Bonsoir à toutes et à tous,
Ce message se veut une réponse aux inquiétudes de la coordination du
Conseil Régional de l'ASSÉ à Montréal (CRAM) quant à la disponibilité
d'un local pour mercredi. La SOGÉÉCOM a déjà réservé une salle. En
effet, le CRAM se déroulera au Cégep de Maisonneuve le mercredi 19
novembre à 19h00 au local E-2214.
Je vous invite à diffuser l'information au plus grand nombre.
Solidairement.
--
Rafik Bentabbel
Délégué aux affaires externes
Société générale des étudiants et étudiantes du Collège de Maisonneuve
(SOGÉÉCOM)
3800 rue Sherbrooke Est, local D-2617
Montréal, Québec H1X 2A2
Téléphone : 514 254-7131, poste 4515
Web : http://www.sogeecom.org
interne(a)sogeecom.org
Bonjour,
Des gens se sont réunis en marge de l'AGES dans le but de mettre sur pied un café étudiant autogéré. Actuellement, leur activité va bon train : les gens ont massivement signé une pétition contre le concessionnaire alimentaire (Chartwells) et pour la mise en place d'un café par et pour les étudiant-es, du matériel d'information a été diffusé largement et du café est distribué à tous les matins, contre vents et marées et contrats d'exclusivité.
Il nous manque toutefois un gros morceau si on veut concrètement mettre en place un café étudiant : une évaluation des dépenses et revenus, du matériel, des humains nécessaires, ce qu'on appelle communément un "plan d'affaires" (désolé, j'ai pas trouvé de meilleure expression). C'est pas que nous soyons dans l'incapacité de mettre sur pied un tel document, mais nous croyons que l'expérience passée des autres cafés étudiants pourrait nous aider à mieux définir les données concernées. Nous avons tenté d'obtenir des prototypes de plan d'affaire à quelques endroits, en vain. Comme plusieurs associations étudiantes ont participé à la mise en place de cafés étudiants autogérés, nous lançons un appel sur ASSÉ-support pour qu'on puisse recevoir quelques exemples de plans. Alors voilà, on attend de vos nouvelles!
- Le comité café-étudiant
Bonjour à tous-tes,
Dans la foulée des réflexions sur le Printemps 2015, voici un texte que je
me permets de partager pour alimenter nos pensées. Je n'en suis pas
l'auteure, mais je l'ai trouvé tout à fait en lien avec les précédents
textes de Myriam, Aleksandra et Vanessa.
Vous pouvez trouver le texte original ici:
http://www.unionlibre.net/printemps2015/
Je l'ai aussi copié collé:
*"Printemps 2015: quelques pistes de réflexion*
Le mouvement Printemps 2015 prend de l’ampleur avec des positions de
plusieurs associations étudiantes, une forte participation aux divers
comités, des campagnes de visibilité qui se multiplient et plusieurs
journées de grève et d’actions. À l’engouement grandissant que cela suscite
s’ajoutent aussi des questionnements, des incertitudes et des critiques
qui, selon nous, doivent être formulées et faire l’objet de discussions. Ce
qui nous amène à écrire ce texte est la volonté d’ouvrir un espace de
réflexion critique qui nous semble absent du présent mouvement. Notre
posture en est une d’autocritique, puisque nous prenons part à ce
mouvement, et c’est en ce sens que nous désirons partager nos réflexions et
nos questionnements sur les prochaines semaines, les prochains mois, mais
aussi sur les structures et le discours mis de l’avant.
Nous ressentons depuis le début de ce mouvement, et cela va en
s’amplifiant, un manque d’ouverture et de transparence (surtout en ce qui a
trait aux structures et aux visées). Pourtant, les comités Printemps se
veulent larges et inclusifs, ils cherchent à rallier l’ensemble de la
population, à sortir du cercle étudiant pour rejoindre les différents
acteurs et actrices du milieu de l’éducation, de la fonction publique, des
services sociaux, de la santé, les travailleurs-euses ainsi que les
individus sans emploi. Le manque d’ouverture n’est pas là; il se situe
plutôt dans l’absence de réceptivité à la critique et à la remise en
question.
Un mouvement fort ne peut pas se construire sur l’illusion d’une voix et
d’un discours unique. Il ne peut pas évacuer la réflexion pour n’être que
dans l’agir surtout quand cela passe par une attitude autoritaire. Nous
sommes néanmoins conscients-es du risque qu’à trop vouloir inclure et
rallier le plus grand nombre, le discours se dilue et l’action devient
vaine. Mais, en ce moment, force est de constater que les tensions
s’accumulent entre militants-es habituellement alliés-es, aussi il est
peut-être nécessaire d’ouvrir un espace d’autocritique, de réflexion, de
questionnement, mais surtout de dialogue ne passant pas par un mode de
confrontation. En aucun cas nous ne croyons qu’invoquer la situation
d’urgence justifie le rejet de la réflexion critique.
*Une grève sociale ou une grève étudiante?*
Printemps 2015 se veut un mouvement de lutte contre l’austérité qui appelle
à une grève sociale et même à la grève sauvage. Mais d’où vient
l’échéancier serré qui est proposé? Pourquoi cette grève doit-elle avoir
lieu à ce moment précis? Et pourquoi les débats l’entourant semblent-ils
absents comme si tout avait déjà été décidé d’avance et que maintenant un
seul choix était possible : être pour ou contre le mouvement?
L’argument le plus souvent entendu en ce qui a trait à l’échéancier est
celui du momentum actuel compte tenu des conventions collectives échues et
de la grogne dans les milieux syndicaux. Face aux multiples mesures
d’austérité annoncées et dans la foulée des lois antisyndicales, on a
effectivement été témoins, dans les dernières semaines, de levées de
boucliers importantes, de manifestations et d’actions de contestations,
d’articles, de chroniques et de communiqués contestant les mesures
gouvernementales. La manifestation du 31 octobre fut également une
importante démonstration de force sur laquelle il faut s’appuyer pour les
prochains mois. Nous sommes tous et toutes d’accord là-dessus. Il importe
toutefois de faire une analyse conjoncturelle de la situation, qui met en
perspective les possibilités réelles de déclencher une grève sociale à
court terme.
Comme nous l’avons dit, nous ne nous opposons pas au projet, mais nous
pensons qu’il y a lieu de questionner cette stratégie d’empressement. En
effet, malgré le sentiment de grogne généralisée, nous doutons de la
possibilité d’envisager une grève générale sociale susceptible de faire
échec au gouvernement libéral et à son agenda d’austérité dès le printemps
2015. Les forces institutionnelles susceptibles de faire la grève restent,
comme à l’habitude, essentiellement les associations étudiantes. Bien que
nous croyions au principe de grève sociale, nous ne pensons pas que la
réaliser au printemps 2015 soit réaliste, notamment en considérant
l’inertie syndicale, même en temps de négociation. Nous sommes plusieurs
personnes à voir dans l’empressement pour le printemps 2015 des entraves au
développement d’un mouvement mobilisé et informé. Et, nous n’avons même pas
abordé la question du bien-être en milieu militant.
*Prendre le temps d’avancer ensemble*
Le rythme actuel de l’escalade des moyens de pression nous semble trop
rapide, ce qui laisse des pans entiers de la population, ne serait-ce que
parmi les étudiants-es, derrière le mouvement. En ce sens, la stratégie
d’accumulation de journées de grève ponctuelles sans impact majeur sur
l’objectif nous semble questionnable. Cela comporte plusieurs risques dont
celui d’alimenter l’opposition et d’épuiser rapidement les militants-es,
alors que ce n’est que le début de la mobilisation.
S’il est important que des militants-es s’activent et commencent à poser
des actions de perturbations plus importantes, nous questionnons la
nécessité de déclencher des grèves ponctuelles pour assurer leur
participation. Plusieurs d’entre nous passent davantage de temps à lever
des cours universitaires qu’à poser des actions, produire et distribuer du
matériel d’information. En outre, nous avons vu davantage d’affiches de
loups et d’assemblées générales de grève que de contenu et de discours
concrets sur les mesures auxquelles nous sommes supposés-es nous attaquer.
Si les objectifs de cette campagne sont bien connus parmi les personnes les
plus impliquées, il faut reconnaître que ce n’est pas le cas pour toutes et
tous. Dans ces conditions, nous craignons que le mouvement frappe un mur
dans quelques mois, faute d’avoir pris le temps de mobiliser et de
consolider sa base. Ainsi, il faut assurer la transparence du processus, de
la stratégie et des objectifs, d’autant plus lors des débats en assemblée
générale.
*Des objectifs clairs*
Dans un contexte où il est fort probable que les grandes centrales
syndicales ne suivent pas un appel à la grève sociale au printemps 2015,
quels sont les sacrifices demandés aux étudiants-es? Qu’espérons-nous d’une
telle mobilisation? L’objectif est-il un mouvement social ou une grève
étudiante?
Si nous allons de l’avant avec l’échéancier pour le printemps 2015, force
est de constater que ce sera probablement une grève étudiante. Dans ce
contexte, être en grève permettrait avant tout de libérer du temps pour se
consacrer au militantisme. De plus, les étudiants-es, étant les seuls-es à
pouvoir faire grève hors de l’encadrement des lois, pourront agir pour
pallier aux restrictions du milieu syndical. Ces objectifs sont défendables
et valables, mais encore faudrait-il qu’ils soient clairement assumés,
expliqués et discutés dans les assemblées générales lorsque les
propositions de grèves générales illimitées commenceront à circuler. Pour
l’instant, même les personnes parmi les plus impliquées ont de la
difficulté à expliquer concrètement le pourquoi de cette grève. Pourtant,
cette stratégie a effectivement été réfléchie par une partie des
militants-es de Printemps 2015, sans pour autant avoir été explicitée;
pourquoi?
*Les limites de la non-structure*
Il est rafraîchissant et encourageant de voir une telle mobilisation
s’organiser à l’extérieur de nos structures traditionnelles, soit les
associations étudiantes. Pourquoi ressentons-nous le besoin de ces nouveaux
lieux? La lourdeur bureaucratique et l’exclusivité des instances du milieu
étudiant y sont sûrement des éléments de réponse. Cependant, il y a des
limites à cette forme d’organisation. Elles commencent déjà à se faire
sentir et deviendront probablement encore plus visibles au fur et à mesure
que le mouvement prendra de l’ampleur.
Comme cela été mentionné plus tôt, nous avons l’impression que le travail
de coordination est déjà en train de se faire, mais de manière informelle.
Nous sommes perplexes sur cette forme d’organisation qui est tout sauf
transparente et qui ne permet pas à l’ensemble du mouvement de
s’autodéterminer.
Tant qu’à fonctionner d’une telle manière, pourquoi ne pas utiliser les
institutions formelles qui, à défaut d’inclure tout le monde, au moins,
sont transparentes et possèdent déjà des mécanismes de redevabilité. Afin
de contrer ces effets négatifs, serait-il souhaitable d’assumer les
structures informelles des comités Printemps 2015 tout en créant un comité
de coordination? Celui-ci pourrait, entre autres, assurer la diffusion des
événements et des décisions à prendre concernant les communications
(notamment la question de porte-parole qui viendra peut-être plus vite que
l’on croit). Nous croyons fermement qu’il faut travailler à réduire les
effets d’une élite militante, que la non-structure au sein d’un mouvement
d’ampleur tend à engendrer. "
Texte de Maude Authier-Pigeon, Aude St-Martin, et Xavier Dandavino
Bonjour,
vous trouverez ci-joint un appel pour participer à une recherche sur le
féminisme dans les organisations mixtes dans le cadre d'un projet de
mémoire d'une étudiante en travail social à l'UQÀM. Nous croyons que cette
recherche est pertinente pour faire évoluer le féminisme à l'ASSÉ et nous
vous encouragerons donc à y participer si vous répondez aux conditions de
l'étude.
Solidairement,
Le comité femmes de l'ASSÉ
Bonjour à toutes et à tous,
le 27 novembre prochain à 19h, aura lieu à l'UQAM une conférence de Carla Amtmann Fecci, activiste chilienne (anciennement membre de la FECH) qui vient rencontrer les mouvements sociaux étudiants et travailleurs au Québec et au Canada. Local : SH-3620, pavillon des sciences.
Voici le descriptif de l'événement, écrivez-moi si vous voulez avoir l'affiche pour vos départements et écoles.
ps. Pour ceux et celles intéressé.e.s, un café-bière avec Carla aura lieu après la conférence pour parler de la rencontre des mouvements sociaux chiliens et québécois.
Myriam
--
https://www.facebook.com/events/1504488249805467/?fref=ts
La montée des mouvements sociaux face au Néo-libéralisme; l'expérience chilienne
Présentation de Carla Amtmann Fecci, suivie d'une discussion collective
En 2006 et 2011, les étudiants-es chiliens-nes se sont fortement
mobilisés-es pour exiger une réforme globale du système d'éducation
ainsi qu'une rupture complète avec l'héritage néolibéral de la
dictature.
Analyse, projections et défis dans la lutte contre le
néolibéralisme au Chili depuis la perspective des mouvements sociaux,
étudiants et travailleurs.
La conférencière, Carla Amtmann
Fecci, est directrice de la Fundación CREA et ex-présidente de la
Fédération des étudiants de l’Université catholique de Valparaíso de
2008 à 2009.
Cette conférence a
lieu dans le cadre de sa tournée au Canada, dans l'objectif de
rencontrer les mouvements sociaux étudiants et des travailleurs et
travailleuses au Québec et au Canada, afin de voir quels liens sont
possibles.
(Local : SH-3620)
Bonjour à toutes et à tous,
Nos allié.es <http://xn--alli-epa.es> au comité d'action solidaire contre
l'austérité (CASA) organisent une manifestation ce samedi à 13h au Carré
Norman-Bethune au coin de Guy et Maisonneuve à Montréal (à côté de
Concordia). L'événement Facebook se trouve ici:
https://www.facebook.com/events/786780658030568/
Je vous invite fortement à faire circuler l'événement dans vos réseaux afin
qu'un maximum d'étudiants et étudiantes y soit!
==
"Pendant qu’au nom de l’austérité, les programmes sociaux, la santé,
l’éducation et les arts voient leurs budgets amputés, les dépenses
militaires continuent de s’accroître, jusqu’à atteindre plus de 22,6
milliards de dollars en 2012. Depuis 2004, le Canada a envahi ou bombardé
des pays comme l’Afghanistan, Haïti, l’Irak et la Lybie, laissant derrière
lui des champs de ruines, la mise en place de régimes corrompus et
l’implantation de politiques d’austérité néolibérales.
On tente de nous justifier ces invasions au nom de la démocratie et en
invoquant des objectifs humanitaires, mais les résultats parlent
d’eux-mêmes. Ce sont les entreprises canadiennes du secteur du pétrole en
Irak, les firmes d'ingénierie en Libye, les industriels qui exploitent des
ateliers de misère en Haïti et les sociétés minières en Afghanistan qui ont
seuls bénéficié de ces interventions, dont les populations de ces pays ont
par ailleurs souffert. Pendant ce temps, ici au pays, la police et les
forces de sécurité n’ont cessé de harceler, d’intimider et d’infiltrer les
communautés racialisées, d’emprisonner des individus sans procès et de
sévir contre les dissidentes, dissidents et défenseurs de la démocratie.
Invasions à l'étranger, violence étatique à l’intérieur des frontières, vol
des ressources sur les territoires autochtones: tout cela contribue à
enrichir une petite élite aux dépens de la majorité de la population du
globe. Joignez-vous à nous alors que nous prendrons la rue pour manifester
notre opposition à la guerre, au racisme, à l'austérité et à la violence
systémique, ainsi que notre volonté de lutter pour un monde plus juste et
égalitaire!
Demonstration: Against war, racism and austerity
As health care, education, unemployment insurance, equity programs and the
arts are cut in the name of austerity, military spending (at $22.6 billion
in 2012) has increased every year since 1998 and is projected to continue.
Since 2004, Canada has invaded or bombed Afghanistan, Haiti, Iraq and
Libya, leaving a trail of destruction followed by corrupt client regimes
and neoliberal austerity policies.
Every new invasion is justified as a contribution to humanitarianism and
democracy, but the results speak for themselves. Canadian oil contractors
in Iraq, engineering firms in Libya, sweatshop operators in Haiti and
mining companies in Afghanistan have all benefitted while the people of
those countries have suffered. Meanwhile, Canadian police and security
forces have continuously harassed, infiltrated and intimidated racialized
communities in Canada, imprisoning people without trial and cracking down
on democratic dissent.
Invasions abroad, state violence at home, resource theft on indigenous land
within Canada's borders and across oceans: all of these contribute to the
enrichment of a tiny elite at the expense of the world's majority. Join us
as we hit the streets to oppose war, austerity and racism: interlocking
systems of violence that stand in the war of achieving a more just and
equal world!
organisé par : Tadamon! <https://www.facebook.com/tadamonmontreal> / Comité
d'action solidaire contre l'austerité - CASA
<https://www.facebook.com/contreausterite>
appuié par: Climate Justice Montreal - Justice Climatique Montréal
<https://www.facebook.com/ClimateJusticeMontreal>"
Bonjour,
Au dernier CRAM, nous n'avons jamais atteint quorum et avions décider que
le prochain CRAM se tiendrais au Cégep de Maisonneuve le 19 novembre
prochain. Par contre, je n'ai toujours pas reçu de confirmation de local.
Ce qui est en partie de ma faute, j'ai oublié de faire un suivi auprès de
Maisonneuve.
Comme il est un peu trop tard pour obtenir un local et envoyer une
convocation officielle, nous devrons déterminer une nouvelle date et un
nouveau lieu de rencontre.
Il avait été suggéré qu'une asso de Cégep accueille la prochaine réunion,
les derniers CRAM ayant été accueillis par des asso universitaires.
Envoyez moi vos suggestions avant mercredi et je vous renverrez les
propositions les plus récurrentes.
Désolé pour le contre-temps et bonne journée!
_________________________________________________
Last CRAM, we never reached quorum and decided that the next CRAM would be
hold at Cégep de Maisonneuve on November 19. Unfortunately, I still
haven't received the room number, which is partly my fault, I forgot to
follow up with Maisonneuve.
Since it is a little too late to get a room and send an official
invitation, we will have to determine a new date and a new venue.
It was suggested that a Cegep hosts the next meeting, the last few CRAM
were held in Universities.
Send me your suggestions before wednesday and I'll send you back the most
recurrent suggestions in another email.
Sorry for the inconvenience. Have a great day!
*Catherine Fournier-Poirier*
*Coordonnatrice / Coordinator*
*Conseil régional de l'ASSÉ à Montréal (CRAM)*
Bonjour à toutes et à tous,
lors de son congrès des 26 et 27 octobre 2014, l'ASSÉ a adopté un mandat
visant à inclure davantage la solidarité intersyndicale et communautaire
dans son plan d'action annuel pour la sauvegarde des services publics.
Ceci devrait se manifester entre autres par la création de Comités de
Solidarité inspirés du modèle du Comité Printemps 2015 qui a vu le jour à
l'UQÀM au début de l'automne.
L'ASSÉ encourage fortement ses membres à établir un dialogue avec les
groupes et personnes allié-e-s dans la lutte contre l'austérité afin de ne
pas tomber dans une logique corporatiste ou partisane.
Nous désirons donc vous informer que l'équipe nationale de l'ASSÉ sera
disponible pour fournir de l'aide à la mise sur pied de tels comités tant
au niveau de la logistique et de la mobilisation que de la diffusion
d'information. Si vous avez besoin de soutien, tant dans votre
établissement d'enseignement que sur votre lieu de travail, nous répondrons
au mieux de nos capacités.
Évidemment, comme toujours, l'équipe nationale souhaite respecter la
souveraineté locale de ses associations membres et ne tentera pas de
contourner les efforts déjà déployés au local.
Nous voulons enfin rappeler que l'ASSÉ vit d'abord grâce à la mobilisation
et à la combativité de ses membres. Tant que nous restons uni-e-s face au
gouvernement, tant que nous n'abandonnons pas, nous vaincrons.
Solidairement,
Le Conseil Exécutif de l'ASSÉ
--
Association pour une Solidarité Syndicale Étudiante (ASSÉ)
www.asse-solidarite.qc.ca
executif(a)asse-solidarite.qc.ca
Bureau: (514)-390-0110
Cellulaire: (438)-869-3180