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Fwd: 22 mai: semaine d'occupations de terrains et de bātiments

par Permanence de l'ASSÉ

---------- Message transféré ---------- APPEL À LA MOBILISATION – À PARTIR DU 22 MAI 2017 – OCCUPATIONS DE BÂTIMENTS ET DE TERRAINS RENDEZ-VOUS À MONTRÉAL 13H30 PLACE DU CANADA (COIN PEEL ET RENÉ LÉVESQUE) -- Partagez dans vos réseaux!!! -- Peu importe les investissements essentiels en logement que nous avons réussi à sauver par notre mobilisation, les derniers budgets des gouvernements fédéral et provincial démontrent le manque de volonté de nos gouvernant-e-s dans la mise en œuvre et le respect du droit au logement pour tous et toutes. Alors que le gouvernement Couillard, avec son surplus de 3,7 milliards $ et l’enveloppe du fédéral pour le logement, avait les moyens d’investir beaucoup plus, il s’est limité à revenir, cette année, au financement de 3000 logements sociaux pour tout le Québec. Ces logements ne font que remplacer les unités qui n’ont pas été financées depuis 2 ans, en raison des coupes budgétaires qui avaient amené la production de logements sociaux à 1500 par an. Cet investissement est largement insuffisant pour répondre aux besoins des 270 340 ménages locataires qui paient trop cher, qui vivent dans un logement trop petit ou insalubre. À Ottawa, les sommes de 255 millions $ accordées aux provinces à partir de 2019-2020 ne sont pas plus élevées que ce qui se faisait sous les Conservateurs. Le budget Morneau prévoit un fonds national de 5 milliards sur 11 ans pour le logement au Canada, mais sans plus de précisions. On ne sait pas combien sera investi en logement social. À tout cela s’ajoute à Montréal et dans d’autres villes la rareté grandissante des terrains disponibles où construire du logement social. Des bâtiments privés sont laissés à l’abandon par les promoteurs immobiliers qui contournent les règles en les laissant se dégrader jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’autres options que la démolition. Le parc de logements locatifs se détériore graduellement jusqu’à devenir inhabitable, avec l’inaction des propriétaires. Des locataires subissent aussi les pressions agressives des propriétaires qui veulent vider et revendre les blocs. Une fois vidés, on les rénove et les convertit en copropriétés. Plusieurs bâtiments publics sont aussi vendus aux mêmes promoteurs à qui on permet d’y construire du condo en échange d’un engagement à construire quelques unités de logements sociaux et/ou affublés du terme fourre-tout « abordables ». Dans tous les cas, nos besoins et nos droits ne sont pas respectés. Les familles et les personnes mal-logées ne peuvent attendre encore des années pour un logement décent. La question de l’accessibilité au logement social pour tous et toutes, peu importe la condition ou la situation, devient également un enjeu des plus urgents, alors qu’aucune intention sincère n’est envisagée par les différents paliers gouvernementaux afin d’assurer une protection sociale pour les personnes vulnérables. Nos quartiers nous appartiennent, et il nous revient donc de nous mobiliser massivement pour une réappropriation collective de nos espaces publics et laissés à l’abandon. Joignez-vous aux groupes du FRAPRU! Rendez-vous le 22 mai à 13h30 à la Place du Canada! https://www.facebook.com/events/1788445104502595/ http://www.frapru.qc.ca/pour-du-logement-social-ici/

7 années, 1 mois

(sans objet)

par AFESH-UQAM

Une situation de crise a récemment été portée à lattention de lAFESH. Ce dont il est question ici s'agit non seulement de culture du viol, de protection par une association étudiante de potentiels agresseurs, mais également de mépris profond pour les droits de travailleur-euse-s syndiqué-e-s de lAssociation générale étudiante du Cégep Édouard-Montpetit. Il y a de cela quelques mois, une plainte pour harcèlement sexuel a été déposée anonymement envers un des membres du bureau exécutif de lassociation, Simon Deschênes, élu au poste dinterne au moment des faits qui lui sont reprochés. En effet, nous le nommons car, en accord avec nos mandats, nous respectons ici le choix de la survivante de diffuser publiquement le nom de son harceleur. Par la suite, nous avons été informé quun comité de discipline a été mis sur pied par le conseil étudiant pour traiter ladite plainte et Simon a été suspendu pendant 30 jours. Cependant, les autres membres du bureau exécutif auraient accepté à ce moment quil puisse continuer de faire ses tâches pendant ce temps, rendant totalement inefficace la suspension et du même coup, se moquant de la décision du conseil étudiant. Le comité de discipline naura finalement jamais analysé la plainte ni enquêté sur les reproches qui ont été fait quant à lattitude de Simon Deschênes envers les femmes; pour une raison qui na pas été divulguée et qui nous est donc inconnue, le comité de discipline a été dissous. Devant cette inaction flagrante et ce manque de sérieux face à des allégations aussi préoccupantes, deux employé-e-s de lassociation ont jugé que les membres devaient savoir ce qui se passait pour le bien de la population étudiante. Une campagne daffichage a été faite à lextérieur de leurs heures de travail et ils.elles y ont participés. Les affiches se lisaient comme suit : "L'instance intermédiaire de l'AGECEM protège un possible harceleur. Le respect et la sécurité des membres est plus importante que votre solidarité de boys club." Aucun nom na été mentionné, il sagit simplement dun appel à une plus grande vigilance. Un-e militant-e nous a appris que lorsque les membres de lexécutif ont vu cette affiche, ils.elles ont paniqué. Elles.Ils sont allés jusquà collaborer avec la sécurité du cégep pour avoir accès aux caméras de sécurité de létablissement et ainsi savoir qui avait osé les remettre en question. Un-e militant-e de lassociation nous a confié que celle qui était responsable aux ressources humaines (qui soccupe des relations avec les employé-e-s) au moment des faits a démissionné durant la semaine suivant laffichage. Ça a laissé Simon Deschênes, était justement celui que les affiches dénoncent indirectement, en charge des ressources humaines. Voulant étouffer laffaire et voyant que certain-e-s de leurs employé-e-s y avaient participés, lexécutif, composé à ce moment de Simon Deschênes, Amanda Masson, Alexandre Gilbert et Alexanne Léveillé, a décidé de suspendre sans solde les deux employés pour une durée de 6 semaines, ce qui est bien évidemment interdit par leur convention collective. Leurs droits de travailleur-euse-s syndiqué-e-s ont été ridiculisés et bafoués. Lexécutif y a préféré la protection dun potentiel agresseur une fois de plus, ce que nous dénonçons vigoureusement. Rien na été fait pour rétablir une situation de confiance, la plainte demeure ignorée. Nous venons dêtre informé-e-s dune démission en bloc de lexécutif: des quatre, il ne reste quAlexanne Leveillé, qui doit maintenant gérer seule les répercussions de cette décision. Selon les informations obtenues, une rencontre devrait avoir lieu entre elle et les employé-e-s visé-e-s le 12 mai. La culture du viol, ce nest pas seulement les agresseurs sexuels, les harceleurs sexuels et ceux et celles qui commettent des actes abjects; la culture du viol est portée par ceux et celles qui les protègent, ceux et celles qui les aident à cacher leurs actions et qui ignorent la parole des victimes. Vous, membres du bureau exécutif de lAssociation générale étudiante du Cégep Édouard-Montpetit, Simon Deschênes, Amanda Masson, Alexandre Gilbert et Alexanne Léveillé, avez encouragé la culture du viol par vos actions et continuez de le faire par votre inaction. Alors détrompez-vous; elle se fait encore bien sentir. Aux deux employé-e-s de lAGECEM présentement suspendus sans solde et, donc, dans une condition financière des plus précaire : lAFESH-UQAM tient à vous remercier. Merci de croire les victimes, daider leurs paroles à être entendues, de vous battre contre cette culture du viol toujours trop présente dans nos milieux académiques, de ne pas vous laisser intimider par vos employeur-e-s. À toutes les associations qui reçoivent ce message : ne laissons pas passer inaperçue cette situation. Solidairement, AFESH-UQAM Association facultaire étudiante des sciences humaines de l'UQAM (AFESH-UQAM) 405, rue Sainte-Catherine Est, local J-M770 Montréal (Québec) H2L 2C4 514-987-3000 poste 2633 afesh(a)uqam.ca www.afesh.uqam.ca

7 années, 1 mois

Du nouveau sur La Totale

par Louis-Philippe Véronneau

Bonjour, Connaissez-vous La Totale (https://latotale.info)? C'est un site de partage de matériel d'information pour les associations étudiantes maintenu par la SOGÉÉCOM. L'idée derrière La Totale est de réduire la charge de travail des personnes qui s'occupent du matériel d'information dans les associations étudiantes. Le site permet également aux plus petites associations d'avoir accès à du matériel d'information de qualité produit par des associations qui ont plus de ressources techniques. Votre association produit des affiches, des tracts, ou des journaux? Ajoutez leurs fichiers sources à La Totale pour les rendre accessibles aux autres! C'est très simple et cela ne prends que quelques minutes. *Depuis peu, La Totale permet également d'héberger un nouveau type de contenu, des textes! De cette manière, les textes de réflexions que les associations étudiantes trouvent pertinent peuvent être mis en ligne à un endroit commun et facile d'utilisation.* Il y de bonnes chances que votre association ait déjà un compte sur La Totale. Si vous avez perdu votre mot de passe, n'hésitez pas à utiliser le formulaire de contact pour m'en demander un nouveau: https://latotale.info/contact -- Louis-Philippe Véronneau - Informaticien SOGÉÉCOM - Société Générale des Étudiantes et Étudiants du Collège de Maisonneuve 3800, rue Sherbrooke Est (local D-2610) Montréal, Québec, Canada, H1X 2A2 Téléphone: 514-254-7131, poste 4515 Site web: sogeecom.org

7 années, 1 mois

Candidature de Chloé Beaulieu pour le CRAA

par Permanence AGECD

Bonjour, Vous trouverez en pièce jointe la candidature de Chloé Beaulieu pour le Comité à la recherche et aux affaires académiques (CRAA), en vue du prochain Comité de coordination. Au plaisir, *Philippe P. Bellemare* Permanence administrative, *Association générale étudiante du Cégep de Drummondville <http://www.facebook.com/agecd>* Tél: 819-850-3139 960 rue St-Georges, *local 1506*, Drummondville QC, J2C 6A2

7 années, 1 mois

Coco du 17 mai 2017

par Olivier Gaudreau Lacasse

Bonjour camarades ! On vous convie à un Coco le 17 Mai 2017 au bureau de l'ASSÉ et sur skype si nécessaire S'il vous plait confirmez votre présence le plus tôt possible. On avait des disponibilités, cependant c'est pour être certain.e.s qu'on a le quorum avec cet avis officiel de convocation. Solidairement, Le comité Femmes de l'ASSÉ Le comité à l'information Le comité DOISG Et le comité à la mobilisation

7 années, 1 mois

Texte sur le féminisme universitaire

par Élisabeth Béfort-Doucet

Bonsoir camarades, Suite à la campagne annuelle de l'ASSÉ qui a été votée portant sur la culture du viol, une toute première campagne féministe annuelle, je me sens interpellée de partager ce texte qui a particulièrement teinté mon approche féministe au courant des dernières années. Il s'agit d'un texte intitulé « Critique du féminisme universitaire » qui a été publié dans l'édition de « Casse sociale » de mai 2015, et qui est rédigé par le Montreal Sisterhood, un collectif féministe antifasciste basé à Montréal. Il est également disponible ici : https://durerealite.wordpress.com/2015/12/10/critique-du-feminisme-universi…. « Le Montreal Sisterhood est un collectif composé de femmes provenant d’une diversité de milieux, ayant des parcours et expériences très différentes l’une de l’autre. Notre objectif est de politiser les femmes de nos scènes contre-culturelles tout en assurant une présence féministe dans le milieu antifasciste et les contre-cultures. Nous sommes féministes radicales, mais nos réflexions politiques ne sont pas toutes au même niveau et nous ne sommes pas toutes d’accord sur certains sujets. Toutefois, nous avons toutes un point en commun : nous voulons attaquer les démonstrations concrètes du sexisme dans notre quotidien et ce par une diversité de moyens. Étant confrontée à des réalités différentes, nous croyons que c’est cette diversité qui fait la force de notre groupe. Lorsque nous avons créé le collectif, il y a maintenant 5 ans, nous nous sommes vite rendu compte que les autres groupes féministes évoluent davantage dans le milieu académique. Même si nous ne sommes pas issus de ce milieu, nous avons fait des soirées de réseautage afin de créer des liens entre nous. Mais nous avons observé rapidement qu’il y avait parfois un fossé flagrant entre nous et les autres. Nous avons différentes façons de lutter, de s’exprimer, de réfléchir ou même de militer. Nos stratégies de luttes doivent s’inspirer l’une des autres et être complémentaire, pas le contraire. Cette réflexion a commencé lorsque des membres du groupe, qui sont aussi étudiantes, ont exprimées le fait qu’elles ne se retrouvent pas souvent dans le féminisme universitaire. En effet, celui-ci est peu accessible et gagnerait davantage à être ancré dans la réalité plutôt que dans la théorie. Pour nous, être féministe, ce n’est pas forcément de connaître des auteur.e.s, ni des théories, ce n’est pas étudier en études féministes, mais plutôt de simplement reconnaître l’oppression patriarcale et désirer abattre celle-ci. Depuis des années déjà, nous sentons un rapport de pouvoir entre les féministes ayant beaucoup de connaissances théoriques s’organisant en milieu universitaire et les autres. Il arrive que nous sentions une pression, qu’on s’attend de toutes les féministes qu’elles maîtrisent des concepts qui ne sont pas accessibles à toutes, on s’attend à ce qu’on ne fasse pas d’erreur, et que l’on réponde à un modèle spécifique de féminisme. Sinon le mouvement féministe au complet risque de te ramasser. Les critiques fusent de tous les bords, la compétition est forte. Pour avoir des alliées, certaines ont l’impression de devoir devenir ce qu’elles ne sont pas, de devoir tout connaître pour pouvoir participer à des discussions sans avoir honte de ses opinions ou de ses idées. Les rapports de domination sont tellement ancrés que certaines féministes ne se sentent pas confortable dans certains endroits, activités, etc. Par ailleurs, le fait de posséder des savoirs théoriques et d’étudier à l’université est en soi une forme de privilège. Les féministes universitaires oublient souvent qu’en ce sens elles sont privilégiées et que leur langage, leurs théories sont le résultat de leur place dans la société et des rapports de classes qui y subsistent. Les discussions et le militantisme qu’elles prônent ne sont donc pas accessibles à toutes, les lectures qu’elles font, les écrits qu’elles produisent sont réservés aux personnes de leur classe. Dans cette optique, elles reproduisent une forme d’élitisme au sein même des milieux féministes. Nous croyons tout de même qu’il est important de diffuser les savoirs et nous ne remettons pas en question le partage de connaissances, mais plutôt les façons de le faire. Cet élitisme dont nous parlons se réfère à une intellectualisation des concepts et des vécus. Le milieu universitaire est particulier. Des femmes majoritairement blanches, aisées financièrement, hétérosexuelles, travaillent sur des sujets tels que les femmes immigrantes, les femmes marginalisées, les femmes en situation précaire, etc. Trop peu d’entre elles vivent la réalité et les conditions matérielles du croisement des oppressions de leurs « sujets ». Il est facile du haut de cette position avantageuse, voire privilégiée de pouvoir critiquer les façons de faire des autres. En plus d’avoir des rapports de pouvoir marqués par les connaissances, plusieurs professeures ou chargées de cours ont des relations privilégiées avec des étudiant.e.s et ne reconnaissent que très peu ce même rapport de pouvoir qui est habituellement dénoncé. Il est important de reconnaître la diversité, il est important d’être solidaires. Même si nous avons des postulats communs, nos moyens d’action ne sont pas les mêmes et il est important de les respecter. Il faut cesser ces relations compétitives, il faut cesser de chercher chez nos camarades féministes des failles qui pourraient prouver qu’elles ne sont pas « tight ». Nous avons réalisé que pour nous, ce qui est le plus important, ce n’est pas de pouvoir réciter la théorie infaillible parfaitement mais d’être capable d’appliquer les actions concrètes qui découlent des explications théoriques dans notre quotidien. Soyons solidaires, embrassons la différence, car c’est en travaillant ensemble que nous pourrons créer un réel rapport de force. » J'invite les militantes au local, et au national, qui proviennent des milieux universitaires de prendre en compte cette critique. Je m'inscris aussi probablement dans cette tendance (considérant que j'étudie moi-même à l'université), mais je souhaitais la partager de façon plus large, afin que notre lutte contre la culture du viol rejoigne le plus possible les femmes de tous les milieux, et soit véritablement inclusive. Féministement, Élisabeth Béfort-Doucet.

7 années, 1 mois

Manifestation pour la commémoration de la Nakba à Montréal

par Louis Gauthier-Desmeules

Viva Palestina JOUR de El NAKBA DAY : https://www.facebook.com/events/607907399412699/ Bonsoir camarades, La coalition BDS organise une manifestation pour commémorer dans les rues de Montréal le 69e anniversaire de la Nakba (catastrophe). Nous commémorerons, en cette journée, l’exode de plus de 700 000 palestinien-ne-s chassé-e-s de leurs terres ainsi que la destruction d’une grande majorité de leurs villages historiques. Loin d'être seulement un événement passé qui ne doit pas sombrer dans l'oubli, la Nakba réfère au processus continu de nettoyage ethnique des populations arabes sur le territoire palestinien. Cette année, qui marque le 100e anniversaire de la déclaration Balfour (qui promettait un foyer de peuplement juif en Palestine, faisant silence sur les populations autochtones) montre comment la lutte palestinienne est toujours vivante : la grève de la faim qui dure depuis plus de deux semaines dans les prisons coloniales est exemplaire à cet égard. Philippe Couillard sera d'ailleurs en voyage en Israel dans le mois de mai (18 au 25), au même moment que Donald Trump. À la solidarité entre les gouvernements coloniaux, répliquons par la solidarité entre les peuples. Faisons résonner notre solidarité jusqu'aux territoires occupés et progresser la campagne de boycott, désinvestissement et sanctions dans tous nos milieux. Le point de rassemblement est le parc devant la station Mont-Royal à 17h, samedi le 13 mai.

7 années, 1 mois

PV et Résumé des Mandats du Congrès annuel

par Permanence de l'ASSÉ

Bonjour à toutes et à tous, Voici le Procès-verbal ainsi que le Résumé des mandats du Congrès annuel 2017 s'étant tenu les 29 et 30 avril derniers à Québec. Bonne lecture! Éric F., Permanence syndicale de l'ASSÉ 2065, rue Parthenais, Case Postale 383 Montréal (Québec) H2K 3T1 Téléphone : 514-390-0110 Télécopieur : 514-390-8418 Site web: www.asse-solidarite.qc.ca

7 années, 1 mois

Fwd: [SSF/SAB] 14 mai. Pique-nique Fête des mères contre les frontières | Picnic Mothers against Borders Mothers Day | PICNIC del Día de las Madres Contra las Fronteras

par Conseil exécutif

Reçu sur la boîte courriel exécutif. ---------- Message transféré ---------- De : Solidarité sans frontières via sansfrontieres < sansfrontieres(a)lists.resist.ca> Date : 2 mai 2017 à 11:11 Objet : [SSF/SAB] 14 mai. Pique-nique Fête des mères contre les frontières | Picnic Mothers against Borders Mothers Day | PICNIC del Día de las Madres Contra las Fronteras À : sansfrontieres <sansfrontieres(a)lists.resist.ca> [English below - español abajo] *Pique-nique * *Fête des mères contre les frontières* Accès pour tous et toutes! Statut pour tous et toutes! Personne n’est illégal! https://www.facebook.com/events/115756958986038/ *Dimanche, le 14 mai 2017, 14h* * Parc Jarry (métro de Castelnau), près du kiosque* L’évènement aura lieu, même s’il pleut! * De la délicieuse nourriture gratuite sera servie! * Atelier d’art, kiosque d’information, musique, activités pour les enfants * Beaucoup de plaisir et de solidarité! --> Si vous êtes intéressé-e-s à organiser un atelier d’art ou de bricolage, des jeux ou des activités pour les enfants pour le pique-nique, s’il-vous-plait contactez-nous en nous écrivant à : femmes.sans.statuts(a)gmail.com --> Les participant-e-s sont invité-e-s à apporter une petite contribution pour célébrer le courage et la force des mères contre la violence des frontières, par exemple : un poème, un témoignage, une chanson, etc. --> Si vous avez des besoins particuliers ou une diète spéciale concernant la nourriture ou si vous avez des questions sur l’accessibilité, vous êtes invité-e-s à nous écrire à : femmes.sans.statuts(a)gmail.com! Pour la Fête des mères, le Collectif des femmes sans statuts de Montréal organise un pique-nique pour célébrer les luttes de ces mères courageuses qui ont défié et traversé les frontières pour un avenir meilleur pour leurs enfants et pour elles-mêmes. Certaines d’entre elles ont parlé publiquement, plusieurs autres luttent dans l’ombre pour prendre soin de leur enfants sans papiers, pour mettre fin ou éviter des situations qui les séparent de leurs enfants et pour obtenir une vie de dignité, une vie meilleure, pour leurs enfants. Depuis 2015, le Collectif des femmes sans statuts a attiré l’attention du public sur la souffrance, l’exclusion et l’exploitation des personnes sans papiers ; mères, femmes, hommes et enfants. Elles ont écrit aux représentant-e-s des gouvernements, organisé et participé à de nombreux rassemblements et manifestations, tenu des kiosques d’information, organisé une campagne de cartes postales, parlé à des évènements publics, organisé des conférences de presse et écrit des communiqués, ont fait de nombreux entretiens avec des journalistes, et obtenu le soutien de plusieurs organisations de femmes à travers le Québec. Joignez-vous à nous pour la Fête des mères dans le plaisir et la solidarité pour soutenir celles qui osent demander un statut pour toutes et tous! Personne n'est illégal! Joignez-nous à vous pour célébrer toutes ces mères courageuses qui se tiennent debout devant la violence de l’État et des frontières, demandant la liberté de mouvement ! +=+=+=+ *Picnic Mothers against Borders Mothers Day * *Access for All! Status for All! No One Is Illegal!* https://www.facebook.com/events/115756958986038/ Sunday, 14 May 2017, 2pm Jarry Parc (metro Castelnau), near the Gazebo See you there, rain or shine! * Delicious, free food! * Art workshops, info-table, music, kids' activities! * Fun & solidarity! --> If you are interested in organizing an art/craft workshop, game, sport, kids' activity for the picnic, please get in touch at femmes.sans.statuts(a)gmail.com. --> Guests are invited to come with a small toast to celebrate the courage and strength of mothers against the violence of borders: a poem, a testimony, song. --> Any special dietary needs or other accessibility questions? Get in touch at femmes.sans.statuts(a)gmail.com! On Mothers’ Day, the Non Status Women's Collective of Montreal is hosting a picnic to celebrate the struggles of courageous mothers who have crossed and defied borders for a better future for themselves and for their children. Some have spoken out publicly; many more struggle in the shadows to mother without status, to end/avoid separation from their children, to get their children a life of dignity, a better life. Since 2015, the Non Status Women's Collective has drawn attention to the suffering, exclusion and exploitation experienced by thousands of non-status mothers, women, men and children. They have written to government officials, participated in and organized pickets and marches and tabling on the street, organized a postcard campaign, spoken at public events, done innumerable interviews with journalists, organized press conferences and written press releases, and gained the support of numerous other women's organizations across Quebec. Join us on Mothers' Day in fun and solidarity to support their bold demand for status for all! No one is illegal! Join with us to celebrate all courageous mothers standing up to state violence and borders, demanding freedom of movement! +=+=+=+ *PICNIC * *del Día de las Madres Contra las Fronteras* *¡Estatus para tod@s! ¡Libertad de movimiento! ¡Nadie es ilegal!* https://www.facebook.com/events/115756958986038/ Domingo 14 de Mayo de 2017, a las 2pm Jarry Parc (metro Castelnau), cerca del Gazebo Allí nos vemos ¡Llueva, truene o relampaguee! * Comida gratis (variada y deliciosa)! * Talleres de arte, mesas de información, música, actividades para niñ@s * Diversión y Solidaridad -> Si usted está interesad@ en organizar un taller de arte/artesanía, actividad para l@s niñ@s durante el picnic, o una actividad recreativa o deportiva, por favor póngase en contacto con nosotr@s a: femmes.sans.statuts(a)gmail.com. -> Les invitamos a venir con un pequeño detalle para celebrar el valor y la fuerza de las madres que luchan contra la violencia de las fronteras: un poema, un testimonio, una canción. -> ¿Tiene necesidades alimenticias especiales o preguntas sobre cómo tener acceso fácil y seguro al evento? ¡Póngase en contacto con femmes.sans.statuts(a)gmail.com! El Día de las Madres, el Colectivo de Mujeres Sin Estatus de Montreal organiza un picnic para celebrar las luchas de las madres valientes que han cruzado y desafiado las fronteras en busca de un mejor porvenir para ellas y para sus hij@s. Algunas de estas madres hablan de forma pública y muchas otras luchan en las sombras para continuar su maternidad a pesar de vivir sin estatus, para evitar la separación de sus hij@s, así como para lograr que sus hij@s tengan una vida digna, una vida mejor. Desde el 2015, el Colectivo de Mujeres Sin Estatus ha llamado la atención sobre el sufrimiento, la exclusión y explotación que viven miles de madres, mujeres, hombres y niños sin estatus. Este colectivo ha interpelado a funcionarios gubernamentales; ha organizado marchas y plantones en las calles; ha hecho pública sus demandas ante la prensa; ha organizado conferencias y comunicados de prensa escritos; ha llevado a cabo campaña de demandas por correo postal; ha participado en huelgas obreras, hablado en eventos públicos y ganado el apoyo de numerosas organizaciones de mujeres alrededor del continente. ¡Únase a nosotr@s este Día de las Madres en diversión y solidaridad para apoyar la audaz demanda de las mujeres sin estatus: Estatus para tod@s! Nadie es ilegal! Y venga con nosotr@s a celebrar a todas las madres que con valentía se enfrentan a la violencia estatal y a las fronteras, y reivindican la libertad de movimiento! ------------- Le Collectif des femmes sans statuts de Montréal Non Status Women's Collective of Montreal Colectivo de mujeres sin estatus de Montreal femmes.sans.statuts(a)gmail.com www.solidarityacrossborders.org facebook.com/Collectif-des-femmes-sans-statuts-Non-Status-Wo mens-Collective-359117424442117/ <https://www.facebook.com/Collectif-des-femmes-sans-statuts-Non-Status-Women…> +++++++++ *Solidarité sans frontières*: www.solidaritesansfrontieres.org *Solidarity Across Borders*: www.solidarityacrossborders.org *Solidaridad sin fronteras*: www.solidarityacrossborders.org/es e-mail: solidaritesansfrontieres(a)gmail.com facebook: www.facebook.com/CiteSansFrontieres twitter: @SolidariteMTL <https://twitter.com/SolidariteMTL> tél.: 438-933-7654 <(438)%20933-7654> ++++++++++ _________________________________________ sansfrontieres(a)lists.resist.ca To unsubscribe / Pour se désabonner / Para cancelar la suscripción : https://lists.resist.ca/cgi-bin/mailman/listinfo/sansfrontieres -- Association pour une Solidarité Syndicale Étudiante (ASSÉ) www.asse-solidarite.qc.ca executif(a)asse-solidarite.qc.ca <externe(a)asse-solidarite.qc.ca> Bureau: (514)-390-0110

7 années, 2 mois

Version finales des Cahiers de Congrès

par Permanence de l'ASSÉ

Bonjour à toutes et tous, Voici les versions finales des Cahiers de Congrès annuel qui commence demain. Bonne lecture! Éric F., Permanence syndicale de l'ASSÉ 2065, rue Parthenais, Case Postale 383 Montréal (Québec) H2K 3T1 Téléphone : 514-390-0110 Télécopieur : 514-390-8418 Site web: www.asse-solidarite.qc.ca

7 années, 2 mois

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