Candidature de Myriam Tardif au comité Luttes
sociales
Appuyée par l’AÉAUM
Montréal, le 11 mai
2012
Militantes, militants,
Je vous écris aujourd’hui afin de
déposer ma candidature pour un poste au sein du comité Luttes sociales.
Je suis étudiante en deuxième
année en anthropologie à l’université de Montréal. J’ai commencé mon
implication dans le mouvement étudiant à ma rentrée universitaire, en
commençant par le conseil exécutif de l’association. J’étais alors secrétaire
aux affaires académiques durant 1 an. J’ai ensuite fais un saut sur un poste
relié aux projets étudiants, et suis secrétaire générale de l’association
depuis janvier dernier. Cependant, après 2 ans sur l’exécutif, je sens que je
pourrais amener autre chose au mouvement étudiant comme contribution et j’ai
envie d’expérimenter d’autres formes de luttes. Je crois aussi qu’après 2 ans,
il est temps de laisser la place à d’autres pour que tout le monde puisse avoir
un espace où s’impliquer. À l’université de Montréal, j’ai aussi milité au RUSH
(Regroupement des universitaires en sciences et humanités), groupe de
mobilisation militant autonome visant à
dynamiser la politique udemienne et à établir un contre-pouvoir face à la FAÉCUM.
Le comité Luttes sociales me
stimule particulièrement, car j’aimerais travailler à mettre en lumière les
liens entre tous les systèmes d’oppressions et d’en favoriser leur
compréhension. C’est selon moi une étape cruciale afin d’établir des moyens
nous permettant de combattre ces oppressions ensemble, de façon solidaire. Au
congrès du 5 mai, un mandat anti-raciste et anti-colonialiste a été adopté.
C’est une piste très pertinente pour réfléchir à notre société
(particulièrement en contexte québécois), mais d’autant plus sur l’éducation.
Quels rôles peuvent jouer les universités dans le « néo-colonialisme
? » Quelle place pour les étudiantes étrangères et les étudiants étrangers?
Et surtout, quelle place pour les étudiants et étudiantes autochtones ?
Il est aussi primordial
d’accorder une attention soutenue aux signes de l’anti-féminisme au Québec et
au Canada. Que ce soit lorsque les Conservateurs coupent dans les groupes de
soutient aux femmes, ou qu’illes essaient de trouver une solution afin de
revenir sur le droit à l’avortement, ou plus près de nous, quand la ministre
libérale de la condition des femmes, Madame St-Pierre veut changer le nom de
son ministère pour le remplacer par : ministère de l’égalité des sexes,
car elle trouve que le féminisme est allé trop loin !
Enfin, l’une des partie les plus
importantes du travail à effectuer au sein de ce comité, selon moi, est
l’établissement de liens avec les syndicats étudiants internationaux, la
recherche à propos des luttes syndicales et / ou pour l’éducation ailleurs dans
le monde, et ce, autant dans l’optique d’établir une solidarité syndicale
internationale, que de faire comprendre aux gens que les attaques au bien
commun et à une vision de l’éducation « émancipatrice » sont elles
aussi globalisées. Il est essentiel de documenter les luttes contre les mesures
d’austérité à travers la planète, afin de faire front commun contre les ordres
et les caprices des patrons, des patronnes, des compagnies et de toutes les
personnes crapuleuses de ce monde…Dans cette réflexion globale, avec le soutien
des camarades de partout, il sera possible de rêver à l’autogestion de nos
modes de création et de diffusion de savoirs, pour une démocratisation de nos
écoles.
Suite à la grève, et grâce à la grève, je crois qu’il est primordial de se
concentrer sur une convergence des mobilisations et des luttes, afin de
préparer à long terme une réelle grève sociale. Le Québec se trouve en ce
moment sur un terreau fertile, propice aux idées de grandeur, d’espoirs, de
courage et de changement en profondeur. Cette « crise sociale » a
permit à plusieurs de sortir des mirages médiatiques et de prendre conscience
de l’ampleur de la situation ; état policier, répression politique, médias à la
solde de l’élite, néo-libéralisme aigu, système parlementaire
« démocratique » déficient.
C’est pourquoi j’ai envie de
m’impliquer au sein de l’ASSÉ. Dans l’idée de participer à l’implantation d’une
résistance quotidienne et de la radicalisation (racine) de la lutte. Conservons
et consolidons le momentum créé par la grève.
Solidairement, entre étudiantes et étudiants du monde entier, avec les
sans-papiers, les sans-statuts, les sans-logements, les chômeurs et les
chômeuses, les artistes, les activistes, les travailleurs et les travailleuses,
les autochtones, les féministes, les queers, les lesbiennes et les homosexuels…
(Cette liste n’est pas exhaustive !)
Myriam Tardif
Étudiante au baccalauréat en
Anthropologie à l’Université de Montréal
P.S. Si vous avez des questions,
je vous invite à m’en faire part au congrès.
Salut,
voici ma lettre de
candidature pour le poste de secrétaire à l'interne de l'ASSÉ. Je
m'appelle Laurence Côté-Lebrun, je suis étudiante en droit, en
grève, depuis le 14 février 2012. Depuis, un an et demi je suis
exécutante à l'AFESPED. J'ai occupé, tout d'abord, le rôle de
coordonnatrice à l'interne, puis celui d'externe ensuite. De plus,
je m'implique également au comité légal depuis sa création.
Je trouve
particulièrement étrange d'écrire cette lettre avant la fin de la
grève. Nous vivons un moment de lutte qui nous semble hors du temps
et qui n'a toujours pas vue sa fin à court terme. Appeler ça comme
vous le souhaitez, que ce soit une sortie de grève, un gain, une
victoire, au moment d'écrire ces lignes je n'entrevois pas ce qui
nous sera annoncé comme un aboutissement. En effet, selon moi ce ne
sera qu'une annonce; qu'une affirmation : que la grève est
finie, que cette mobilisation grandiose se termine, mais il n'en est
rien! C'est pour cela que je rédige cette lettre. La lutte ne prend
pas fin au bout d'une mobilisation. Nous ne vivons pas une période
hors du temps. Nous vivons le résultat d'un travail politique. Nous
avons concrétisé dans la grève de 2012 ce que nous sommes et les
principes que nous défendons depuis des années. M'impliquer à
l'ASSÉ c'est continuer à faire avancer ces principes.
Si vous avez des questions ne vous gênez pas à me les adresser lors du Congrès annuel!
Solidairement,
Laurence
Côté-Lebrun
Camarades, comparses, consoeurs et confrères,
Je soumets aujourd'hui ma candidature au poste de secrétaire aux
communications de l'ASSÉ. Par la présente lettre, je retracerai les grandes
lignes de mon historique militante, de même que certaines réflexions quant
au poste de secrétaire aux communications en tant que tel.
C'est à l'automne 2004, avec mon entrée au Cégep du Vieux-Montréal, que
commence mon militantisme étudiant. Jeté rapidement dans le tourbillon de
la campagne de grève de 2005, je découvre alors une panoplie de concepts
avec lesquels je n'étais que peu familier, voire étranger : gratuité
scolaire, rapport de force, autogestion, syndicalisme de combat, moyen de
pression, action directe, diversité des tactiques. L'hiver 2005 a été pour
moi une naissance, les années suivantes, un apprentissage, une évolution,
une transformation. Mon implication militante à l'AGECVM m'a donné le goût
d'un investissement personnel accru dans la cause étudiante. Ainsi, à mon
arrivée à l'Université de Montréal, à l'automne 2006, j'ai été élu au poste
de coordonnateur aux affaires externes de l'AÉHUM (histoire premier cycle).
C'est dans le cadre de ces responsabilités exécutives que j'ai été
familiarisé avec les structures de l'ASSÉ, soit les congrès, mais surtout
les CRAM. L'année suivante, suite à un changement de programme, je me suis
retrouvé au poste de coordonnateur aux affaires académiques de l'AESPEP
(baccalauréat bidisciplinaire en science politique et philosophie), poste
que j'ai occupé de l'automne 2007 à l'automne 2009. Dans cette association,
j'ai travaillé d'arrache-pied à une campagne d'affiliation à l'ASSÉ,
campagne qui s'est soldée par une victoire. J'ai pris congé de
responsabilités exécutives pour les deux années subséquentes, jusqu'à la
deuxième année de ma maîtrise en philosophie. C'est donc depuis septembre
2011 que j'occupe le poste de coordonnateur aux cycles supérieurs de
l'ADÉPUM (philosophie). Les mois d'octobre et novembre 2011 ont été marqués
par un processus d'affiliation à l'ASSÉ au sein de l'association, qui s'est
soldé encore une fois par une victoire. Cette affiliation a marqué le coup
d'envoi de la campagne contre la hausse des frais de scolarité à l'ADÉPUM,
campagne qui ne cesse de culminer depuis l'entrée en grève de l'association
le 20 février dernier. Dans ces circonstances, les associations militantes
de l'Université de Montréal ont créé la Table de grève (TaG-UdM) afin de
synergiser leurs efforts; j'y ai été élu comme coordonnateur. Dans le cadre
de ces fonctions, j'ai pu entrer en contact avec une panoplie
d'associations dont le militantisme a jailli en pleine grève et ainsi
acquérir une connaissance plus exhaustive du «terrain-UdM». Le moment fort
du militantisme sur le campus a été, selon moi, la lutte contre
l'injonction demandée par l'administration de l'université, lutte dans
laquelle – j'en ai la conviction – la coordination de la TaG a joué un rôle
important, notamment lors de la réunion du 12 avril, qui a rassemblé autant
des délégations que des membres de comités de mobilisation et des éluEs de
la CLASSE. Le 19 avril suivant, la TaG a orchestré une sortie médiatique
aux côtés d'autres syndicats du campus (employéEs de métier, employéEs de
soutien, employéEs de recherche, étudiantEs salariéEs) afin de dénoncer la
judiciarisation du conflit, le recours à des compagnies de sécurité privées
et la «gestion désastreuse» du conflit à l'UdM. Et l'administration a
reculé.
Cette expérience a été une première pour moi en ce qui a trait aux médias
dits «traditionnels». Très rapidement, j'ai compris que je n'étais pas dans
un environnement de même nature que celui de mon champ d'études.
Historiquement, la philosophie a entretenu un rapport conflictuel avec
l'ordre de la δόξα (*doxa*), de l'opinion, du discours public, le plus
souvent le théâtre d'un jeu rhétorique en quête d'un effet spectaculaire
plutôt que le lieu d'un réel débat faisant honneur à la vérité et à une
réelle communication. De là, deux paradoxes. De un, celui d'une
association, telle que l'ASSÉ, qui cherche à mettre en lumière, afin de
combattre, les dynamiques d'exploitation et de marchandisation qui sont le
fait du système capitaliste : pourquoi irait-elle se mouiller dans les eaux
vaseuses des médias dits «de masse»? Si je pose ma candidature au poste de
secrétaire aux communications, c'est parce que je crois que de petites
victoires sont possibles à ce niveau. Non, le changement ne se fera pas à
TVA, il ne se fera pas au Devoir, il ne se fera pas sur internet, mais si
la CLASSE a été capable d'imposer au rythme effréné des médias le temps de
la démocratie directe (non sans anicroches dont il faut absolument prendre
acte), c'est qu'il demeure possible de percer, par moments, le voile
spectaculaire des grands médias. Et, si nous ne prenons pas parole en notre
nom, d'autres la prendront pour nous. Le second paradoxe est celui d'un
étudiant en philosophie, comme moi, qui se porte candidat aux
communications. Étudiant précisément les concepts d'idéologie et
d'industrie culturelle, j'entretiens déjà une certaine méfiance à l'égard
de la sphère médiatique, méfiance alimentée par les siècles de tradition
philosophique qui nous précèdent. Et cet état d'esprit est celui d'une
approche critique. La question n'est pas de savoir *si* nous devons jouer
l'idéologie contre elle-même, mais bien de savoir *comment* faire cela.
Notre organisation entretient un rapport conflictuel avec les médias
grand-public. En aucun cas elle ne doit chercher à étouffer ce conflit,
l'apaiser par une approche consensuelle ou le voiler. À une invitation
d'entrevue, nous répondrons par l'affirmative et nous devrons mettre en
exergue que notre discours, comme nos pratiques, est en rupture avec le
langage mielleux du «consensus» libéral. Autrement dit, ne reculons pas
devant ce qui fait de nous un mouvement singulier.
Je suis convaincu que, suite à notre grève, il devient essentiel d'étendre
et de consolider le message de l'ASSÉ, et ce de manière fidèle à ses
fondements progressiste, altermondialiste, libertaire et féministe.
Salutations militantes,
Ludvic Moquin-Beaudry
Camarades,
> Par la présente, je désire déposer ma candidature au poste de Secrétaire
> aux affaires externes pour l'année 2012-2013.
>
> Mon implication au sein du comité maintien et élargissement lors de la
> grève actuelle m'aura permis de rencontrer une multitude de gens dans
> différentes associations qui sont actuellement membres de la CLASSE mais
> non membres de l'ASSÉ. Nous devrons garder un contact serré avec ces
> associations si nous souhaitons que les principes que nous défendons
> s'enracinent de manière durable dans ces nouveaux campus. En effet, l'ASSÉ
> aura su mettre ses positions idéologiques au coeur du débat public dans la
> dernière année. Celles-ci ont trouvé écho dans une multitude d'associations
> étudiantes à travers la province. Il n'en tient qu'à nous de profiter de
> cette situation afin de renforcer de manière durable un pôle combatif
> hégémonique au sein du mouvement étudiant, ce qui nous permettra de
> continuer à lutter efficacement pour la mise en place de notre projet
> social.
>
> À ce niveau, au-delà des tâches que j'aurai à exécuter en tant que
> secrétaire aux affaires externes, j'aimerais également glisser un mot sur
> l'année qui s'en vient, entre autre sur notre prochaine campagne nationale.
> La campagne de cette année a particulièrement bien fonctionné grâce au fait
> que celle-ci fût planifiée sur plus d'une année. C'est le fruit d'un
> travail de longue haleine, réfléchi et planifié. En ce sens, il m'apparait
> primordial de continuer à avoir cette vision à long terme lors de
> l'élaboration de notre prochaine campagne. Nous ne devons surtout pas
> tomber dans la logique de ''bon, nous avons du temps à meubler, qu'est-ce
> qu'on fait cette année''. L'ASSÉ est devenu une organisation assez
> importante pour être capable d'avoir une influence sur les débats
> politiques dans notre société, pour imposer son propre agenda, et nous nous
> devons de réfléchir dès maintenant à l'organisation de notre prochaine
> lutte avec un plan au moins aussi bien ficelé que celui de la dernière
> campagne.
>
> Solidairement,
>
> Keena Grégoire
>
> Futur étudiant en Science politique à l'UQAM
>
> PS: Cette lettre est très brève. Je vous invite à débattre et à
> approfondir ma candidature, de même que toute les autres, en congrès ou
> dans les différentes assemblées générales (Il me fera d'ailleurs plaisir de
> me déplacer sur demande). C'est là le meilleur moyen d'avoir un véritable
> débat de fond.
>
Bonjour, bonsoir, bonne nuit!
J'ai l'immense honneur de vous annoncer que nous somme grayé-e-s d'un
autobus jaune et brun pour le Congrès de l'ASSÉ. Rendez-vous au Parc
Émilie-Gamelin samedi soir, à 19h30, pour vivre une expérience de road-trip
communiste. Ça va être malade.
Nul besoin d'amener chèques ou argent liquide. Le bureau central de l'AFÉA
se chargera de la facturation en fonction de la représentation de chaque
association étudiante et des frais de Congrès. Ouain.
Nous serons de retour dans les contrées montréalaises dimanche soir.
****En bonus!!!*** Une escapade au Centre Jésus prolétaire. Amenez vos sacs
de couchage pis vos matelas de sol - le plancher est frette, mais moins que
celui de la FTQ... et l'expérience est ô combien enrichissante. *
*
*
*D'ici la, profitez du soleil: vous le méritez.*
*
*
Mathilde Létourneau
Coordonnatrice aux affaires externes
Association facultaire des étudiantes et étudiants en arts de l'UQAM
514.987.3000 poste 2630
Bonjour camarades!
Un simple message pour vous signaler que nous aurions besoins d'un
présidium féminin pour la prochaine Ag du vieux qui sera mercredi prochain
à 10h (secrétaire+présidium).
Vous pouvez m'appeler pour vous proposer, ce serrait apprécié! 514-378-6627
Merci d'avance pour votre aide.
-Victoria
Pour l'exec de l'AGECVM
Aurélie Paquet, membre de l'ADEESE, pour le Comité Femme de l'ASSÉ
Candidature appuyée par l'AFESH
Montréal, le 10 mai 2012
Camarades,
Mon implication au sein de l'ASSÉ remonte à 2006, alors que j'étudiais au Cégep de St-Hyacinthe, et celle-ci s'est prolongée jusqu'en décembre 2007 où j'ai officiellement quitté les bancs d'école pour travailler à temps plein. Je n'ai jamais été membre de l'ASSÉ, cependant, puisqu'on ne choisi pas son affiliation nationale, j'ai décidé de suivre mes envies et de poser ma candidature sur le comité femme.
Je suis présentement étudiante en enseignement en adaptation scolaire et sociale à l'UQÀM. Un programme et une faculté majoritairement composées de femmes, mais où leur représentativité au sein des divers comités et conseil ainsi que lors des instance est plutôt minoritaire. J'ai donc amorcé, pendant la présente grève, une réflexion quant à la participation des femmes dans le mouvement étudiant et, plus globalement, dans la société. Celle-ci n'est qu'à ces débuts et je crois fortement que mon implication au sein du comité femme de l'ASSÉ viendrait non seulement pousser cette réflexion, mais en apporterait aussi de nouvelles au sein du comité.
De plus lors de la présente grève, j'ai agit plusieurs fois à titre de gardienne du senti et j'ai pu observer certains schèmes de pouvoir et de domination ainsi que certains comportements antiféministes qui ont d'ailleurs fait l'objet d'un point senti post-congrès. Il me semble important de prendre conscience, pour les délégué-es des instances ainsi que tous les membres de l'ASSÉ, que certaines façons d'agir peuvent parfois brimer, blesser, accuser, etc. une personne et plus spécifiquement une femme; et qu'en ce sens, il importe de réfléchir et analyser nos propres actions et celles de nos camarades. J'ai apprécié mon expérience de gardienne du senti et j'ai aimé que l'on fasse ce genre de feedback sur ASSÉ-support plutôt qu'au micro à la va-vite entre deux interventions. J'aimerais d'ailleurs beaucoup qu'un jour, le gardien et la gardienne du senti soit officiellement dans les statuts et règlements de l'ASSÉ afin que l'on puisse débroussailler son mandat.
Finalement, j'ai pris connaissance des lettres de démission du précédant comité femme et j'ai conscience des problématiques internes qui peuvent survenir. J'ai cependant confiance qu'avec les autres femmes qui posent leur candidature, nous puissions mener dignement la lutte et les mandats attribués au comité.
Solidairement,
Aurélie Paquet
À des fins statistiques, voici quelques chiffres :
(La gardienne du senti est fatiguée... alors je vous laisse le soin d'interpréter et d'analyser les chiffres vous-même!!)
Interventions au micro : homme/femme ; cégep/université
Homme
Femme
Total
Cégep
20
16
36 (17,5%)
Université
96
73
169 (82,4%)
Total
116 (56,5%)
89 (43,4%)