>
*
----------
Les familles de personnes tuées par la police, leurs amis et leurs
alliés organisent une vigile et une marche à la mémoire des victimes.
Ces familles, qui doivent se battre pour connaître la vérité et pour
obtenir justice pour les êtres qui leurs étaient chers, ont besoin de
notre soutien.
*Le vendredi 22 octobre*, une vigile aura lieu en compagnie de certaines
des familles devant la Fraternité des policiers et des policières (480,
rue Gilford, sortie St-Joseph du métro Laurier) entre 16 h et 18 h. À la
fin de la vigile nous allumerons des bougies en mémoire des victimes de
brutalité policière.
*Le samedi 23 octobre*, une marche contre l’impunité systématique dans
les cas de bavures ou de violence policière aura lieu. La marche
commencera à 12h30 au coin des rues Guy et de Maisonneuve, ce sera un
évènement à caractère familial. Descendez nombreux dans la rue pour
montrer votre soutien aux familles. Le nombre fait la force!
Ce que nous recherchons, c’est LA DIGNITÉ, LA JUSTICE ET LA VÉRITÉ.
Le but principal de la marche est de :
- COMMÉMORER les personnes victimes de bavures policières
- SOUTENIR leurs familles par tous les moyens
Nous soutenons les revendications des familles Bennis, Castagnetta,
Matson, Registre, Tolley et Villanueva. Leurs revendications incluent:
- LA FIN de la brutalité policière
- LA FIN de l’impunité policière
- LA FIN du profilage racial, social et politique
- L’ACCÈS rapide à toute l’information
- DES ACCUSATIONS CRIMINELLES contre les policiers ayant tué une personne
- LA TENUE d’enquêtes indépendantes quand une personne est tuée par la
police
- L’APPLICATION des recommandations du coroner
- LA FIN de l’utilisation du Taser
Cette initiative est née suite au Forum contre la Violence Policière et
l’Impunité qui a eu lieu de janvier 2010 à Montréal, durant lequel des
familles ont exprimé leur désir de se réunir pour commémorer leurs
proches et renforcer leurs luttes pour la dignité, la justice et la
vérité. La date symbolique du 22 octobre a ensuite été choisie pour
organiser des événements familiaux pour commémorer les victimes de
bavures policières car cette date est la Journée Nationale de
Protestation aux États-Unis, organisée par la Coalition du 22 octobre
pour arrêter la brutalité policière, la répression et la criminalisation
d’une génération depuis 1996.
Nous demandons le soutien d’autres groupes. Pour endosser nos
revendications et participer, communiquez avec nous au (514) 848-7583 ou
écrivez à 22oct-mtl(a)gmail.com <mailto:22oct-mtl@gmail.com>. Vous pouvez
passer prendre des dépliants et des affiches au GRIP Concordia (1500, de
Maisonneuve, 2e étage).
*Évènements familiaux – Bienvenu à tous et toutes !
INFO: 514-848-7583 – 22oct-mtl(a)gmail.com <mailto:22oct-mtl@gmail.com> --
www.22octobre.net <http://www.22octobre.net>*
:::::::::::::::::::::
:::::::::::::::::::::
*Justice for Victims of Police Killings!
/The families of the victims of police killings and their allies are
organizing two events:/*
*
COMMEMORATIVE MARCH
SATURDAY, October 23, 12:30pm
Gathering at the corner of Guy & de Maisonneuve
(métro Guy-Concordia, Guy exit)
facebook event: http://www.facebook.com/event.php?eid=146318535409280
VIGIL
FRIDAY, October 22, 4-6pm
In front the Police Brotherhood, 480 Gilford
(métro Laurier, St-Joseph exit)
facebook event: http://www.facebook.com/event.php?eid=156866504341679
/We remember: Anas Bennis, Claudio Castagnetta, Ben Matson, Quilem
Registre, Gladys Tolley, Fredy Villanueva and all the other victims of
police killings./
JOIN US on the North American Day to Stop Police Brutality & Repression
to show your support and solidarity with all victims of police killings.
Together with the families and supporters of police victims, we demand
dignity, justice and truth.
Family friendly - Welcome to all!
INFO: 514-848-7583 – 22oct-mtl(a)gmail.com <mailto:22oct-mtl@gmail.com> --
www.22octobre.net <http://www.22octobre.net>
*
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The families of people killed by the police, their friends and their
allies are organizing a commemorative vigil and march to remember
victims. These families, who face an uphill battle in uncovering the
truth and obtaining justice for their loved ones, need our support.
*Friday, October 22:* There will be a family-led vigil in front of the
Police Brotherhood (480 Gilford St., Laurier metro, St-Joseph exit)
between 4 and 6 p.m. We will end the vigil by lighting candles in memory
of the victims of police killings.
*Saturday, October 23:* There will be a family-led, family-friendly
march against the systemic impunity in the face of police killings and
police violence. The march will begin at 12:30 p.m. on the corner of Guy
St. and de Maisonneuve. We strongly encourage as many supporters as
possible to come out on the streets and show our support for the
families. There is power in numbers!
What we are seeking is DIGNITY, JUSTICE and TRUTH.
The main purpose of the march is to:
- REMEMBER the victims who lost their lives to police violence and abuse
and;
- SUPPORT their families in any way we can
We support the list of demands of the Bennis, Castagnetta, Matson,
Registre, Tolley and Villanueva families. Their demands include:
- END police brutality
- END police impunity
- END racial, social and political profiling
- ACCESS all information in a prompt manner
- LAY criminal charges in police killings
- HOLD public independent inquiries in police killings
- APPLY the recommendations of the coroner
- STOP the use of tasers
This initiative came out of the Forum Against Police Violence and
Impunity in January of 2010, during which the families expressed their
desire to come together to remember their loved ones and strengthen
their respective struggles for dignity, justice and the truth. The
symbolic date of October 22 was subsequently chosen for a
family-friendly march to commemorate the victims of police killings to
coincide with the National Day of Protest in the United States organized
by the October 22nd Coalition to Stop Police Brutality, Repression and
the Criminalization of a Generation, which has been mobilizing every
year since 1996.
We ask for your group’s endorsement. To get involved contact us at (514)
848-7583 or at 22oct-mtl(a)gmail.com <mailto:22oct-mtl@gmail.com>. You can
pick up flyers and posters for the event at QPIRG Concordia (1500 de
Maisonneuve St. W 2nd floor).
Family friendly - Welcome to all!
INFO: 514-848-7583 – 22oct-mtl(a)gmail.com <mailto:22oct-mtl@gmail.com> --
www.22octobre.net <http://www.22octobre.net>
*Communiqué *
/Pour diffusion immédiate/
*Rencontres des partenaires universitaires : des étudiantes et étudiants
en colère dans les bureaux de Line Beauchamp*
Montréal, vendredi 24 septembre 2010 -- Sur l'appel de l'Association
pour une Solidarité Syndicale Étudiante (ASSÉ) et d'autres associations
étudiantes de la région de Montréal, plus d'une *cinquantaine*
d'étudiants ainsi que d'étudiantes occupent présentement le bureau de
comté de la ministre de l'Éducation Line Beauchamp, à quelques jours de
l'annonce faite par celle-ci que la journée traitant sur l'université de
la rencontre des partenaires de l'éducation abordera « /la performance
et le financement des universités québécoises/ ». Rappelons qu'une
nouvelle hausse des frais de scolarité a été annoncée dans le dernier
budget du Québec et que cette consultation n'a pour objectif que de
baliser cette hausse.
« Nous refusons de participer à un processus consultatif dont la
conclusion est déjà écrite, c'est-à-dire une nouvelle hausse des frais
de scolarité. Le mouvement étudiant doit refuser de négocier
l'appauvrissement des étudiantes et des étudiants du Québec! » s'indigne
Gabriel Nadeau-Dubois, porte-parole de l'ASSÉ.
Cette action est un avertissement lancé à la ministre. « L'occupation en
cours n'est que la première d'une grande série d'actions visant à
dénoncer la mascarade organisée par la ministre de l'Éducation. Tant que
la ministre ne reculera pas, ces actions s'intensifieront et culmineront
par la perturbation de la consultation en novembre! » poursuit
M.Nadeau-Dubois.
Cette action est organisée dans le cadre de la campagne d'action visant
des député-e-s ou des lieux de pouvoir de la Coalition opposée à la
tarification et à la privatisation des services publics. Cet automne,
elle accentuera les actions afin de contrer les nombreuses tarifications
et compressions budgétaires annoncées dans le dernier budget Bachand,
qui auront des conséquences désastreuses sur l'accessibilité et la
qualité de nos services publics.
Seule association étudiante nationale comprenant des membres de tous les
cycles d'enseignement supérieur confondus, l'ASSÉ regroupe actuellement
plus de 40 000 membres dans les cégeps et les universités du Québec.
Elle milite depuis sa création pour l'accessibilité à un système
d'éducation gratuit, public et de qualité.
-30-
Renseignements :
Gabriel Nadeau-Dubois, secrétaire aux communications: 514-835-2444
Bureau de l'ASSÉ : 514-390-0110
Site web : www. asse-solidarite.qc.ca <http://asse-solidarite.qc.ca>
Pour nos analystes politiques.
début du message transféré :
Sentinelle du Groupe CNW
Fédération étudiante universitaire du Québec (FEUQ) <http://www.feuq.qc.ca>
Fédération étudiante universitaire du Québec (FEUQ)
FEDERATION ETUDIANTE COLLEGIALE DU QUEBEC (FECQ) <http://www.fecq.org>
FEDERATION ETUDIANTE COLLEGIALE DU QUEBEC (FECQ)
Transmis par le Groupe CNW le : 24 Septembre 2010 10:00
Lancement de la campagne annuelle de la FECQ et la FEUQ : La hausse
des frais de scolarité, ça suffit!
MONTRÉAL, le 24 sept. /CNW Telbec/ - La Fédération étudiante collégiale
du Québec (FECQ) et la Fédération étudiante universitaire du Québec
(FEUQ) ont dévoilé aujourd'hui leur campagne annuelle afin de renoncer à
une nouvelle hausse des frais de scolarité en 2012.
Ayant en tête que tous, peu importe leur condition socioéconomique et
leur provenance géographique, puissent avoir accès aux études
universitaires, les fédérations étudiantes prendront les moyens qui
s'imposent afin de préserver l'accessibilité aux études quant aux
volontés du gouvernement Charest. « Non seulement la position du Parti
libéral de majorer et différencier les frais de scolarité selon le
modèle canadien est une décision néfaste pour les étudiants en général,
mais elle attaque directement la classe moyenne, les régions et le bien
du Québec en général », a déclaré Louis-Philippe Savoie, président de la
FEUQ, lors de la conférence de presse conjointe qui marque le début de
leur campagne. « 70 % des étudiants diplômés du cégep poursuivent vers
les études universitaires. Déjà que beaucoup d'étudiants doivent jongler
avec des contraintes géographiques afin de poursuivre leurs études, cet
entêtement du gouvernement va les frapper de plein fouet et un nombre
important sera obligé de mettre de côté leur rêve de faire des études
universitaires », a ajouté Léo Bureau-Blouin, président de la FECQ
En effet, lors de leur dernier conseil général, les membres du Parti
libéral du Québec ont adopté une résolution afin de faire grimper les
frais de scolarité à la moyenne canadienne tout en les différenciant
selon le domaine d'études. Une telle hausse porterait les frais de
scolarité à près de 5000 $ : une augmentation de 250 % ! Pourtant, de
nombreuses études sérieuses démontrent clairement que la hausse des
frais de scolarité a un impact négatif sur l'accessibilité aux études.
Une récente étude publiée dans la revue /Medical Education/ a révélé que
les étudiants provenant de milieux socioéconomiques moins favorisés
délaissaient les facultés de médecine, trop onéreuse. « Non seulement ce
gouvernement ne veut pas entendre les arguments des étudiants, mais
surtout il s'entête à nier la réalité. Les héritiers de Jean Lesage font
fi de son héritage en voulant réduire l'accessibilité aux études », a
indiqué M. Savoie.
De plus, les récentes déclarations de la ministre Beauchamp au sujet de
la prochaine rencontre des partenaires de l'éducation ne mettent que de
l'huile sur le feu. « Comment voulez-vous que les étudiants croient que
leur point de vue sera entendu? En décrétant dès le départ que les frais
de scolarité seraient de nouveau haussés, ce gouvernement se met
lui-même des oeillères et il ne pourra pas prendre une décision
éclairée », a poursuivi M. Bureau-Blouin.
Alors qu'un rapport du Conseil canadien sur l'apprentissage publié cette
semaine met en lumière les impacts de l'endettement élevé des étudiants,
qui atteint des sommets avec une moyenne de 26 680 $ au Canada, le
gouvernement libéral persiste et signe en omettant de considérer
l'impact des dettes d'études pour les jeunes diplômés en début de
carrière. « On dirait que la volonté de ce gouvernement, c'est de
transférer le financement public des universités sur le dos des
étudiants et de leurs familles qui devront s'endetter lourdement », a
poursuivi M. Savoie.
_Branle-bas de combat!_
/Pétition en ligne
/La FECQ et la FEUQ ont été les instigatrices d'une pétition afin
d'arrêter la hausse des frais de scolarité. Cette pétition sera en ligne
sur le site de l'Assemblée nationale jusqu'au 7 décembre et elle
permettra à l'ensemble de la population d'exprimer son point de vue.
« Les Québecois se sont dotés d'un modèle universitaire où
l'accessibilité financière aux études leur a permis d'affronter les
défis d'aujourd'hui. Nous invitons donc l'ensemble de la population à
démontrer qu'elle tient à ce modèle », a déclaré Léo Bureau-Blouin.
/Dévoilement de la plus vaste enquête sur les conditions de vie des
étudiants de premier cycle
/Le 18 octobre prochain, la FEUQ dévoilera la plus vaste enquête jamais
effectuée auprès des étudiants du premier cycle universitaire. Au cours
de la session d'hiver 2010, plus de 12 500 étudiants de partout au
Québec ont répondu au questionnaire. « Maintenant nous aurons les vrais
chiffres sur lesquels on pourra se fier afin de faire les bons
choix pour le Québec. Nous espérons que le gouvernement va s'en inspirer
pour établir ses politiques », a indiqué M. Savoie.
/Rendez-vous de l'éducation
/La FECQ et la FEUQ ont aussi organisé une journée de réflexion sur le
financement et la qualité du système universitaire québécois. « Vu que
le gouvernement ne veut pas organiser de vraies consultations, les
étudiants prendront le temps de s'asseoir afin d'analyser l'ensemble des
impacts qu'entraînerait le projet libéral. Nous, on va faire nos
devoirs! », s'est exclamé M. Bureau-Blouin.
/Rencontre des partenaires de l'éducation
/Malgré la mauvaise tournure que prend la rencontre, la FECQ et la FEUQ
participeront à celle-ci. « Nous ne laisserons pas à la ministre le
loisir de faire ce qu'elle veut au cours de cette rencontre. Si
l'accessibilité financière aux études est réellement une priorité
gouvernementale, les étudiants démontreront que la hausse ne peut plus
durer », ont conclu MM. Bureau-Blouin et Savoie.
/La Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ) et la Fédération
étudiante universitaire du Québec (FEUQ) représentent ensemble près de
170 000 étudiants au Québec. /
*Renseignements:*
Mathieu Le Blanc, attaché de presse, FEUQ, bureau : (514) 396-3380,
cell. : (514) 609-3380
Mathieu Morin, vice-président, FECQ, bureau : (514) 396-3320, cell. :
(514) 554-0576
Fédération étudiante universitaire du Québec (FEUQ)
FEDERATION ETUDIANTE UNIVERSITAIRE DU QUEBEC (FEUQ) - Renseignements sur
cet organisme
Communiqués de presse
Communiqués de presse </fr/releases/orgDisplay.cgi?okey=3042>
(290)
FEDERATION ETUDIANTE COLLEGIALE DU QUEBEC (FECQ)
FEDERATION ETUDIANTE COLLEGIALE DU QUEBEC (FECQ) - Renseignements sur
cet organisme
Communiqués de presse
Communiqués de presse </fr/releases/orgDisplay.cgi?okey=28716>
(191)
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Le Groupe CNW Ltée offre un service personnalisé de courrier
électronique qui vous communiquera les derniers renseignements et
nouvelles des plus importants organismes gouvernementaux, organismes
sans but lucratif et entreprises publiques et privées du Canada. En
sélectionnant les entreprises que vous voulez suivre, vous recevrez
leurs communiqués directement à votre adresse électronique.
Bonjour!
L'AETELUQ est à la recherche d'un attaché aux communications. Vous
trouverez la description de l'offre ci-jointe.
Merci de faire circuler.
Genevieve Breault
présidente AETELUQ
www.aeteluq.org <http://www.aeteluq.org/>
1 800 665-4333, poste 0929
Bonjour à tous et toutes,
Vous trouverez un peu plus bas le communiqué envoyé cet après-midi par l'ASSÉ pour réagir à l'annonce de Line Beauchamp concernant la rencontres des partenaires de l'éducation. Il semblerait donc que la hausse des frais de scolarité soit bel et bien inclue dans les discussions de l'automne.
Une affiche est déjà prète et sera imprimée lorsque la date sera connue. Un tract aussi, d'ailleurs. De plus, un feuillet de 6 pages sur la hausse des frais de scolarité sortira pour le congrès, contenant un appel à la perturbation de ces rencontres.
Nous sommes conscients que le plan d'action de l'automne semblait quelque peu flottant depuis la rentrée, mais l'annonce d'aujourd'hui vient clarifier bon nombres d'éléments qui restaient encore incertains. Le conseil exécutif de l'ASSÉ fera tout ce qui est en son pouvoir pour respecter le mandat de congrès, c'est-à-dire empêcher la tenue de la rencontre.
L'avertissement est lancé! Rendez-vous dans la rue à la fin novembre!
Pour l'exécutif,
Gabriel Nadeau-Dubois
Secrétaire aux communications
Rencontre des partenaires de l'éducation : l'ASSÉ appelle au boycottage
MONTRÉAL, le 22 sept. /CNW Telbec/ - L'Association pour une solidarité
syndicale étudiante (ASSÉ) lance un appel au boycottage des rencontres
annoncées aujourd'hui par la ministre de l'Éducation, des loisirs et des
sports, Line Beauchamp et annonce l'organisation d'actions contre ces
rencontres. « Nous refusons de participer à ces consultations biaisées.
Nous ne serons pas les partenaires de la ministre dans le saccage de
l'éducation québécoise! » s'exclame Gabriel Nadeau-Dubois, porte-parole
de l'ASSÉ.
La ministre a annoncé qu'une rencontre sur la performance et le
financement de nos universités allait être organisée d'ici la fin de
l'automne. « Nous ne sommes pas naïfs! Cette consultation prend comme
point de départ la nécessité de la hausse des frais de scolarité, alors
que c'est la gratuité scolaire qu'il nous faut. Lorsque la ministre nous
parle de performance, nous savons très bien qu'il s'agit plutôt de la
destruction de la mission fondatrice de nos universités. » déclare
Gabriel Nadeau-Dubois.
La thématique de la rencontre collégiale reflète aussi ce parti-pris du
gouvernement. « On nous parle de consultation, mais on oriente
idéologiquement les discussions en donnant à la rencontre la thématique
de l'arrimage des cégeps au marché. Nous ne participerons pas à cette
mascarade. » poursuit le porte-parole de l'ASSÉ.
Du même souffle, l'ASSÉ appelle toutes les organisations invitées à
boycotter ces rencontres dont les conclusions sont déjà écrites.
Seule association étudiante nationale comprenant des membres de tous les
cycles d'enseignement supérieur confondus, l'ASSÉ regroupe actuellement
plus de 40 000 membres dans les cégeps et les universités du Québec.
Elle milite depuis sa création pour l'accessibilité à un système
d'éducation gratuit, public et de qualité.
Renseignements:
Gabriel Nadeau-Dubois, secrétaire aux communications : 514-835-2444
Bureau de l'ASSÉ : 514-390-0110
Site web : www.asse-solidarite.qc.ca