Une action de perturbation se tiendra à Valleyfield jeudi matin. Nous
devons continuer de perturber et ce, même à l'extérieur de la métropole.
La rencontre se fait donc au collège de Valleyfield à 6h30 le matin!! Eh
oui, l'avenir appartient à ceux et celles qui se lèvent tôt!!! Il y aura
évidemment de l'hébergement militant et militante pour les intéressé-e-s.
Comme toute bonne action se doit d'être populeuse nous avons besoins de
plusieurs camarades pour gonfler les rangs.
À notre dernière assemblée générale de grève de l'Association des cycles
supérieurs de Concordia (GSA) on a passé les résolutions suivantes, qui ont
été mentionnées au dernier congrès de la CLASSE (avec beaucoup
d'abstentions) et qu'on propose maintenant aux associations membres de la
CLASSE de discuter/voter cette semaine dans leurs assemblées générales
(pour pouvoir ensuite les voter au prochain congrès de la CLASSE). Les
motions sont suivies de quelques informations/arguments plus détaillées sur
les motions particulières sur les soins de santé et le visa de travail.
En solidarité,
Nadia Hausfather, membre du GSA
*============*
*Il a été résolu que le GSA prenne une position claire sur les propositions
suivantes et qu’il recommande que le comité de négociation de la CLASSE
amène les demandes suivantes au gouvernement :*
* *
*- De donner le droit de travailler aux étudiant-e-s étrangers/étrangères sans
restriction en dehors du campus;*
*- D’allouer l’accès au programme d’assurance-maladie du Québec aux
étudiant-e-s
étrangers/étrangères.*
*- De fournir davantage de fonds et de possibilités d’aide financière pour
les étudiant-e-s étrangers/étrangères;*
*- De renverser la politique du gouvernement provincial permettant aux
universités d’augmenter annuellement de 10% les frais internationaux;*
*- De renverser la politique du gouvernement provincial permettant aux
universités d’augmenter les frais pour les étudiant-e-s
étrangers/étrangères de premier cycle dans les six programmes
d'administration, génie, droit, informatique, mathématiques et sciences
pures.*
===================
Plus de détails sur le point: "d'allouer l’accès au programme
d’assurance-maladie du Québec aux *étudiant-e-s étrangers/étrangères"*
- Il y a déjà 4 provinces au Canada qui offrent les soins de santé
publiques aux étudiant-e-s étrangers/étrangères:
- “Le 26 octobre dernier, le gouvernement du Manitoba a annoncé que
les quelque 6000 étudiants étrangers de la province n'auront plus à
souscrire à une assurance privée pour être soignés dans la province. Le
Manitoba deviendra alors la quatrième province à offrir ces
soins de santé
aux étudiants internationaux après la Saskatchewan, Terre-Neuve et la
Colombie-Britannique.” (*Le Devoir*, 6 avril 2012,
http://www.ledevoir.com/societe/education/346825/la-face-cachee-de-la-hauss…
)
- Tandis qu’au Québec, les étudiant-e-s étrangers/étrangères doivent
souvent payer de leur poche pour ensuite être remboursé-e-s par des
assurances privées, style 'américain': “Au Québec, les étudiants
internationaux sont tenus d'être couverts par une assurance
maladie privée
dont ils doivent assumer les frais d'adhésion” (à l’exception des
étudiant-e-s français-e-s qui sont couvert-e-s par la RAMQ en vertu de
l'entente signée avec la France) (*Le Devoir, *6 avril)
- Si la CLASSE est pour la gratuité scolaire pour tou-te-s les
étudiant-e-s - car l'éducation est considérée comme un service public
essentiel - comment pouvons-nous être contre l'idée de la santé universelle
et en faveur d'un principe sélectif d'utilisateur-payeur pour un autre
service public si fondamental? Même le site web du *Ministère
d'Immigration et des Communautés Culturelles* constate: “La société
québécoise a fait des choix fondamentaux axés sur le développement de la
personne. Ses services de santé, d'éducation et de sécurité sociale évolués
garantissent le bien-être *de toute sa population.*” (
http://www.immigration-quebec.gouv.qc.ca/fr/avantages/qualite-vie/index.html
)
Plus de détails sur le point: *"donner le droit de travailler aux
**étudiant-e-s
étrangers/étrangères **sans restriction en dehors du campus":*
o Même que les visas de travail sont le domaine du gouvernement fédéral,
le gouvernement Charest peut mettre pression sur le gouvernement fédéral
pour laisser les étudiant-e-s étrangers/étrangères travailler hors-campus
sans restrictions. (Ceci peut inclure le droit d’appliquer pour un visa de
travail avant le délai de six mois, et le droit de travailler plus d’heures
hors-campus).**
o À cause de ne pas pouvoir trouver du travail, certain-e-s étudiant-e-s
étrangers/étrangères vivent constamment en état de stress et de pauvreté:**
§ 40 % des étudiant-e-s étrangers/étrangères éprouveraient de grandes
difficultés à subvenir à leurs besoins de base (logement, nourriture,
transport) tandis que 42 % auraient de la difficulté à payer leurs frais de
scolarité. (Bureau Canadien de l’Éducation Internationale, 2009)**
§ Diego Eibar, un diplômé de l’université Concordia qui est venu de
l'Argentine raconte: “Je vivais constamment avec l’incertitude que je ne
pourrais pas payer mon semestre ou manger cette nuit.”
§ Zouhair Briqech, étudiant étranger des cycles supérieurs à l’université
Concordia constate: “Il y a des étudiants internationaux qui travaillent
toute la nuit et dans leur cours le matin ils s’endorment. Certains de mes
amis ne peuvent trouver du travail et doivent demander à leurs amis de leur
prêter de l’argent pour payer leurs frais de scolarité. Ils vivent six
étudiants serrés dans un petit appartement, car sinon ils ne peuvent pas
payer le loyer.”
o De plus, le GPA de 3.0 requis pour avoir droit à un visa de travail ne
prend pas en compte les étudiant-e-s dont leurs notes ont gravement
souffert dû aux augmentations imprévues des universités (dû aux politiques
mentionnées dans les motions ci-bas) et pour qui le manque de travail et de
fonds a contribué directement à leurs mauvaises notes dans leurs cours.
Ceci crée donc un cercle vicieux.
*Plus de détails sur le point de "renverser la politique du gouvernement
provincial permettant aux universités d’augmenter annuellement de 10% les
frais internationaux":*
- Voir ci-bas
Plus de détails sur le point de "renverser la politique du gouvernement
provincial permettant aux universités d’augmenter les frais pour les
*étudiant-e-s
étrangers/étrangères **de premier cycle dans les six programmes
d'administration, génie, droit, informatique, mathématiques et sciences
pures":*
- Une motion pour "geler les frais de scolarité des étrangers/étrangères
jusqu'à leur éventuelle égalité avec les étudiant-e-s qui sont résidents
québécois" a déjà été voté dans un congrès de la CLASSE. Mais ces deux
motions plus spécifiques sont des solutions à court-terme pour répondre aux
politiques de déréglementation spécifiquement responsables dans les
dernières deux années pour la dégradation de la santé et des notes dans les
cours de certain-e-s étudiant-e-s étrangers/étrangères, qui ont été
complètement bouleversé-e-s par les augmentations soudaines et imprévues
imposées par certaines universités.
- Même l'Avis à la ministre de l'Éducation, du Loisir et du Sport écrit
par le Comité consultatif sur l’accessibilité financière aux
études (2008)
a noté que ce projet de déréglementation pour les étudiant étrangers "se
traduirait par une forme de privatisation partielle des activités de
formation dispensées à ce groupe d’étudiants. Le Comité estime qu’il
y a trop d’éléments inconnus dans ce projet. Par exemple, et sans que ce
soit restrictif, il constate qu’il n’y a aucune modalité qui protège les
étudiants étrangers qui ont déjà entrepris leurs études au Québec
face à des hausses soudaines et importantes des droits; qu’il n’y a aucune
obligation faite aux établissements de soutenir financièrement les
étudiants étrangers en difficulté pendant leurs études(...)"
Bonjour à toutes ! Voici une invitation du comité femmes GGI de l'UQAM
Féministes, BOTTEZ le cul de cette hausse sexiste !!
* Mercredi prochain, le 11 avril
* Venez à 9h45 pour un déjeuner avec café, jus et viennoiseries
* Pour ensuite participer à un atelier de gumboot dès 10h
AMENEZ VOS BOTTES DE PLUIE !!!
* Nous créerons ensuite un contingent féministe au départ de 11h de la manifestation générale illimitée
RENDEZ-VOUS à la sortie du métro Square-Victoria (rue St-Jacques/rue McGill) à la bannière féministe mauve
Lien pour la manifestation générale illimitée : http://www.facebook.com/events/306416649424031/
Fanny,
pour le comité femmes GGI-UQAM.
Bonjour,
Voici le procès-verbal du Congrès de la CLASSE des 6 et 7 avril
derniers. Il sera mis en ligne sous peu et le résumé des mandats sera
disponible d'ici demain.
--
Solidairement,
Marieve R.
Permanente syndicale pour l'ASSÉ
*De notre responsabilité commune face à l'histoire *
Camarades,
Je vous écrit parce que je suis bien inquiet actuellement. Ayant assisté au
dernier congrès, je suis particulièrement consterné des discussions que j'y
aie vu, et surtout de celles qui n'ont pas eu lieu.
Le mouvement de grève que nous menons actuellement sort des sentiers
battues. Nous arrivons à un stade de la lutte où les comparaisons ne
tiennent plus, et nous ne pouvons nous baser sur les deniers mouvements de
grève pour prédire ce qui se passera dans les prochaines semaines. En ce
sens, le Congrès est, plus que jamais, appelé à assumer d'immenses
responsabilités, et il ne peut se permettre de ne pas le faire.
Lors du Congrès d'en fin de semaine, j'ai vu ce dernier parler pendant des
heures et des heures d'enjeux plus ou moins liés à la question des médias.
Un enjeu supposément secondaire. Qui n'est pas à la base de notre
stratégie, qui ne devrait pas être au coeur de notre mouvement, et ce selon
nos propres mandats. Et pendant ce temps, voici une liste non-exhaustive
des enjeux cruciaux qui n'ont pas été abordés au courant du congrès et qui
auraient dû l'être:
1.
Comment faire en sorte de discréditer au maximum le RPR comme solution
alternative à la hausse des frais de scolarité? Comment pouvons-nous nous
assurer que cette offre scandaleuse ne viendra pas affecter les votes de
reconduction de grève?
2.
Quelle est la stratégie globale face à nos différentes actions dans les
semaines à venir pour faire plier le gouvernement? Quel est le fil
conducteur de tout cela, dans quelle direction nous dirigeons-nous?
3.
Nous arrivons de plus en plus prêt du stade critique où il deviendra
impossible de prolonger davantage les sessions. Quelle est notre
perspective face à cette question? Voulons-nous apportez des débats dans
les AG afin de nous même constater l'annulation de notre session au delà
d'une certaine date critique, ou laissons-nous cette tâche au gouvernement
directement? Quel est notre perspective face à cette épée de Damoclès qui
se fait de plus en plus présente?
Le Congrès a le devoir de se pencher sur ce genre de question. Nous ne
sommes pas en train de jouer dans un carré de sable et ne pouvons nous
permettre de faire à notre guise en discutant de n'importe quoi, n'importe
comment.
La CLASSE est l'organisation qui mène brillamment cette grève, et ce depuis
le début. Avec cela viens de grandes responsabilités, et nous nous devons
de les assumer et d'être exigent-e-s face à nous même. Il en va de la
réussite ou de l'échec de notre mouvement.
Keena Grégoire
Message et invitation à diffuser largement
L'Association Étudiante de Sophie-Barat organise une manifestation jeudi le
12 avril à 16h contre la hausse des frais et le RPR, en partance de l'école
Sophie-Barat (métro Henri-Bourassa). Tout le monde y est convié.
Voici la page de l'événement :
http://www.facebook.com/events/330677570327491/
Ils et elles apprécieraient voir leur événement sur le site de la CLASSE.
Arnaud Theurillat-Cloutier
Camarades,
Suite au congrès qui s'est tenu cette fin de semaine, les gardiens et gardiennes du Senti souhaiteraient émettre quelques commentaires quant à trois aspects qui, durant la fin de semaine, ont suscité certains questionnements au sein du preasidium. Nous avons décidé de les envoyer sur ASSÉ-Support pour des raisons assez simples : le manque de temps pour élaborer clairement nos commentaires dû à la levée abrupte du congrès, puis la tension et la fatigue (justifiée) assez palpable des délégué-es qui rendait nos commentaires un peu lourds.
Tout d'abord, nous aimerions aborder le principe de l'alternance homme/femme à l'intérieur des structures de la CLASSE. Nous n'avons pas l'idée de prêter des intentions de quelque nature que ce soit aux délégations présentes au congrès, cependant les gardiens et gardiennes du Senti ont eu quelques fois l'impression que cette alternance était utilisée à des fins stratégiques dans le but – peut-être – de pouvoir intervenir plus rapidement et/ou souvent lors des délibérantes, sur des propositions ou plénières. Nous voudrions ainsi rappeler que le principe de l'alternance homme/femme est une pratique qui ne devrait pas être utilisée comme telle, mais plutôt dans le but de permettre à plus de femmes de s'exprimer lors des instances de la CLASSE. En ce sens, les gardiens et gardiennes du Senti invitent les délégations à porter une attention particulière à ce propos lors des prochaines instances.
Ensuite, nous aborderions la façon dont certaines procédures nous semblent avoir été utilisées cette fin de semaine. Nous rappelons aussi que le but n'est pas de faire un procès d'intention aux délégations, mais plutôt de faire état des impressions des gardiens et gardiennes du Senti. Il nous a donc semblé à certains moments que les procédures (points d'ordre, points procédures, points d'informations et autres procédures plus élaborées) étaient utilisées abusivement à des fins stratégiques dans le but – peut-être – de pouvoir intervenir plus rapidement et/ou souvent lors des délibérantes, sur des propositions ou plénières. Les procédures d'assemblée délibérantes servent à structurer les débats de façon juste et équitable et non pas de favoriser les fins connaisseurs et les fines connaisseuses du code de procédures au détriments des délégué-es qui s'y connaissent moins. Ainsi, les gardiens et gardiennes du Senti invitent les délégations à utiliser adéquatement et respectueusement les procédures afin de permettre un débat sain et efficace lors des congrès de la CLASSE.
Aussi, nous voudrions commenter la répétitions dans les interventions au micro. Nous constatons en effet que certaines interventions n'amènent pas de nouveaux éléments au débat et ne font que répéter ce qui a été exprimé antérieurement par une autre délégation. Ou encore, certaines interventions sont à l'effet d'exprimer ce pour quoi la délégations votera sans, encore une fois, ajouter un élément pertinent au débat. Les gardiens et gardiennes du Senti aimeraient rappeler que le fait de monopoliser ainsi le micro, plutôt que de s'abstenir lorsqu'il n'y a pas de nouvel argument à apporter au débat, peut être une forme de manipulation des procédures de façon à gagner une «autorité morale» par des fins connaisseurs et fines connaisseuses et que cela peut donner l'impression à d'autres délégué-es qu'ils et elles n'auraient pas leur place pour s'exprimer. À titre indicatif seulement, nous trouvions important de vous dire que près de la moitié des délégations présentes ne se sont exprimé au micro sur aucun des points à l'ordre du jour. La corrélation entre ces deux éléments n'est certes pas certaine, mais nous jugeons l'information pertinente. Ainsi, les gardiens et gardiennes du Senti invitent les délégations à la réflexion quant à la pertinence de leurs interventions au micro dans le but de rendre le congrès dynamique et efficace.
Finalement, nous voudrions ré-expliquer le rôle des gardiens et gardiennes du Senti lors des instances et plus précisément lors des congrès de la CLASSE. Bien que ce rôle ne soit ni dans les Statuts et règlements ni dans le Code de procédures, le gardiens et la gardienne du Senti est une tâche féministe qui sert à s'assurer de l'application de certains procédés féministes dans le but favoriser l'inclusion de tous et toutes (la féminisation). Cependant, il faut voir le féminisme comme étant aussi une analyse poussée des rapports de pouvoir et de domination. Ainsi, les gardiens et gardiennes du Senti ont la tâche de rapporter les malaises, tensions et sentiments généraux de la salle pouvant nuire au débat. Nous ne voulons donc en aucun cas viser ou insulter des délégué-es. Lorsqu'une critique est émise en général à l'égard de la salle, c'est parce qu'un commentaire ou un comportement a nuit à d'autres délégué-es. Ainsi, il ne faut surtout pas prendre les critiques émises à la salle comme des attaques personnelles. Par contre, nous sommes conscient-es qu'il peut être difficile de faire face à de telles critiques et il est toujours possible de venir discuter avec les gardiens et gardiennes du Senti lors d'une pause afin de signifier un malaise quelconque suite à une critique antérieure. Nous vous invitons cependant à initier une réflexion personnelle si certaines critiques à l'égard d'un commentaire ou d'un comportement semblent vous rejoindre personnellement.
Si certaines personnes ont des questionnements ou des commentaires suite à ce point Senti post-congrès, nous sommes ouverts et ouvertes à les recevoir.
Les gardiens et gardiennes du Senti (Congrès du 6 au 7 avril 2012)
L'ultimatum citoyen est disponible en-ligne sur le site de la CLASSE.
Imprimez-le massivement. C'est un très bon outil de mobilisation pour la
manif du 14 !!!
Ultimatum citoyen:
http://www.bloquonslahausse.com/wp-content/uploads/2012/04/UL-citoyen.pdf
Celui là est simplement sur un format 11x17, recto-verso ordinaire
--
Julien Royal,
Téléphone: (514) 638-1461
Courriel: julien.royal(a)gmail.com
Bonjour,
Je me permets ici d'envoyer de nouveau la recherche de l'ASSÉ sur
l'économie du savoir, étant donné que beaucoup d'associations membres de
la CLASSE n'ont pas ou peu de positions sur celle-ci.
Il est vrai qu'il n'est pas aisé de comprendre toutes les manifestations
de la marchandisation de l'éducation. Toutefois, afin d'éviter des mises
en dépôt répétées, il serait intéressant que toutes les délégations lisent
la recherche ainsi que les recommandations qui se trouvent à la fin et qui
permettent de définir plus clairement l'économie du savoir.
Par ailleurs, si vous voulez en parler dans vos AGs, plusieurs personnes à
la CLASSE peuvent faire des présentations ou donner des formations sur le
sujet. Je vous invite donc à prendre l'initiative et à vous positionner!
--
Nadia Lafrenière
Responsable aux affaires uqamiennes
Association étudiante du secteur des sciences
Bonjour,
Le 14 avril prochain à 13h aura lieu une grande manifestation ayant comme
thème *«**Manifestation populaire pour un printemps québécois»*. Pour que
cette manifestation soit un événement national d'ampleur, il est important
que toutes les associations étudiantes participent activement à la
diffusion de l'événement!
*Tractage Urbain*
Dans le but de diffuser l'événement, du tractage dans plusieurs stations de
métro à Montréal aura lieu tout au long de la semaime. Si vous êtes
intérressé-e à particper, veuillez me contacter le plus rapidement possible
par courriel ou par téléphone.
De plus, nous invitons fortement les associations étudiantes à l'extérieur
de Montréal d'organiser du tractage dans leur région.
*Matériel d'information*
*
*
Vous trouverez l'affiche ainsi que le tract de la manifestation au
http://www.bloquonslahausse.com/materiel-dinformation-2/.
*Autobus*
Considérant que cette manifestation se veut un événement national
d'ampleur, nous invitons les associations étudiantes à organiser du
transport vers cet événement ainsi qu'à inviter les groupes communautaires,
populaires et syndicaux de leurs régions respectives à participer à cette
manifestation.
Les informations concernant les autobus vous seront envoyées au début de la
semaine qui vient.
Au plaisir de vous voir dans la rue samedi prochain!
Solidairement,
--
*
Élise Carrier-Martin
Secrétaire aux relations internes
Coalition Large de l'Association pour une Solidarité Syndicale Étudiante
(CLASSE)
Cellulaire: (438)-886-9088*
*Site web: www.asse-solidarite.qc.ca*